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09/09/2014 20 08 30 (UTC)[citer]
Est-il un seul intérêt pour l’Africain à se passionner du conflit voulu international en Syrie ?
Le 03/09/13

Il est élémentaire que l’esprit de l’Homme ne s’intéresse qu’aux difficultés desquelles des intérêts à lui profitables ou menacés sont en jeu.
Il est ainsi notoirement connu qu’à l’importance de la nature et/ou objet de l’intérêt jeu, s’y accompagne de stimulant, une multiplicité d’autres intérêts suscités de l’appétit de parties de fond étranger au conflit mais salivant d’opportunité. Se représentant généralement affublées d’appellations d’alliés, de partenaire stratégique, etc. ; et accompagnant leur quête d’assouvir leur bénéfice de l’intérêt escompté, par une idéologie accompagnatrice justificative de déploiements et autres formes d’assistance possible de terrain, au soutien d’un belligérants voire les l’ensemble des belligérants comme s’en spécialisent sans état d’âme les marchands d’armes.

Il revient donc à s’interpeller sur ce que peut et puissent être l’intérêt ou les intérêts, profitable de quelconque manière à l’Africain et l’Afrique dans ce conflit syrien, et d’une autre visibilité, qu’est-ce qui peut ou puissent caractériser menace ou constituer une perte pour l’Africain et l’Afrique justifiant qu’ils s’y déportent ?

Il est criard de non considération sur le plan économique, que la Syrie ne soit favorablement connue pour avoir fait montre d’une particulière générosité à l’endroit de l’Afrique et des Africains. Elle n’a, à ce que l’on sache à nos jours, jamais offerte voire fournie à prix préférentiel quelconques de ses richesses, avantages naturels et mécaniques, au bénéfice d’une terre africaine.

Il est d'un dénigrement éblouissant sur le plan politique que, la Syrie n’a à jamais pris le partie de porter voire de défendre une cause africaine, sur la scène internationale, n’y même investie dans un cadre de résolution.

Il est toutefois certain, que nombreux d’Africains soutiendront qu’il soit nécessaire de prendre position devant la présentation du manichéisme du bien et du mal. Avant qu’il soit fait appel à l’enseignement de l’histoire, il importerait que chacun s’interpelle sur la nature profonde de l’intérêt en jeu dans ce conflit. Ce devrait profiter à dépoussiérer la présentation internationale des prompts à la guerre, qui, d’une finesse, s’évertuent à nos jours à convaincre de la nécessité d’une guerre internationale en s’arc boutant sur un fait de guerre, à l’auteur inconnu, et dont-il semblerait qu’il ne soit d’importance d’en connaître l’auteur. Telle fut ainsi l’instruction gouvernant la mission des spécialistes enquêteurs onusiens sur l’utilisation des armes chimiques en Syrie. Ce qui en somme reviendrait à soutenir qu’il n’est de besoin d’en savoir du bien ou du mal… Ainsi, cette guerre syrienne en quête d’internationalisation, serait bien plus en sourdine, une transposition d’étape de la matérialisation d’un combat culturel à fleur de cultuel, entre l’Occident épris des valeurs chrétiennes en constance rénovation, et de ce fait, passant une phase d’affaiblissement, et, un monde arabe bien entrain à tirer profit de sa forte jeunesse facilement endoctrinée en radicalisme, et sournoisement soucieux d’expansion, en appui de la religion islamique qui se voudrait intemporelle….

Il est malheureusement d’histoire su que les Africains embrigadés de force dans les conflits, dont le plus retentissant par le nombre de perte par eux subis au cours de la seconde guerre dite mondiale, n’en avaient aucun intérêt direct qu’indirect ! Et surtout, n’en n’ont retiré aucune gloire. Ne furent-ils pas interdits de parader au jour de la libération de la symbolique ville de Paris ? Et pour s’en assurer qu’ils ne soient immortalisés par les films capturant les images en connaissance de l’histoire de l’humanité, ils ont tout bonnement été renvoyés à l’arrière des lignes une fois leur glorieux sacrifice des armes en première ligne (chair à canon) ayant abouti à la victoire. Relent de l’histoire, matérialisant au bas mot l’absence d’intérêt reconnaissable à leur endroit, dans cette conflagration occidentale transportée partiellement partiellement sans en être contre eux, et, dans laquelle ils avaient à dire vrai un rôle d’ustensiles.

Il en ressortirait de conséquence de la posture syrienne vis-à-vis de l’Afrique, et d’enseignement d’histoire des motifs des guerres dites internationales, qu’aucunes guerres hors mis celles interne en Afrique, ne colportent avec elles un intérêt relatif à l’Afrique et à l’Africain…

Il transparaît pour ainsi dire, qu’opportunité soit à nouveau de mise, après les échecs précédents dans la déportation dans les conflits internationaux, à l’intention des Africains, qu’ils ne se trompent de nouveau à espérer quelconque profit dans une guerre sans intérêt pour eux…

Il s’analyse que le suivisme des Africains, dans les guerres des puissants ne leur vouant par la suite aucune reconnaissance, au-delà de les manipuler moralement en scintillant des principes de fraternité humaniste, sur lesquels ils ne détiennent aucuns leviers et même pas dans la sécurisation à leur endroit, fut, est, et restera, non productif et profitable à eux… Ce qui devrait susciter la mise en pratique de bon sens, et d’expression se traduire par un emploi des énergies à s’investir un peu plus vigoureusement et ardemment dans l’absolu et nécessaire reconstruction de leurs bases culturelles et sociétaires, fortement malmenés jusqu’ici par l’Occident empêtré dans un jeu d’intérêt éloigné des préoccupations de l’avenir du mieux être de l’Afrique et des Africains.

Il ne saurait être soutenu que l’Africain resterait un être éternellement endoctriné… ! Quel(s) apport(s) cette guerre voulue internationale, et au loin de l’Afrique, par incitation d’une horde belliciste et de loin africaine, pourrait-elle produire de bénéfique à l’égard de l’Africain et de l’Afrique ? Pour qu’il faille que l’Africain y déverse une attention passionnée et/ou jubilatoire.

Joseph Tapa



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