Ceci est spécifiquement à l’attention des Vrais Camerounais
le 27 Nov 2012

Je voudrais ici m’adresser spécialement aux vrais camerounais. Celle ou celui là qui à défaut d’être né(e) au Cameroun et y avoir jusqu’à adolescence grandi(e) et ainsi en être imprégné(e)
de la culture locale, en est d’expatriation tout aussi fortement rattaché et le manifeste de comportement.

Si vous leur demandez ce qu’il pense de leur chef d’Etat actuel, Paul Barthélemy Biya Bi Mvondo, il y’a de très grande chance, que majoritairement, que ce dernier soit affublé d’épithètes de Mauvais soutenu d’explication en ce que Feignant, Paresseux et de conclusion de Premier Prévaricateur en détournements des finances publiques (Voleur). À se demander si ces étiquettes négatives lui était singulière ou représentative d’un ambiant comportement local que colporterait ainsi bien le premier d’entre eux.

Ce qui force l’observation et l’écoute se rapportant aux camerounais (es). Il ressortirait qu’il se pourrait que leader camerounais actuel, Biya, sur qui est projeté bons nombres de négatifs, ait pu de sa qualité de leader envié et mystifié contaminer (à défaut de reproduire un comportement local) ses semblables dans leurs expressions quotidiennes. En effet, difficile serait de ne pas courir un risque supplémentaire au-delà de ceux liés à toute activité quand on se projette en collaboration avec un(e) camerounais(e). De triste réputation prenant le pas d’une pratique coutumière, il devient notoire de danger probable que quand on se lance en affaire avec quelconque ressortissant de ce beau pays et riche pays ; ce dernier, même si vous lui venez directement en aide, et pire financièrement, ne rechercherai qu’à tirer sur sa personne un gain économique et au mépris sans gène de mettre à mal l’initiative ou l’aide dans sa durée. Voire soutenir d’efficacité dans le temps l’initiative, quand bien même elle aurait un impact profitable à bons nombres de ses semblables. Ce qui laisse à croire que cet état d’esprit de mauvais ou de méchanceté dans l’ensemble serait, à défaut de sport national, un trait de caractère propre. Et qui de ce fait relèverait de la manifestation de grande mauvaise foi que d’avoir à acculer de principale responsable leur leader tant décrié.

Autrement, Paul Biya, n’est-il pas à l’image des vrais camerounais ? N’est-il pas simplement fortement jalousé de par sa proximité d’avec les finances publiques, que lui rivalisent, de concours à la déportation sur soi, bons nombres de ses administrateurs qui n’ont de scrupule de détourner des financements en total mépris des réalisations escomptées et bénéfiques aux populations ?

Peut-on dans ce cadre raisonnablement reprocher au leader camerounais, Biya, de part ses aptitudes à la prévarication et autres méfaits qui lui sont reprochés par les siens au détriment de l’essor national ? Quand cela paraît, de généralisation, être incrusté dans les veines de ses semblables ?

Pensez vous sincèrement au-delà de souhait ou rêverie que la tendance puisse être renversée par un départ des affaires publiques du chef de l’Etat Biya ? Le départ de Biya à lui seul en qualité de principal vecteur serait solution ?

Joseph TAPA