05/11/11
Grèce : Mésaventure Africaine dans l'écheveau Grecque

Le minuscule d’internationalisme flamboyant de démocratie, inspiré, à s’imposer au 7 milliards d’humains qu’entretien de vie la terre mondiale, s’arc-boute de la peccadille bavure financière grecque (2% du Pib & 4% de la dette de la zone euro), de suffoquant alarmiste fumiste, en quête de contenir en rémanence d’exploitation/spoliation des peuples en voie de révélations évolutives. Et de ceux-ci, de persistance, ceux d’Afrique, via leurs possessions, de toujours abusés et déchiquetés sous le manteau du désespoir de l’internationalisme.

Le pseudo pré-résolutoire de lâcheté -translative- des errements financiers et budgétaires de la Grèce : déporté de premier aux établissements bancaires (fonds privé par réduction -immédiate- de moitié de la dette (échelonnement de facto ultérieur de l’autre moitié aux calendres grecques) via absorption sur bénéfice acquis sur les fonds privés (dépôt africains considérables) ; Puis en second, d’effet dilatoire, via l’escompte d’un appui en garantie des défaillances assurées des dites banques (au cas d’insuffisance d’avoirs actuels et futurs d’expropriations africaines) par la mise en place d’un fond (FESF) financé avec le concours public/privé international (partage du gâteau résultant des efforts de spoliation africains).

Il est opportun de rappeler la situation financière désastreuse des mentors de l’internationalisme, au déficit public dépassant officiellement (jeu de retouche) allégrement les 5% de leur Pib et à l’endettement public officiellement avoisinant les 80%. Situation qui ne saurait en l’état -actuel- réel (gravissime) des errements et investissements improductifs ou peu (véritable chevaux Blancs soupirant des désidératas de campagne électorales : renouvellement sans cesse d’aménagement d’espace public, infrastructures et ouvrages surabondants à l’image de doublon injustifié en réseau routier, politique publique de la rareté en influence des prix et besoins sociétaires, etc.), n’être contenue qu’en apport de soupirail dont l’Afrique fut, le serait et le resterait.
Et cela est d’autant plus vraisemblable, qu’en dépit de sa glorieuse histoire en servitude au bénéfice occidental et son maintien en l’état au travers de leaders Africains préfabriqués pour la noble cause…, que l’Afrique détient de très belles capacités et marges de performance financière. L’Afrique se trouvant pour ainsi dire, à nouveau, le bol d’air sain et vierge (peuplé de miteux) à la rescousse d’amélioration de la performance internationale (comme naguère).

L’ogre cheval Blanc qu’est l’Union Européen (U-E), terrifiant de contemplation les Africains, trébuchant -de fatal- d’une piqûre de moustique (Grèce pesant de 2% dans l’économie euro), projette de sa chute probable une peur indescriptible chez les Africains. Les leaders Africains, fort du silence assourdissant auquel ils sont accoutumés devant tous faits majeurs érigeant le futur du monde (ah ces dirigeants préfabriqués en lâcheté, dévoilent la pusillanimité et impéritie dont ils font indécemment montre dans la saisie d’affirmation de leurs peuples devant la bête terrifiante (cheval blanc) vacillante.

Ces leaders à l’image de l’apparenté Africain Obama, contrairement à la coutume d’invitation en complaisance au raout, à défaut de relégation au lieu et place de cerbère voire d’antichambre de salon feutré, s’inscrivent en poursuite à la coutumière complaisance de la ruine des économies africaines. Indéniablement est que, les avoirs en surliquidités dont abondent les banques africaines et reposant pour l’essentiel dans les coffres des établissements mères (tous de l’internationalisme) seront mis à profit des pertes grecques à absoudre. Indécent est que face à une telle opportunité de peser sur l’échiquier internationale, par valorisation éloignée de népotisme mais à l’avantage de l’essor de l’Afrique, c’est de nouveau l’assassine compassion qui prédominent l’inaction africaine.

Aucune organisation communautariste ou institution représentative africaine ne s’est invitée à la messe du G20 portant sur l’avenir et stabilité économique mondiale, à Cannes en France ; Alors que l’Afrique c’est 1 milliard d’habitants, les réserves majeures et espaces vitales (forêts etc.) pour l’évolution des économies actuelles et futures. Mieux, les quelques trois Présidents d’Etats (africains) qui devaient en marge de ce sommet et de coutumière complaisance en figuration être reçu par l’homologue français, se sont tout simplement fait entendre que l’objet et la teneur des débats dans le temps et l’espace imparti n’offraient guère place à la courtoisie des rencontres de cérémonial.

L’Afrique serait donc véritablement tiers mondiste (à la marge du monde) ? Du moins dans la saisie des enjeux du monde ? Cela (affront) se doit-il d’être admissible ? Faut-il une conflagration interne en Afrique pour que sa jeunesse lui porte avantage ? Comment le sauveur ne peut avoir son mot à dire… !

Joseph TAPA