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29/01/2013 10 10 30 (UTC)[citer]
De la dévaluation des monnaies africaines au travers du test Nigérian
Le 14 jan 2012

Le contexte international de crise financière au fort accent économique et bientôt systémique dans le cadre d’inter indépendance -mondiale- des économies d’Etats, et, dont en
souffre au plus haut l’Afrique aux productivités essentiellement orientées à la satisfaction (consommation) des besoins (débouchés) qui lui sont étrangers, ne saurait épargner l’Afrique de meurtrissant ricochet.
Quand bien même le continent africain ne serait pas à la genèse du mal -hydre- destructeur, mais de simple morale humaine du déport en marge de manœuvre vers autrui, il est (le continent africain) d’expérimentation de conflagration probable de changement brusque (effet latent de la crise systémique) de nouveau mis en œuvre à l’instar des expériences à échelle humaine que y pratiquaient et pratiquent de toujours les laboratoires en tous genres sous la coupole du souci premier du bien être des sociétés et accessoirement celles africaines et ses populations : sorte de variante humanitaire de dommages collatéraux inévitables et excusables au nom du mieux être de l’humanité.

Ainsi, le Nigéria, géant d’Afrique, plus grande population (160 millions) africaine sous la bannière d’un Etat fédéral et actuellement dans le trio de tête des Etats pétroliers africain, par l’entremise d’un ministre de l’économie tout droit sorti des bureaux d’adjoint du FMI, s’est fendu d’une décision de doublement du prix du litre d’essence à la pompe, de 65niera -0.33eu- à environ 0.70eu, par l’arrêt de subvention légale, sous le justificatif de nécessaire investissements dans le secteur pétrolier et en occurrence celui du raffinage en essence et autres produits de consommations courantes du pétrole brut.
Cette mesure interlope sur son apparence louche et suspecte les populations qui se sont mises en grève générale, depuis le 09/01/12, nonobstant la fâcheuse tendance que se soit de toujours d’impétrants enfants du pays à l’expérience fortement extérieur (à l’exemple de la Côte d’Ivoire et ses chantiers de libéralisations économiques porté d’époque par l’ex adjoint du FMI, ex premier-ministre, actuel président Ouattara, et source des macabres troublions politiques qui parcourent ce pays ; Et autres nombreux leaders sorti de la nasse étrangère) qui s’emploient à des mesures sollicitant d’univocité l’effort public qu’auprès des populations consommatrices.

La nature de la crise nigériane…

Le Nigéria peine depuis bien longtemps, son indépendance officielle, à suivre et satisfaire le besoin énergétique (électricité, essence, etc.) de ses populations croissantes, par défaut de sérieux et courage de politique d’investissements en infrastructures, et ce, en raison de contraintes : non pas de politiques politiciennes internes (rivalité fratricide), mais de la pusillanimité des décideurs à revoir les effets des contrats d’avec les compagnies pétrolières étrangères exploiteurs de sa première source de revenu.

Au lieu de solliciter aux majors pétroliers exerçant sur son territoire de construire des routes non bitumées et autres écoles en préfabriqués et dispensaires sans matériels et moyens de fonctionnement ; Il serait bienvenue que l’effort de programme d’investissements sociaux que s’engagent d’illusion (en masque contrebalançant les nombreux dégâts écologiques causés par l’exploitation sauvage du pétrole au point de faire un mouvement armé contestataire sous l’appellation du MEND) à satisfaire les dites compagnies, soit accompagné de l’instauration d’une taxation « sociale » sur chaque baril de pétrole prélevé du sol nigérian en vu de contribution à la sérénité d’exploitation pétrolière. Au taux de participation modulable selon des choix d’investissements en nature et autres voies et moyens.

…suffoque d’aubaine au test de réaction sociale africaine…

Loin de tout cynisme politique, après avoir éprouvé la réaction sans risque, outre mesure la symbolique désapprobation verbale des leaders africains dans le cadre de la déprédation et coup d’Etat international en territoire libyen (Afrique), il est de nouveau tâté le pouls cette fois-ci des populations africaines ici directement concernées (niveau d’acceptation) du renouveau de la cherté du coût de vie au quotidien. Opération similaire dans l’intention de test social, à celle initiée au courant des années 2008 et qui vu quelques territoires africains entrer furtivement et sans grand fracas en ébullition (Cameroun, Burkina Faso, etc.), mais de finalité différente.

