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20/02/2013 11 11 37 (UTC)[citer]
Sauvons l’Union Africaine !
L’Union Africaine en souffrance africaine
le 17/06/2010

La plus emblématique organisation d’espoir de cohésion africaine, créée en calque de l’Union Européenne (U-E), à Durban en Afrique du Sud en 2002 : l'Union Africaine (U-A) , avec comme objectif d'œuvrer :
1- A la promotion de la démocratie.
2- Des droits de l'homme.
3- Du développement à travers l'Afrique, surtout par l'augmentation des investissements extérieurs par l'intermédiaire du programme du Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique (NEPAD).
L’Union africaine, intrinsèquement s’amenuise, en carence est-elle de légitimité, quand bien même dotée d’institutions idoines : Commission, Parlement panafricain, Conseil de paix et de sécurité, par la conférence de juillet 2003 à Maputo au Mozambique.

L’assistance produisant des obligés ; simple évocation en aphorisme du pesant Africain.
Ces institutions de l'U-A sont fortement affaiblies par un fonctionnent substantiellement réalisé grâce au concours de l’aide internationale non africaine, y compris pour les rémunérations de nombres d’employés (es). Majorité d’Etats africains membres signataires brillent tristement par le non versements et/ou infini retard des cotisations budgétaires, comme ce fut déjà le cas sous l’ère de la défunte Organisation de l’Unité Africaine (OUA).

Reléguant cette organisation à ce qui pourrait alors être considérée comme un machin (clin d’œil au général français Charles De Gaulle, sur son assertion d’un versant de l’U-E), à vocation d’opérette ou de faste cérémonial. Ce qui d’une observation, entreverrait sa création comme une fumisterie tendant à complaire l’éthique progressiste.

Ainsi l’affaiblissement de l’U-A se matérialise par le dénie de marges de manœuvres (absence réel de fonds propres de fonctionnement), ouvrant bonnement la voie à des prises de contrôle tant étrangère, ce qu’expose les méfaits de l’assistance, que d’opportunistes peu ou prou sincère, à l’image du guide libyen : le colonel Mouammar Kadhafi, qui fort du paiement par ses soins des cotisations de nombres d’Etats africains, obtiendra sous sa coupole le décès de l’OUA (déclaration de Syrte du 9 septembre 1999) au profit de l’U-A, et en poursuite de sa généreuse attitude de règlement constituant ses obligés au sein de l’U-A, réclama une novation au profit d’une nouvelle entente sous la dénomination d'Etats-Unis d'Afrique.

Dans un esprit comparatif de l’approche unitaire et les préceptes politiques d’y parvenir qu’expose l’U-A et la défunte OUA aux Objectifs de :
1- Promouvoir l'unité et la solidarité des États africains.
2- De faire acte de voix collective du continent.
3- Lutter à l'éradication du colonialisme.
Il est envisagé d’orienter la réflexion sur la portée (objectivité du choix unitaire, par l’action politique q’entrevoyait l’OUA, et celle philosophique et économique de l’U-A.

L’argent ou le financement au cœur des objectifs de l’U-A, talon d’Achille des esprits Africains pour de multiples causes et effets : pauvreté symbolique, avilissement et neutralisation, détournement etc. ; se trouve être l’obstacle primordial à la concrétisation réelle de l’U-A.

Toutefois, l’Afrique appartenant aux Africains, il est proposé à ces derniers et amis (es), de s’inscrire dans une contribution en détournement de l’obstruction des leaders d’Etats, en portant un soutien direct à l’organisation U-A.

Ainsi :
1- Il est sollicité l’ouverture de divers comptes d’épargnes (dans la possibilité, d’un unique par pays de part ce monde) sous la dénomination Solidarité Afrique (SolAfri), avec unique retrait annuel au bénéfice conditionnel de l’U-A.
La multitude des comptes mieux à même de contrôle s’avère être aussi un bon pare feu au détournement global.

2- SolAfri, devrait être alimenté selon convenance par quiconque, sous la contrainte de justification de provenance et autres règles du pays d’établissement.
Il ne saurait être revendiqué restitution, sous quelconques raisons.

3- L’U-A doit être invité à solliciter un pourcentage oscillant en fonction des volumes entre 0.2 et 1, sur les coûts des transferts d’argents, transactions financières, les taux de profits bancaires, en relation d’avec l’Afrique au profit de SolAfri.
Sans que cela soit une invitation aux Etats à s’extraire de leurs cotisations à l’U-A, il n’est qu’ici souhaitée une mutuelle solidarité.

4- L’U-A devra solliciter l’instauration d’une taxation de contribution aux développements, consentie par les compagnies aériennes (non africaines) desservant le continent africain au profit de SolAfri.

5- Les sommes collectées par SolAfri, devront être allouées annuellement dans tous les pays d’Afrique sans exclusion ; Une part substantielle pouvant être employée dans des actions d’urgences.

L’utilisation des fonds collectés peut faire l’objet de proposition de quelconque Africain (e), sous la réserve d’acceptation de l’U-A.

Les retraits annuels devront s’effectuer de concert à date convenue après consultation de l’U-A, a qui il reviendra d’exposer la viable utilité.
Le retrait sous la co-signature d’un représentant à l’unique mandat (nul ne pouvant l’être même à année distincte dans deux pays) jusqu'à épuisement des donateurs du pays de collecte, le sera dans la mesure du possible réalisée en la présence du président de la commission de l’U-A, à défaut d’un député Africain. Le représentant du pays de collecte étant de facto durant la durée d’utilisation des fonds alloués en charge du suivi de concrétisation et devra en faire un rapport écrit.

Il est devrait être interdit les actions s’insérant dans des programmes : le montant des collectes ne pouvant être par avance déterminé.

A défaut de possibilité d’utilisation des fonds : soit par manque d’utilité ou pour causes de distorsions quelconques, ceux-ci devront être équitablement réparti aux petites activités agricoles ou faiblement industrialisées sur l’ensemble du continent africain (tout pays devant en bénéficier).
Si obstacles persistèrent, les sommes collectées devront être au titre de la solidarité des peuples, allouées aux associations en relation avec la jeunesse européenne, en reconnaissance des aides et accueils reçues par les Africains sur leurs terres.

A tout un chacun d’y porter modifications et/ou compléments, l’auteur restant à votre disposition pour tout approfondissement.

Joseph TAPA



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