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14/11/2014 16 04 27 (UTC)[citer]
Le Burkina-Faso va t'il être contraint à faire un pas de plus dans la marche de la sédition !
Le 17 décembre 2013

Blaise Compaoré ne devrait pas croire que le refus de son éternel ami Thomas Sankara, de livrer bataille les armes en mains face aux bourreaux qu'il encouragea à l'assassiner si ce n'est lui en personne, serait de toujours inoculé chez les Burkinabé(e)s.

Votre éternel Ami Sankara, président Compaoré, comme vous l'accompagnez à l'époque exprimait pour principal combat : l'amélioration sereine et pacifique du cadre de vie des Burkinabé(e)s. L'éternel Ami Sankara pu croire, à son dépend fatal, que la pratique de la non effusion de sang dans l'éviction des leaders d'Etat était et serait coutume en terre des Hommes Intègres à laquelle vous êtes par défaut rattaché Président Compaoré.

Votre éternel Ami Sankara, président Compaoré, su accepter dignement s'effacer et honorablement en s'opposant à adjoindre faire couler du sang -le vôtre compris- à la désapprobation soutenue de vous en son encontre, et au mépris d'influences vénales inélégamment incompatibles d'avec les missions dévolues à vous depuis déjà 26 ans à la tête de l'Etat Burkinabé.

Votre éternel Ami Sankara, président Compaoré, ne saurait raisonnablement à vos yeux être exemple à tout...la prime mortelle dont-il écopa parle d'elle même. Sans toutefois qu'il soit entendu que votre clairvoyance ne soit en partie d'inspiration des sagesses que distillait allègrement votre éternel Ami Sankara assassiné (officiellement naturellement mort en exercice des fonctions présidentielles sans bienséance en reconnaissance d'hommage et funérailles national). De la sagesse de votre éternel Ami Sankara, il en ressort que par l'amour du peuple pour lequel l'on s'évertue à son bonheur, il faille savoir accepter se mettre en retraite de celui-ci ou en marge de sa destinée dès lors que vos efforts et intentions ne lui parlent guère ou plus ou pas ou ne lui sont de convainquant perceptibles.

Président Compaoré, nul de censé ne saurait contester votre magnanime dévouement à la rectification de l'engouement novateur inspiré et matérialisé par votre regretté éternel Ami Sankara. Toutefois votre insistance et persistance à chapeauter et embrigader sous votre égide le dévouement à la rectification, prend une tournure inlassablement accablante et affligeante de gravissime menace de désagrégation sociétale....que populations ne peuvent que ne pas ou plus lire et y percevoir ainsi des efforts concourant au mieux et/ou bien être national.

Président Blaise Compaoré, tant il est vrai que le respect d'une parole donnée est un gage de confiance dans l'avenir de l'Homme, il serait de votre avenir meilleur y compris de celui de la nation pour laquelle vous vous dévouez de votre mieux depuis tant d'années : que vous puissiez permettre à d'autres de poursuivre de l'avant la marche rectificative.

Président Compaoré, face à l'histoire et la saine construction du futur, vous êtes invité à faire valoir une attitude de grandeur bien au delà de la bienveillance et pastiche à celle de feu Mandela, dans le respect de votre parole donnée au déploiement juridique et sécuritaire des organes institutionnels prévus par la constitution, sans que cela induise vous relever de la parole donnée par le passé sous l'emprise de la constitution dont les modifications pour peu qu'elles concourent à des équilibres juridiques, sécuritaires institutionnels, ne devraient qu'être ouverts à l'avenir. L'article 37 de l'actuelle constitution du 02 juin 1991 (dernière des trois importantes modifications -1997,2000- en date du 22 jan 2002) en vigueur et vous conférant depuis maintenant plus de 20 ans les fonctions de la magistrature suprême au titre de chef de l'Etat fut, sous votre égérie d'alors à sa rédaction et approuvé par le peuple (référendum) dans le vote de la constitution dans son ensemble, inspiré de bon sens par la nécessité de favoriser le changement à la tête de l'Etat.

Président Compaoré, votre bon sens ne saurait être encouragé à vous trahir et nuire à votre meilleur....la question ou problématique n'étant guère en compréhension de fond juridique et à savoir si oui ou non les procédures et règles légales et institutionnelles permettent la modification de l'article 37 de la constitution, mais de bon sens elle est (problématique) encadrée sur la valeur morale entourant le nécessaire de favoriser le changement à la tête de l'Etat.

Président Blaise Compaoré, comme il ne vous échappera pas, ce n'est guère l'aptitude, le talent, la compétence, qualités somme toutes par ailleurs vous habitant favorablement, qui sous-tendent le danger d'instiguer et incarcérer le futur burkinabé dans une prise en otage de la nation et de l'Etat. L'avenir vous regarde là où l'histoire s'émerveillera.

Joseph TAPA

Ps: Le président Hollande de France ne peut, indécemment et inconséquemment politiquement, se permettre une énième intervention en Afrique....; et le Grand Frère Deby Itno, fatalement, une nouvelle dispersion de ses troupes.



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