Contrairement à l’augmentation du coût de la vie courant 2008, où l’objectif était en duperie de faire baisser au point de réduire à peau de chagrin voire tout bonnement supprimer les droits de douane sur des biens de consommation de première nécessité importés (dérivé du fameux APE cher au président Chirac), soutenant de facto les entreprises exportatrices non africaines, en couvrant pour ainsi dire l’augmentation des prix sur laquelle il n’était pas question d’y revenir car l’importation en masse des produits étrangers non taxés et bien moins chers que les productions locales (neutralisant au demeurant l’initiative locale africaine) serait venue au secours du pouvoir d’achat des ménages.
Le nouveau test social au travers du géant africain qu’est le Nigéria (indicateur à la population couvrant bon nombre d’Etats africains réunis), n’aurait d’autre finalité que de prévoir le cadre et la nature de l’augmentation des prix (bénéfice global de la cherté future de la vie en Afrique) en contournement de la dévaluation monétaire dont l’inextinguible mécontentement d’être des pigeons risquerait d’effaroucher longuement la majorité et jeune population africaine en force de l’âge.

Au bénéfice de deux postulats
1- L’argent se gagnant beaucoup plus quantitativement chez les plus pauvres qui représentent la majeure partie des populations.

2- Tout augmentation suppose une certitude dans l’attrait du produit (bien de consommation) à l’inverse de la dévaluation qui expose des criantes nées de la valeur de la production et de sa qualité (n’omettons pas que les Etats africains ont une production quasi nulle hors matières premières naturelles et par conséquent sont essentiellement consommateurs : balance commerciale déficitaire).

De sorte qu’une dévaluation des monnaies africaines s’impacterait plus sur les échanges (achats) des Etats. Le coût d’appauvrissement des Etats en raison du surplus monétaire d’achat, aurait pour conséquence inéluctable d’amenuiser au minima le flux d’échanges interétatiques et par voie de conséquence n’être bénéfique à long terme aux économies étrangères non africaines.
À l’inverse d’une augmentation des prix en Afrique ; Et ce, en ce que la consommation africaine étant érigée au travers de besoin dont les Etats n’ont pas la maîtrise directe (médicaments, mécaniques et outillages, etc.) « celle-ci étant plus importantes que les productions locales au demeurant essentiellement orientés à la satisfaction de besoin extérieur (ce qui en cas de dévaluation serait une aubaine financière pour les Etats au vu du niveau, de la qualité, des forces vivent qui produiront à des coûts bien bas pour des ventes sur des marchés extérieurs bien plus rentables) », il en résulte que le bénéfice monétaire serait plus significatif (important au vu du niveau et de la croissance des populations toutes consommatrices) du fait d’augmentation généralisé des prix. Nul, de vital, ne pouvant y échapper voire s’y soustraire durablement.

De simpliste raisonnement, l’augmentation des prix de consommation dans une société africaine à la balance commerciale déficitaire, serait bien moins coûteux qu’une dévaluation qui en l’état déficitaire actuel des économies de tutelle étrangère à l’Afrique, risquerait d’imposer à celles-ci qu’elles s’alourdissent en autofinançant les déficits africains.

…embellissant de plus bel un rapport de force désuet

L’impéritie des leaders africains à implémenter un cadre de productivité (éducation, matérialisation, etc.), non pas par faute de moyens humains, devant inscrire l’Afrique dans un rapport de compétitivité d’avec les économies étrangères et ainsi permettre à ses nombreux talents de se dévoiler à l’avantage de l’Afrique, produit d’effet inverse à sangler ses talents dans la quête existentiel d’un rapport de force ouvert, se déclinant en choc de civilisation, d’avec les sociétés étrangères à l’Afrique. Hors cette situation, dope au mieux la digression devant la nécessité de compétitivité économique.

Dans cette quête, il serait souhaitable de porter entendement aux leaders africains à l’instar des sud Africains Thabo Mbeki, Jacob Zuma et autres, afin qu’ils cessent de distraction à tempêter à tout va sur leur mécontentement sur la mise à l’encan de la Libye et le sort de Feu Kadhafi. Si ces derniers, qui sont loin d’être bête, faut l’espérer, étaient autant digne Africain que moins politicards, ils leur étaient loisible de militairement se porter au secours de la Libye africaine en premier avant même celui des liens d’amitiés d’avec son feu leader d’époque.

L’Afrique étant fort malheureusement depuis belle lurette victime des incuries gestionnaires de ses débottés de dirigeants, il est plus que nécessaire de porter un vif et vibrant soutien au manifestation de grève générale encours au Nigéria. Si les économies étrangères qui ont indéniablement besoin des matières premières dont regorgent l’Afrique, sans que cela soit vital pour l’Afrique, ne veulent contribuer à l’investissent en concours au bien être des populations locales ; il importe qu’elles emportent avec elles ces impétrants africains qu’elles positionnent en malheur pour leur peuple.
Le rapport de force se doit d’être entrevu localement, en contre des satellites de dirigeant.

Joseph TAPA



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