le 25/03/11
L’Afrique Victime du Tsunami japonais !
Le tremblement de terre ayant favorisé le Tsunami qui provoqua l’explosion des centrales nucléaires et contamination de l’environnement vital japonais, survenu dès 11 mars 2001, projette en ricochet de scabreuses pratiques d’accoutumance orienté vers l’Afrique.
Certaines crises et catastrophes des sociétés dites modernisées ou évoluées, exposent de gravité menaces à la survie de leurs modèles économiques de production et consommation à outrance. S’impactant directement en instabilité de l’environnement d’échanges commerciales et financières, qui dans le cadre de la mondialisation concerne au plus haut le triumvirat que forme l’Europe, l’Amérique et l’Asie.
Hors à la suite de la crise du nucléaire japonais, nombreux sont les Etats (triumvirat) financièrement et socialement (emploi) liés en transfert de biens de consommations intermédiaires (transformation) et finaux (prêt à la satisfaction des ménages), d’avec le Japon, qui renoncent et s’opposent à la réception des dits biens sous l’évocation de dangerosité et risques sanitaires avérés. Projetant ainsi l’affaiblissement -momentané- de l’économie japonaise, au risque d’en être eux-mêmes de connexité économique et interdépendance sérieusement affaibli en cas d’enlisement (moyen terme : 5 à 8 ans, hors l’irradiation nucléaire territoriale se maintient 50 ans au minimum).
L’économie japonaise en forte décroissance depuis une dizaine d’années, en admettant qu’elle puisse faire face d’elle-même via des réserves ou au travers de la solidarité du triumvirat (prêt, don, etc.) à la cascade d’effets négatifs (pertes brutes, chômage, coût de la reconstruction, etc.), il apparaît d’évidence qu’il sera fait tout le possible pour limiter le poids du recours (réserve, solidarité
à la relance. Le pays n’étant pas à son premier ni dernier tremblement de terre aux effets divers, multiples et imprévisibles.
Il apparaît tout aussi d’évidence que le triumvirat marqué interdépendance, s’activera en assistance de limitation au recours. L’infamie si tant est que l’on se rapporte aux pratiques passées, à l’exemple des crises des filières de productions animalières (bovine, volaille, porcine), serait de détourner ces biens impropres et dangereux pour la santé humaine, à la consommation à bas prix (limitation au recours et effets négatifs), en Afrique. Et d’ironie de faire valoir, voire revendiquer, un saillant soutien quantitatif à la consommation et amélioration du bien être.
Appel à la mise en garde
Il est souhaitable que les Africains fassent véhiculer auprès de leur entourage et spécialement à destination de celles et ceux établit en Afrique, de ne guère (de préférence plus) consommer les produits dont les prix de vente chuteront sur les marchés dans les jours à venir, si ce n’est déjà la cas. Cela n’est pas conséquence divine, ou générosité de fertilité exceptionnelle des sols. Et particulièrement les produits importés (en provenance du triumvirat par excellence, avec méfiance sur ceux ayant transités ailleurs en Afrique).
A nos jours les produits laitiers, les fruits et légumes, les viandes (dit congelé ou non issu d’élevage local), le riz d’Asie, sont susceptibles de nuire à la santé et propagation de la vie.
Joseph TAPA