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Adm
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10/06/2011 17 05 25 (UTC)[citer]
Le 17 mai 2010
La coopération ou curatelle en renouveau d’asservissement !

Il ressort d’une compréhension historique, qu’il eut été nécessaire et l’est toujours pour le salut de l’espèce humaine, qu’il soit encouragé les échanges diversifiés sous relent consulaires et/ou diplomatiques d’un point politique, et sur un angle sociétal entrevu dans une moindre mesure via le métissage culturel et autres hybridations.

Cette nécessité tirée de la neutralisation ou/et d’anémie de la bestialité voire férocité humaine, s’exprima dans l’histoire récente africaine par une vague d’explorateurs évangélisateurs (porteurs de bonnes nouvelles), auxquels se sont substitués en poursuite de ravage d’amenuisement les thaumaturges prédicateurs de bien être (colons), préfaçant l’ère actuelle des dignes curateurs (garant d’évolutions).

Ainsi l’Afrique du fait des indépendances données se verrait pour ainsi dire dans la forme sociétaire dominante actuelle et s’imposant bon gré mal gré a elle : reconnue majeure et incapable de fait. Au vu de ses retards et incapacités en tout genre à suivre la voie qui lui fit généreusement prédéfinie, nécessitant qu’elle soit assistée à la veille des ses intérêts. Ce que d’une observation environnante l’on perçoit de l’interférence ingérence à tout va dans ses affaires de toutes sortes, et d’un profond nauséabond par l’attribution d’interlocuteurs spécifiques, à l’image du secrétariat d’Etat français à la coopération.

Les relations étatiques (complexes et contradictoires) d’avec l’Afrique, exposeraient un particularisme propre à celles-ci, nécessitant une distinction de mise à l’écart dans les affaires étrangères (diplomatie) ; Enchantant les Africains à l’exemple des grognements dont se flattait victorieusement l’entourage du Feu Omar Bongo, dans sa sortie contrôlée sur le choix de la personnalité interlocutrice : invective à l’encontre de Jean Marie Bockel, remplacé à cette fonction de coopération par Alain Joyandet, qui lui réserva sa première sortie internationale.

En duperie de satisfaction, la perfidie se projeta dans l’officialisation de ce qui jusque là était occulte (célèbre cellule élyséenne sous l’ère Foccart) et de ce fait publiquement non contraignant.

Cette fumisterie est fort constatable dans l’observation quasi exclusivement africaine de l’activité du nouveau locataire du prestigieux secrétariat, qui quand bien même pas invité, dans un prestige de chef d’Etat, s’interfère à tout fait politique majeur en Afrique. Reléguant son ministre de tutelle (Bernard Kouchner, affaires étrangères) au rang de contrôleur administratif de curatelle avec charge de défense des bienfaits auprès des instances internationales et bailleurs de fonds.

Après l’explorateur missionnaire, le colon, voilà le coopérant se parfaire dans un rapport d’affaiblissement.

En esquive de polémique, il est sollicité de ceux qui jubilent des biens faits des coopérations et/ou en tirent profit, de s’interpeller sur le sens de ces dernières : de l’avènement à nos jours.
Aucune société fut-elle élogieuse, de tout temps, ne s’est construite sur l’assistance et/ou injonction d’autres.

En outre l’Afrique et ses populations étaient ils menacés d’extinction avant la bienveillante coopération ? Serait-ce le cas en cas de cessation ?
Il importe que l’on laisse l’Afrique se construire d’elle-même, quelque en soit ses dérives. Elle ne saurait disparaître et cela est nécessaire afin qu’elle se revigore et marque de son originalité tel l’Indou, l’Indien, l’Arabe, etc., son devenir et l’histoire futur de l’humanité.

Si vous assistez n’est pas une gêne pour l’auteur bienfaiteur, sauf à vous abandonnez dans l’incapacité ou se convaincre de l’impossible, ce qui en soi est gênant car réalisé par l’assistant ; Il doit être combattu les voies et moyens tendant à réduire à la dépendance.

Le monde s’étant toujours construit sur le fondement de la liberté.

La coopération étymologiquement distincte de la collaboration, mieux représentative d’esprit d’entente cordiale ou d’intérêt commun, resplendit intellectuellement (dans le subconscient) en l’espèce africaine en subtile voie et moyen de domination. Ce qui peut s’appréhendé physiquement de l’excellence de son recours.

Tout simplement, il devrait d’être redéfinie cette représentation de l’échange, ne fusse qu’en symbolique morale et cela d’urgence en soutien de revitalisation d’esprit de la jeunesse.

Joseph TAPA



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