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30/09/2015 10 10 06 (UTC)[citer]
La dernière et puissante roublardise de Blaise Compaoré se peaufine.
le 31 Octobre 14

Le contexte de brouillard politique à faire croire que le pouvoir soit vacillant ou transmis et/ou en voie de l'être, subitement sans contrôle,
susurrant d'impression un coup fatal porté à victoire contre le pouvoir, resplendit de manigances (que les discours argumenteront républicain) dont s'est jusqu'ici montrées fort à l'aise en maître Blaise Compaoré ! Il serait se laisser bercer de chansonnette que de croire résout d'un coup de menace ou de désapprobation de la société civile, le sort de l'Homme qui se construit tapis dans l'ombre de la trahison.

Trahison dont Blaise Compaoré dit le Blaiso, d'une expression variante africaine du syndrome dit de Stockholm, sacrifiée en lui au départ de sa prise de pouvoir par l'assassinat d'une icône africaine, Thomas Sankara. Et irisant son parcours de médiateur international (choisi à nommé de l'étranger non africain) dans de nombreux conflits post-coloniaux africains, ne s'offusquant point à jouer l'intermédiaire porteur des vues étrangères à l'Afrique, soucieux de s'affubler défendre de proximité locale africaine les intérêts primordiaux transversaux étrangers à l'Afrique, en usant à succès la manipulation de roublardise.

Le Blaiso s'est au fil des temps nuageux que connurent à maintes reprises le Burkina Faso, à travers nombres de manifestations à mécontentements violent que stimulent d'encouragement la pauvreté endurcie d'un peuple jeune en souffrance d'expression de vaillance ; le Blaiso, d'endurance de maîtrise de la gestation au savoir faire d'assèchement de la trahison, s'est taillé une carapace épaisse de pachyderme sous un déambulement de mollusque : Pour que soit simplet de croire que la mise en avant de la cohorte de séides militaires, bombardés officiers supérieurs, s'ambitionnant à se porter à la tête d'une transition fixée arbitrairement et envisagée par qui (?) puis repris dans une adresse à la nation par le Blaiso, officiers obligés à l'égard du Blaiso dont-ils sont bien plus redevable que du prestige pompeux des étoiles !

Le Blaiso étant suffisamment averti de la qualité des Hommes à s'entourer, depuis son fait de trahison à l'endroit de son Éternel meilleur Ami Sankara : Pour qu'il soit simplet de croire à se laisser berner de chansonnette, de changement conquis à envisagé, que Blaise Compaoré non mis aux arrêts ni destitué par ses acolytes en responsabilités majeures dans les institutions de l'État et notamment l'armée dont la frange la plus habile lui est dévouée : ne soit pas de toute liberté accompagné de ceux de l'étranger dont-il défend depuis plus d'un quart de siècle les intérêts en Afrique, à l'œuvre des manigances actuelles dont l'important serait la mise sous contrôle de la nature et du cadre de la prétendument alternance offerte aux populations....!

Blaise Compaoré d'une habilité à détendre l'atmosphère (gagner du temps) entend laisser croire qu'il contente (use de la duperie de l'illusion de contentement) tous les camps....le médiateur international expert en roublardise serait une fois de plus entrain de noyer les contestations vaincues de passées à plusieurs reprises, y compris de nombres de mutineries touchant même sa garde républicaine.

L'important étant à déceler le nécessaire ou l'absolue teneur prônée d'intérêts supérieurs de la nation, à sauvegarder (si propre à l'interne Burkinabé ou de rayonnement africain), et qui fasse que Blaise Compaoré soit et reste en fonction pour quelconque durée (transition envisagée de douze mois) au delà de l'expiration de son dernier mandat constitutionnel en cours d'exercice et à terme de 2015.

La révolution, la rectification, le changement, ne pouvant être pour peu que cela ait un sens et une portée sincère à crédible être habitée par les personnes qui sont désavouées ! En somme la clique mise en place et portée de complicité par le régime Compaoré et notamment les militaires qui jouent du clairon d'assurance et distraction des populations avides de débarrasser le plancher du sommet des institutions de l'odeur de Blaise Compaoré.

Blaise Compaoré Démission ou Départ Forcé...

