Le 13 nov 2010
Destination Afrique

Comme pratique s’enlise, de négativité soutenue, une nouvelle vague de personnes se préparent à déferler sur le sol Africain.

En guise de relaxation, retour aux sources, découverte etc…De ceux-ci s’en trouveront nombres revendiquant fièrement -abusivement- les attributs d’africanités. Majorité s’en iront de saillant soutien financiers aux transporteurs non africains…Bon nombres en reviendront parsemés d’illuminations -passagères à coup sur- , s’insufflant de cornaque d’espoir au continent, grommelant d’incantations et de vitupérations foisonnantes…Bon nombres s’émoustilleront de conjectures psychédéliques de participatif à l’amélioration de l’essor continental.

De coutume, il en émergera d’opportunistes sans scrupule -de miteuses personnes revendiquant l’africanité au plus haut degré-, qui n’auront qu’à cœur d’en tirer individuel profit tout en apostrophant de tance d’autres des malheurs du continent.

Elliptique : Il se doit d’être conditionné tout déplacement en Afrique à un apport certain.
1- tout touriste devant s’insérer dans des schémas touristiques préétablis…

2- l’Homme d’affaire, limité dans l’envergure d’activités connexes, ne s’y maintiendrait qu’en réinvestissement local à visée de développement territorial d’une part de ses bénéfices. Le réinvestissement direct et sous sa responsabilité se devant d’être prédéfini des besoins des localités autres que son lieu d'établissement.

3- l’Africain(e), quelque soit son lieu d'établissement, devra justifier -condition sine qua non, sans que cela soit exclusif et serve permanemment à défaut de progressivité- de la pertinence d’apport ou dévotion à l’amélioration de l’essor continental pour tout déplacement de quelque nature que ce soit.

Du triumvirat -transporteur, voyageur, destination- soutenant de richesses le voyage, il importe que cela soit concrètement et réellement profitable à tous.

Joseph TAPA