L’Afrique ou quel État africain serait en mesure d’aussi tirer profit de partition à la nouvelle sournoise guerre internationale onusienne !
le 25 sept 2014
De principe l’Organisation des nations unies (Onu) agirait d’intentions à actions en le Nom et supposé bénéfice de l’ensemble de ses membres.
Par le truchement de décision démocratique votée à la majorité de ses membres. Avec une particularité spécifique octroyant à un petit nombre -groupuscule- de membres (cinq constituants le conseil de sécurité
, en conformité ou non d’avec les statuts onusiens (acquittements d’obligations et droits divers, à l’exemple du paiement des cotisations de fonctionnement), la faculté à s’opposer à toute décision majoritaire….de ces membres n’y figurent aucun représentant d’Afrique (vue et convenue comme l’avenir économique de Tous).
L’Onu a-t-elle une fois de faits hérités de son prédécesseur ancêtre des nations (Sdn) en poursuite à nos jours, par une guerre, apportée solution politique enviable à durable et non embellie économique considérable à exponentielle à ceux (spécifique groupuscule) qui portent les conflits en son nom ?
Le conflit actuel de déchéance sociétaire, en viscérale fragmentation d’opposition groupusculaire sous clivage d’obédience théologique, en Irak, aurait-il autre émanation en conséquence que les suites de Assassine du particulier membre spécifique Usa ? Qui d’une mascarade, entraîna l’Onu de passé (1991) dans un précédent sauvage conflit d’agression armée contre la paix sur cette terre irakienne !
Les idéaux et autres bons sens à vertus moraux démocratiques, tant vantés de mieux-être à l’expression à l’harmonie nationale des peuples, trouveraient difficilement application au sein de l’Onu. Qui s’en est remis à être présidé par le principal acteur (Usa) de la crise irakienne, dans une réunion visant à l’esquisse de voies et moyens au rétablissement de la paix dans ce pays et devant iriser les régions environnantes. Où l’invitation de l’auteur -en bonne conscience- recherchant un méfait à s’investir à chapeauter la lutte contre ce qu’il fit sciemment en poursuivant un but non disparu !
L’Afrique à l’économie fortement imbriquée d’interdépendance, dans l’organisationnelle étatique mondialisée, souffre elle aussi des impossibilités à impérities de ses Actuels Responsables et Représentants politiques. Couvant les tares du système organisationnel à répondre efficacement aux besoins primaires et grandissants de ses populations. L’économie générale africaine mondialisée étant aussi frappée de déliquescence, pré envisageant des révoltes des masses populaires. Dépendante grandement de la générosité étrangère à la consommation et à lui ravir ses richesses de toutes sortes. Ne pouvant s’auréoler d’appui technologiques commerçables en stratégie de salut économique. À l’instar de vanter les qualités d’aéronefs tel le "rafale français" faisant l’objet d’une ahurissante campagne de matraquage télévisuel des médias français, pour illustrer la nouvelle internationale guerre onusienne dans laquelle se plonge corps et âme nombre de membres onusien. En escomptent d’éluder (dilatoire), les dissonances et résonances, des incapacités politiques face au revers de l’économie mondialisée. En recourant à susciter l’émotionnel collectif, tout en révérant l’unité combative sécuritaire contre la mal venant et prostré au loin (bonne vielle recette affectionnée des largués et autres éperdus extrémistes).
Le recours à l’émotionnel en Afrique étant richement doté de barbarie à l’inhumanité indicible. Marquant sa fraîche récente histoire de saveur violente à l'infâme ferveur civilisatrice de l'Africain-e- (occidentalisation supposée au loin d’égalités humaines). Aux scarifications des fouets, des privations diverses à la baïonnette, avec des têtes coupées de dignes vaillant-e-s Africain-e-s et exposées sur les lieux publics à des fins de disséminer la peur : en poursuite de l’asservissement Barbare colonial. L’économie africaine mondialisée, tout aussi chancelante, serait-elle pour autant qualifiée et admise de partition à tirer directe partie profitable de la nouvelle internationale guerre onusienne ? Vu que majorité d’États africains sont affiliés à l’Onu, à jours de leurs obligations, et respectueux des droits divers.
Si l’Onu ne partage équitablement entre ses membres les droits politiques et les gains économiques résultants de ses intentions et actions : quelle(s) prostration(s) justifie(nt) l’assujettissement et avilissement de l’Afrique et des Africains à une machination discriminante et discriminatoire ?
Joseph TAPA