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24/02/2012 15 03 29 (UTC)[citer]
Soutien économique de l'Africain
Le 05/02/10

Une frange de la communauté internationale nous tangue en prédication des péripéties financières. Nées de faits d’égarements, d’errements, de ceux qui se veulent les penseurs du bien être collectif humain.

Cette frange s’illumine depuis lors par des actions nécessaires au contrôle et maintien de sa toute puissance dominatrice, en contournement des dérives inévitablement sous-jacentes.

Ainsi de ses actions hautes combien salutaire, pour une partie du monde dit évoluée, l’on ne compte plus les plans et autres concours financiers de soutien/sauvetage d’entreprises major de l'économie. Les actions initiées en sauvegarde d’activités économiques et consécutivement du maintien d’un certain niveau d’emploi (distribution du pouvoir d’achat), dans l’optique d’une pérennité de la consommation et au final du financement existentiel des Etats tiré des impositions de toutes natures.

Simpliste exemple
Compréhensible est qu’une activité économique de commerce basique (vente) ait besoin d’innover, de renouveler son offre de produit de consommation, pour poursuivre son existence, maîtriser sa pérennité et contenir voire multiplier da demande d’employés (es) et par voie de conséquence distribuer du pouvoir d’achat.

Que l’innovation s’impute ou s'induit de la persistance de la consommation, au risque en cas de baisse, stagnation, fin, de freiner, limiter, voire détruire l’offre de consommation. Si on est tous équipés de produits identiques qui n’évoluent pas ou plus (exemple des téléphones, vêtements, produits de consommation courant etc.), on ne saurait être tenté pour le plaisir de consommation de changer périodiquement s’ils fonctionnent correctement. Ce qui à terme nuirait à la croissance de l’entreprise « de l'activité » et donc par voie de conséquence à l’emploi et ainsi au processus économique avec un impact réel sur la capacité financière des Etats (baisse des impôts).

L’Etat au nom de garantie de sécurité, de l’octroi d’un espace géographique de localisation et d’épanouissement vitale pour tous (activités économiques, populations), se rétribue par la taxation, imposition et autres redevances parallèles. Ce qui outre le soutien d’actions de politiques publiques et fonctionnement de l’Etat, contribue à la péréquation des inégalités sociales par la redistribution (Aides sociales, à l’emploi etc.).

Ainsi de simpliste conclusion, le maintien d'un niveau d’activité, de consommation et d’emploi serait salvateur pour tous.

L’effroyable en ce qui concerne l’Afrique en la matière porte sur le puant de l’expression de ce mécanisme salutaire à la société et épanouissement communautaire.

D’un simpliste exemple
Prenons le secteur de l’ameublement, l'Afrique de ce coté s'en orgueil de l'artisanat en spécificité.

Il est haut combien remarquable au domicile de bien d’Africains, quelque soit leur lieu de résidence, un ameublement majoritairement et exclusivement constitué de produits étrangers à l’artisanat Africain. Cela est admirablement constatable en premier au sein des structures et officines publiques (Palais, bureau etc.). À défaut, quand bien même on y trouve une création africaine locale, au titre de conscientisation infâme, elle sert de comblement de recoin de pièce.
Le soutien à l’innovation par la consommation dans cet esprit constituant à coup sûr, un écueil de taille et sérieux à la distribution de pouvoir d’achat et développement économique.

De cet aspect ironiquement malheureux, surprise est de constater que sous les cieux africains, bien d'expatriés qui y séjournent furent-ils temporairement optent majoritairement à l’ameublement local. Allant même jusqu'à allégrement remplir leurs domiciles où qu’ils soient, quand ce n’est leurs musés.

Malheureusement pour les micros entreprises africaines en souffrance de croissance et diversité, tous les étrangers ne sont attirés par l’art africain et ne s’y référent point au détriment de leur propre création. La charité se devant de commencer par soi.

Il n’est donc pas surprenant que le niveau d’activité, tiré de la faiblesse volontaire de la consommation africaine, ne puisse permettre aux Etats africains d’avoir sincèrement des actions de péréquation sociale (aides et assistances), et ce, en raison directe de la faiblesse des rentrées de taxations et impositions.

D’où le phénomène incessant du recours à l’endettement public, et naturellement auprès de ceux (étrangers) qui bénéficient allégrement de la générosité consommatrice africaine, pour faire face aux nécessités d'accompagnements de la croissance démographique exponentielle.
Eh oui, l’Afrique va mal, parce que les africains y contribuent merveilleusement en toute complaisance, complicité assassine… Eh oui, l’Afrique ne saurait être regardée avec dignité du fait de ses propres enfants, qui fièrement lui dénient toute beauté, s’exhibent en dérision de consommations étrangères, embarquant par là, non sans honte, le devenir de leur terre dans une béante perdition.

Pour ce qui concerne les autres secteurs d'activités économiques africains, il n'est point besoin de s'y attarder : La moquerie se faisant n'étant pas source d’évolution pour l’Africain.

Joseph TAPA



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