03/03/14
Afrique: De Quoi en être Fière/Fier !?

Le trivial jouissif de la reconnaissance poursuivie d'acharnement du Noir dans les mises en œuvrent orchestrées par d'autres que lui, serait encore et encore d'onde de choc chez une marmaille en souffrance de similitude....manifestation d'une frénésie hystérique joie inégalée.

La reconnaissance étrangère à l'endroit du noir qui n'est jamais sans conséquence en manipulation bénéfique avérée et de loin au profit d'ensemble du Noir (communauté, telles que des représentations cinématographiques (Django, 12 years a slave, etc.) de souffrances injustement subies -ajournées- par les noirs au salut gagné non pas par leurs directs faits ou bravoure de leurs semblables...mais d'une bienvenue générosité étrangère (perfide humiliation), serait de toujours le Saint des saints.

À croire qu'une représentation cinématographique dans un environnement dicté, défini, dirigé, financé, de bourreau par une certaine cohorte qui en contrôle la diffusion internationale et joue de reconnaissance (gratification: Oscar), puisse être réalisée en toute sincérité ou sans profonde manipulation.

Quelle fierté peut-il être de se voir infuser l'incapacité des ses semblables ? Quelle fierté peut-il en être de savoir et voir son histoire mémorielle adaptée à de basses manœuvres ?

Joseph TAPA