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10/07/2012 19 07 38 (UTC)[citer]
Que faudrait-il à l’Afrique ?
le 31 jan 2012

Le mal être, de normalité intellectuelle, se doit de produire d’effet instantané chez un être censé l’activisme réactionnaire, afin d’amélioration de son cadre existentiel et celui de sa progéniture.
Il semble unanime que le continent africain projette au travers de ses enfants dans la manifestation de valeurs participatives de vie, la représentation accablante d’impérities de ses représentants, l’intronisation en paroxysme cérémonial de ses institutions : un béant saumâtre mal être des plus gênant.

À l’évidence, des échecs s’emploi en contournement le nécessaire principe d’amélioration. Ce à quoi, au regard du persistant d’échecs d’ensemble des Africain-e-s dans leurs réalisations, à l’instar du récent fait d’arme de la plus emblématique d’elle (l’union-africaine : U-A) qui ne su pas taire les divisions de tranchée d’affiliation linguistique coloniale pour l’élection de son non plus moins emblématique président de commission et rebiffant ainsi l’indécente pratique de revendication d’idéal d’unité, interpellation et action seraient des plus utile dans le nécessaire de contournement à inscrire le futur africain dans les bénéfiques voies propres capacitaires de l’honneur et la dignité.

À l’avènement en novembre 2008 aux Usa, à la tête de cet Etat, d’un apparenté africain, Barak Obama, une vague considérable d’illuminés éperdus Africains en renfort d’excitation à la reconnaissance via le fait d’autres qu’eux, prompt à de suave esquive en justesse de sauvegarde de fioriture d’intellect, s’époumonant à tue tête sous le confort d’attentisme messianique : s’est émoustillée de haut de cœur de malheureux à la lueur du non moins célèbre dit discours d’Accra où l’apparenté s’insurgea en assénant que l’Afrique n’avait pas besoin d’Hommes Forts mais plutôt d’institutions Fortes pour son mieux être. Cela dans la lancée du fracas français sous le retentissant de son président Nicolas Sarkozy à Dakar en 2007, exprimant qu’il serait bienvenu que l’Afrique s’inscrive à rentrée dans l’histoire de l’humanité où elle ne l’était guère.

La barbarie de l’intellect uniformisé par le brio destructeur et fort encadré des choix (modèles organisationnels) oppressant de pesant l’africain dans l’exercice ou réalisation de son bien être, aidant inéluctablement à ce que l’Afrique ne se positionne favorablement dans le futur de l’humanité ; De constatation s’imposerait que soit éradiquer au risque d’être perpétuellement présenté en sauvage en ce que n’empruntant pas les voies a elle prédéfinies, que l’Afrique se libère d’intolérable des propos paternalistes internationaux. Et qu’elle lui plaise de tout détruire pour en apprendre par elle-même en bien ou de mal se devant d’être la voie royale de sa maturité. Indépendance chantonnait pourtant au pas de Tcha Tcha une certaine génération dont la lignée générationnelle couvre l’Afrique de Honte inextinguible.
Pour ce faire, dans cette quête de matérialisation du concret à s’inscrire dans un apprentissage salutaire, encore plus en ce que l’Africain n’est profondément à nos jours qu’un béat consommateur tous azimuts et lié par là aux désidératas à lui étranger, à l’exemple de présence continuelle soutenue amicale et de loin symbolique des délégations occidentales, américaines (Us), asiatiques (Chine), dans les prétoires et antichambres de l’U-A : Que l’Afrique ait plus que besoin d’Hommes Forts en appui de peuple même malmené pour redorer de respect et force les institutions qui lui sembleraient utiles et non seulement et nécessairement reproduction de ce qui ce fait ailleurs.

Les péripéties, niaiseries, distorsions, dont s’affublent désolément à nos jours l’Afrique sont tous autant et sans être exhaustif, indiscutablement la résultante concomitante de nombres de facteurs au sein desquels la barbarie de compromission d’intellect tient un grand rôle, tout comme l’absence de véritable Homme de poigne. D’illustres personnages africains tels les Kwame Nkrumah, Thomas Sankara, et bien d’autres, s’écrièrent à soulever les foules en renfort de conscientisation pour le bien être général avec le résultat que l’on voit et la prime mortuaire pour les plus virulents. À se demander où ils trouvèrent force à s’adonner en persistance dans de telle croyance !

De toute évidence, l’ancrage nuisible de la majorité d’africains à l’excitation de reconnaissance de subalternes caractériserait à ne pas en douter un écueil à l’émergence d’Hommes Forts et nécessaire pour le meilleur africain, reportant pour ainsi dire cette indélébile tâche sur les populations se voulant vaillantes. Ainsi, il est plus que de nécessité qu’une frange des populations s’intronisent à la dénonciation au seul compromis d’un calendrier de sortie de la représentation à elles sollicitée et de principe tronquée (duperie dans l’orchestration) via le jeu du soit disant changement sous les artères dit de la démocratique voie électorale…cela n’étant qu’un écran de fumé jugulant les protagonistes à la soubrette.
La dernière excitation électorale à la présidence de la commission de l’U-A, où après quatre tour électoral il fut impossible de dégager une entente commune sur un colistier en raison de clivage tiré des accointances linguistique coloniale, n’en n’est que ni plus ni moins une fois de plus qu’incarnation de cette nécessité de l’émergence d’Hommes forts.

Dans nombres d’Etats africains où sévissent de rechignâmes les barbares de la compromission l’intellect, l’état de paix nationale est au plus haut la conséquence de l’existence d’Hommes Forts. Du Tchad au Zimbabwe, Du Burkina à la Libye de feu Kadhafi, etc.

D’ouverture, au vu des clivages linguistiques qu’offrent de méprisant l’Afrique pour ne pas pouvoir parler d’une seule et même voix, il est nécessaire qu’un Homme fort porte avec lui la division régionale sous l’impulsion linguistique. Le bloc unitaire, ici aussi, calqué sous des représentations étrangères dévoile depuis ses origines de fortes limites et inadaptations.

Joseph TAPA



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