Après avoir réalisé la trahison d'abandon des forces armées en soutien des institutions, laissant les populations s'adonner à la destruction et aux pillages des aménagements et ouvrages publics, alors qu'au début de traîtrise, Blaise Compaoré, aurait tenté un coup de force en s'appuyant sur une partie de l'armée qui ne se prononça pas sur sa destitution...il aura fallu une nuit de calme d'une journée agitée diplomatiquement avec les rencontres de différentes forces de l'ambassadeur français local, et de tractations -que l'on dira- internationales sanctionnées de l'appel du président français, François Hollande, invitant le président Burkinabé encore en exercice à prendre les bonnes décisions : Pour que soit officialisé le départ en abandon du pouvoir en ce jour par Blaise Compaoré.

Qui donc obtint le départ du président du Burkina Faso de ses fonctions ? La France ou le peuple Burkinabé ? La souveraineté en Afrique est-elle existante, sous-traitée ou sous-tutelle ?
Se pose tout aussi envers qui les forces en armes en Afrique expriment leur loyauté et allégeance ? Les institutions ou les formateurs outre Afrique ?

Est-il étonnant ou diablerie que les medias occidentaux et spécifiquement français s'adonnent généreusement de couverture de tour d'édition des événements au Burkina Faso ? Quelle crise institutionnelle africaine mérita un tel traitement ? N'est-ce pas au travers du cas Burkinabé réinvestit de reprise sournoise les brides marges de libertés consenties aux africains et chantonnées d'indépendances données par les anciens colons en souffrance de réinvestir de nouveau d'enrichissement propre l'Afrique ?

Le Burkina Faso n'étant pas connu pour ses richesses tels les deux Congo (Brazzaville, Kinshasa) où les présidents actuels souffrent de la tentation de se maintenir au pouvoir en dépit d'interdictions constitutionnelles : N'est-ce pas de ce contexte de menace de déchéance brutale, sur fond de transfèrement tel Laurent Gbagbo (Côte d'Ivoire) devant la cours pénale internationale, invité les dirigeants africains en souffrances de continuité d'exercice du pouvoir institutionnel suprême à mieux courber l'échine aux desideratas instigués outre Afrique ? La souveraineté africaine est-elle existante ?

Blaise Compaoré n'est certes pas fort aimé auprès des populations africaines, et nombres de progressistes de tous horizons, s'intéressant aux questions politiques, du fait de sa propre trahison fatale à l'endroit de son éternel ami dont-il cautionna l'assassinat, l'illustre icône Thomas Sankara ! Toutefois, l'ivresse de joie de son départ -de la sorte présentée sous diktat outre Afrique- se devrait d'être mesurée et relativisée d'excitation....les marionnettes ne se trouvant voire retrouvant pas outre Afrique !

Joseph TAPA
Ps: La Chine prendra certainement enseignement en ce qui concerne l'Afrique avec comme bel sauve conduite qu'elle ne se mêle pas des questions d'ordres de politiques interne aux États africains.


Afrique-indépendance| Compaoré se voudrait porte étendard !
le 28 Octobre 14

L'Africain en est et serait encore à toujours réduit à rechercher être accepté, aimé, apprécié, écouté, respecté, tout simplement à exister dans l'autorisation et encadrements d'autres et spécifiquement non Africain.
Ci-dessous reproduit un "stupéfiant" morceau choisi, non sorti à détourné de son contexte, d'une interview accordée récemment à média non africain (BBC) de l'encore actuel président, Blaise Compaoré, du Burkina Faso :
"Vous ne voyez pas le Burkina se mêler de comment on organise la vie politique, en France ou aux Etats-Unis. CE QUE NOUS SOUHAITONS, C'EST D'AVOIR cette liberté d'organiser notre vie politique, de construire, par nos valeurs et nos choix, la démocratie et la vie républicaine", a affirmé M. Compaoré."

Le désolant, de balivernes réchauffées poursuivant plutôt subtilement l'inénarrable mise à disposition (soumission) de vues étrangères à l'Afrique, en est de s'interpeller sur ce qui fût à est fait voire entrepris -de positif- à quelconque niveaux institutionnels et infrastructurels en interne en Afrique pour matérialiser ce souhait et cette volonté de liberté !

Joseph TAPA



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