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le 30 juil 2010
Il est d’un pragmatisme scientifique d’entrevoir à toute prouesse humaine - tant en recherche qu’entendu du fruit du hasard- un panel ouvert de possibilité.
Ainsi la réussite scientifique embellie de parallèles d’autres champs. A titre positif, la découverte du laser permis la fabrication du micro-onde domestique, celle du codage des cellules vivantes permis la transmutation génétique (OGN) et les fameux test d’ADN et autres avatars.
L’abomination des dérives d’exploits (Quête de reconnaissances) suscita l’émergence en guise de protection d’une certaine morale humaine : de l’Éthique saupoudrée de déontologie.
Notions à la porosité établie sous renfort d’adaptation ou d’évolution sociétaire. Ainsi le scientifique est loué au titre d’amélioration de la productivité alimentaire (subtilité de rentabilité financière) nécessité de la croissance démographique, entre autre, sous justification d’interférer au viable développement ou neutraliser les tares, voire favoriser le développement embryonnaire des génomes y compris humain. Attitude ouvrant la voie à des pratiques fortement répugnantes.
Le versant africain du phénomène ou poursuite de mode
L’Afrique et le Noir de part leur faiblesse (envisagée) sont de tout temps et continu à être le préau d’expérimentations tous azimuts, et dont-on ne saurait valablement dénombrer l’insidieux des infamies macabre que portèrent bien d’illustres auréolés de stature de civilisateurs à l’instar des Docteur Jeannot et autres Pasteur etc., qui y inoculaient à titre de test bien d’abominations aux effets toujours latent. Il est vrai que le Noir avait rang d’animal puis en évolution ou modernité celui de meuble (code de l’esclavage aboli officiellement en 1862).
Les habitudes ayant les dents durs comme le sous-entend un proverbe, le 20 juillet 2010 un couple africain résident à Londres au Royaume-Uni, eut l’agréable surprise (allé savoir) de marquer l’histoire d’une prouesse entendue naturelle ou fruit du hasard, en étant parent d’une petite fille blonde aux yeux bleus (pas mentisse, pas albinos).
Il est à noter que le couple ne se connaît pas dans sa plus lointaine ascendance – résolument africaine- aucun trait de quelconque métissage.
Les malintentionnés en sont restés béat en analyse du contour de projection de la croissance démographique occidentale fortement anémiée (en déclin) et celle africaine subjuguant d’être dans le prochain cinquantenaire la plus importante mondiale, devant l’Asie (Chine et Inde), de sorte qu’à l’image de l’Afrique du Sud, s’il advenait que le jeu démocratique s’enracine de mondialisation, de telle projection viendrait à reconnaître une domination Noire.
La stupeur appréhendée, les malintentionnés s’en sont bassement laissés emporter par l’effroyable de faire ou voire naître la race blanche par celle noire (après l’obligation de cuissage et le devoir d’allaitement). Stupidité ! (En espérance) qui pris son essor de l’appréhension d’échec de neutralisation (des ex animaux et meubles humains d’y a peu) via le métissage : produisant des pertes d’identités, que le quotidien humain refoule sans cesse tel une bête rejetant une progéniture transmutée ou ne ressemblant guère à ses semblables.
Le noir de toujours à la source de l’évolution
Nul être censé ne saurait contester l’importance des sociétés Noires et espaces territoriaux dans l’avancée mondiale. Ce qui vient à éveiller les malintentionnés sur le rôle prédominant du noir dans sa propre perdition. Le génie causant de lui-même sa destruction...
Frappant est de constater que la prouesse du couple Africain à Londres, voudrait s’arrimer en continuité du possible dans les esprits Noirs, et ce, de similitude d’avec le plus emblématique noir au rayonnement planétaire qui sous couvert de maladie rare mua en blanc ou gris ou rose et s’évertua à revendiquer une descendance blanche : le célèbre et regrettable dénommé Michael Jackson.
Autrement du plausible, le noir n’aurait plus besoin d’un environnement hostile -tel le froid- pour muer sa couleur de génération en génération par effet de l’écoulement du temps.
Le nécessaire principe de précaution
L’irritation tirée de la prouesse entendue naturelle de la naissance d’un enfant blanc par un couple noir, stimulant le devoir de protection et celui de méfiance, et ce, au regard de l’inconnu des recherches scientifiques et ce qui peut en résulter en parallèle sur l’identité noire (à ne pas douter effroyable), impose que soit instituées des mesures protectrices.
Indiscutable est qu’aberrant serait de vouloir faire naître la race blanche par celle noire, de ce fait, en attente de clarification : Il se doit d’être sollicité des femmes noires et couples qu’ils cessent le suivi médical dans les hôpitaux dès la fécondation. Nos ancêtres ont bien su par des moyens naturels conserver la chaîne de vie qui est nôtre.
A titre de clarification, il doit être sollicité du personnel médical (au sein duquel sont innombrables les Noirs) ayant entouré la mère à Londres, dans la phase prénatale, de subtiliser les produits ayant été administrés -même dans le cadre d’un simple frottis y compris le gel administré sur le vente pour le contrôle de croissance du fœtus- afin d’être soumis pour analyse à des chimistes laborantins indépendants en Afrique.
Nombreux étant en Occident des semblables qui pour quelques dollars de plus ou quelconque gratification n’auront de scrupule à nuire à tout un peuple et pour bon nombre à l’identité Noire.
Sans qu’il soit proféré la bassesse d’un procès d’intention à l’égard des parents, les responsabilités se devant d’être mis en réserve au regard de l’urgence, pour saine crédibilité, il doit être invité celles et ceux de Londres, voisins (es), amis (es) à s’activer à retracer le parcours médical de l’élogieux couple (antécédents chirurgicaux et autres interventions médicales), ainsi que les traitements conseillés et suivis par le couple.
En toute évidence la nature ne change jamais, l’herbe repousse toujours, c’est l’Homme qui tend à la modifier.
Joseph TAPA |