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13/09/2012 21 09 43 (UTC)[citer]
le 25/03/2010
Qu’arrive t-il aux peuples Noirs

Il est indéniable que les populations Noires originelles ne sont le fruit d’hybridations culturelles ou imbibées de justesse de compassions d’incapables.
Indiscutable est leur présence élogieuse et talentueuse dans l’histoire passée de l’humanité. Les cieux africains du coté du Soudan et de l’Egypte pour exemple imposent au monde la teneur capacitaire de ces populations, que l’Homme moderne ne su effacer.
Le passée structurant le présent qui lui est la base de l’avenir, une certaine observation du présent des populations noires fit dire dans une formulation entendue comme malheureuse du président Nicolas Sarkozy, que l’Africain n’est pas assez rentrée dans l’histoire de l’humanité (sous entendu dans une certaine lecture, histoire moderne de l’humanité.

Nul de doute que ces populations (ancêtres Noirs) en remontant pour l’exemple à l’an dit zéro, ou avant le quatorzième siècle (début de l’orchestration mondiale de l’esclavagisme à visée commerciale et expansionniste européen) luttèrent contre la nature et autres groupuscules, en force de survie, respect et honneur de leur spécificité. Et cela aussi, en espoir de préservation de la dignité et valeurs qu’elles léguèrent à bon nombre de noirs.

Il est tout naturellement attendu de l’héritier qu’il suppléait la faiblesse de perte de force progressive des parents, en poursuivant au mieux la défense, amélioration, et/ou ajouts, des attributs légués. Et au premier celui dit capacitaire, et ainsi inscrire en continuité la jeunesse dans le possible et non le scander en brio d’exclamation à l’image de la frénésie d’engouement dans le : « Yes we can » d’Obama.

A croire que ces populations noires ne sont plus dignes de leurs glorieux ancêtres. D’une certaine louable lecture et analyse évolutive, il apparaît pour le salut des valeurs ancestrales, que la simple couleur de peau ne saurait plus être facteur de rattachement à la culture Noire, fierté d’antan et de toujours de l’humanité.

Le quotidien moderne des populations noires défraie un pandémonium stupéfiant.

Sur le plan social, sociétale et civile
Il est afférant d’ignobilité de percevoir ces générations d’héritiers (ères), qui sans être de part leur éducation, vécu, environnement, des européens, qui entendent éduquer leurs progénitures dans ce qu’ils ne maîtrisent pas, mais n’en ont qu’une appréhension. Voilà donc la voie de la descendance héritière se revendiquant ironiquement africaine : que produira une éducation faussée, tronquée, stupide, à la base.

Incroyable est la perception de la représentation majoritaire de survie de ces populations noires, qui se matérialise par la quête permanente d’être au service, de travailler pour autrui. Et le modernisme aidant, avec vigueur pour l’étranger. Bizarrement, d’autres populations récemment émigrées (Indiens, Asiatiques, Arabes) sur des terres étrangères y compris en terres noires, optent en grand nombre pour meilleur satisfaction, rétribution de bien être, pour la création économique bien mieux rentables. Et dire que les ancêtres des populations noires étaient tout aussi animés de l’esprit d’initiative, au point de rémunérer le personnel essentiellement étranger de leurs réalisations pharaoniques.

D’un amer "saumâtre" goût frustratif est la brillante renonciation de ce qui fut et permis le maintien de la lignée dont elles (populations noires) sont censées être hériditaire. A l’exemple de l’addiction culinaire à tous ceux qui furent exportés à leur milieu de vie (patate, igname, riz, pomme de terre, banane, manioc, etc.). Ce qui fit dire à un brillant simple noir de couleur, qu’il était noir mais m’aime pas le manioc.

Qu’elle est donc cette force imperceptible ou surnaturelle qui mine le noir moderne dans le salut de paresseux ?

Malheureux est d’observer que les ancêtres de populations noires s’en remettaient à des incantations aux forces surnaturelles dit dieux (les leurs), pour accompagner dans le succès leurs actions et réalisations. Tandis qu'à l’inverse, leurs descendances moderne y ont recours afin que les divinités d’adoptions (Allah et autres appellations dérivées du christianisme) métamorphosent leur quotidien.

Effroyable est la constatation de la croissance démographique de ces populations, soutenue par les assistances économiques étrangères (organisation non gouvernementales), à l’exemple du Darfour, Niger, etc. Quand celle-ci n’est le fait d’une bassesse quête d’avantages matériels, à l’exemple de recherche de papiers et/ou identités étrangers, aides financières étrangères ; Ou dérive d’absurdité d’immaturité, à l’exemple de l’incommensurable représentation de famille monoparentale chez les populations noires, facteur de simple jovialité d’antan et très souvent tirée d’influence environnementale.
Eh bien sur les cellules familiales qui se voulaient imprégnées de valeurs étrangères, se dévoilent en malheur de la descendance des populations noires.
En conséquence leur maintien existentiel est la marque du bon vouloir étranger.

Sur le plan politique
Il est écœurant de fierté l’appréhension voulant que la représentation des populations noires soit réalisée grâce à des moyens techniques et financiers des étrangers. Pour exemple, ces les fonds internationaux non africains qui majoritairement pour ne pas dire exclusivement, soutiennent l’organisation et tenue des élections et au plus haut présidentielles :
Libéria, en Côte d’Ivoire dont on flatte les esprits en assertion de pivot économique sous régional, en République Centrafricaine, République Démocratique du Congo etc.

Il est rabaissant de dignité que les actions des nombreuses institutions à vocation internationales des populations noires, trouvent essentiellement concrétisation via les financements étrangers. A l’exemple du vital soutien militaire au gouvernement transitoire somalien, par des forces africaines majoritairement burundaise sous l’égide du financement des soldes et fournitures d’équipements matériels de l’Onu. Les forces éthiopiennes un temps venu à la rescousse (deux ans de présence : fin 2006/début 2009) s’en sont allées pour défaut de financements conséquent étrangers, les institutions africaines ne pouvant y faire face. Tout comme la rutilante volte face du Sénégal, dans l’envoie de 150 fusiliers marins sur l’île d’Anjouan aux Comores en mars 2008, pour y déloger le président autoproclamé colonel Bacar, pour défaut significatif de rémunération étrangère.

Il est déplorable de capacité que la défense internationale des populations noires et leurs représentants, soit le fait d’autres personnes étrangères. A l’exemple jusqu’à il y a très peu officiellement de la prise de parole au nom d’Etats africains par certains pays étrangers devant les instances internationales. Retentissant fut l'exemple de la France s’exprimant ou répondant à l’Onu, au nom de la glorieuse Côte d’Ivoire. Tout comme que se soit une commission de parlementaires français qui entendent imposer la lumière sur la disparition de l’opposant tchadien Ibni Oumar Mahamat Saleh.

Qu’elle est donc le devenir de ces peuples qui se minorent ainsi ? S’abandonnent ainsi ?

Prévisible est le ravalement salivaire d’une forte marmaille s’en remettant à l’inévitable esquive, sans ironie, à la préhistorique oppression.

L’on ne saurait attendre de la masse qu’elle s’instruise pour le bien commun, et dans le cas d’espèce pour la sauvegarde des valeurs originelles des populations noires (talents, capacités, différences culturelles en richesse de diversité et apport à l’humanité etc.). Toutefois quand la gangrène ne peut être maîtrisée, il importe pour la sauvegarde du corps d’amputer le membre ou la partie infectée durablement.

Il importe donc de redéfinir l’appartenance concrète à la culture noire, dont la base indiscutablement et indéfiniment se trouve être en Afrique.

Joseph TAPA



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