16/04/13
Afrique-Asie : La Chine en Afrique c'est la diablerie de l'ombre rouge en quête de sang des Africains !

Par qui l’Afrique est ou serait-elle menacée pour que l’Asie et de fracas la Chine se sentent d’une obligation d’humanité « universelle » à voler à son secours ? Sous quelle intelligence la Chine pour soit disant combattre l’Occident sur ses acquises réserves africaines, aurait besoin ou recours à des personnes brillant par la lâcheté ou profonde incapacité à combattre…si ce n’est aussi tirer profit de la faiblesse en la renforçant dans son état ?

La Chine selon ses représentants n’aurait jamais tué un Africain, précisons tout de même physiquement ou directement sur le sol Africain...tout comme elle n’a jamais donné la vie à un Africain ou s’est illustrée en défenseure des vies africaines de par les institutions de ce monde. La Chine c’est assurément en poursuite des Occidentaux : le futur malheur d’une Afrique malmenée encore et encore à être sous l’idolâtrie de pseudos bienfaiteurs, qui comme naguère les Occidentaux construisent (et pour la Chine bien plus pire de qualité ou renouvellent des infrastructures avec l’assurance d’enfumer la joie et la conscience d’Africains et surtout la jeunesse en souffrance de reconnaissance et d’existence émerveillée.

Quiconque s’apitoie sur votre sort n’a de quête qu’à tirer profit de votre faiblesse ! La Chine n’y échappe guère, elle n’apprécie qu’au mieux le contenu des Terres Africaines qu’elle s’évertue à recouvrir de sa marque par le risible de ses réalisations (comme naguère les Colons Occidentaux) et de loin apprécie t-elle les Africains pour qui son mépris d’eux s’exprime indubitablement par sa concurrence tous azimuts à tous les secteurs primaires qu’elle leur impose en interne Afrique sans s’ouvrir d’identique en réciprocité à ceux-ci chez elle en Chine….tout comme elle n’a de complexe à exclure les Africains des réalisations et apprentissages dont elle se veut soucieuse du mieux être des territoires d’Afrique.

La Chine semble pouvoir compter (sans effort de violence, mais à l’assurance de la mendicité de reconnaissance) sur un certains nombres d’éberlués Africains. Qui comme naguère d’autres Africains émoustillés par la présence occidentale, s’empressèrent d’y voir d’un convainquant imaginaire le futur merveilleux de l’Afrique. Après les désillusions renforcées par les incapacités des indépendances données, la nouvelle marque de refus Africain de prise de responsabilité directe dans la souffrance de la construction d’une Afrique prospère et combative d’égalitaire de part ce monde : s’excite par l’idolâtrie à fleur d’ensorcellement de la merveilleuse Chine.

Il est vrai que pour combattre il faut en avoir le et du courage. Qualité qu’exprime de cynisme la Chine dans sa conquête dite non agressive, et d’ironique idéologie accompagnatrice, politiquement présentée de gagnant gagnant dans ses seules relations (hum !) d’avec l’Afrique…en défense et sauvegarde de l’existence de son modèle sociétaire. Là où l’Africain exprime de combat l’attentisme de la générosité étrangère à son fait…redoublant d’esquisse justificative en renfort de bons nombres de principes et autres logiques dont-il n’est aucunement un acteur principal, à l’exemple de la mondialisation c’est l’interdépendance sociétaire et autres soufflet que l’on ne saurait se développer sans le concours d’autres sociétés : là où il importe qu’ils s’interpellent (Africains) sur la nature de leur concours physique à l’évolution et non celui des possessions des terres qu’ils occupent sans en être en mesure de les valoriser !

À la désillusion endurcie de l’absence de pitié et sauvetage sociétaire du messie des théologies religieuses importées d’Occident et d’ailleurs, se substitue d’espérance, d’un nouvel imaginaire, la quête de compassion soutenue stratégique des dragons d’Asie. Ainsi donc s’exprime le courage d’une frange des Africains à la construction de l’Afrique tant aimée d’eux, au profit actuel et ultime comme toujours d’étrangers.

Joseph TAPA