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08/03/2011 19 07 52 (UTC)[citer]
Festivités du cinquantenaire des indépendances Africaines
Pour qui cela est fête… le 11/03/10

La croissance soutenue de la démographique mondiale emporte en de multiples points, bien d’interpellations interrogatives de stupeur :
Ecolo sociétale dans le reflet de production exponentielle concomitante de nocivités diverses ; Nutritionnel dans le reflet d’organisation de la productivité circonvenue sous relent de consumérisme groupusculaire et celle des jachères des terres ; Sociale dans le reflet de l’organisation satisfaisante groupusculaire d’espaces vitaux avec la sourdine quête de neutralisation des flux migratoires ; Politique dans le reflet d’orchestration d’ententes dominées de l’individualisme d’intérêt groupusculaire.

Ensemble de facteurs dans le cadre africain qui manifestement par analyse du quotidien, semblent de coutume relégués aux générations futures. La stupeur se projetant de l’enracinement du recours à la mansuétude de la jeunesse enfermée en des croyances de responsabilités sous puant familiales, et sans scrupule de flibustiers ascendants, pour faire face dans leur avenir aux sempiternels échecs parentaux, en l’absence de sanctions bénéfique pour les esprits et l’environnement sociétaire.

Qu’on fait les ascendants africains en terme d’abnégation de sacrifice de vie (exit l’enfermement meurtrissant sans rôle social dans les villages) pour améliorer le contour de fin de vie de leurs propres parents ? ; Et ce afin qu’en similarité culturelle, coutumière, il puisse en copie leur être consentie disgrâce.

Hors de la pacification des rapports sociétaires (neutralisation de la barbarie) s’ouvrira au titre de la sauvegarde groupusculaire et sous un angle universel, une nouvelle forme symbolique de rapport de force entériné par la quête de domination et/ou d’affaiblissement. La survie n’étant plus comme naguère marquée de la fuite/déportation devant les calamités naturelles et/ou humaines, encore moins de l’idée de supériorité tirée de la grandeur territoriale (peu de quête d’espace vital, plutôt d’accaparation de richesses territoriales).
Là aussi l’Afrique semble victime des méfaits et lâchetés d’ascendants (parents). Incapables furent-ils d’inscrire leur progéniture dans une vision d’avenir distincte d’eux.

Hors de tout temps, l’Homme s’est adjoint à la nature pour son existence et au titre de son bien être, la métamorphose en s’effleurant de compassion d’humanisme en tempérament civilisé de bestiale sauvagerie. S’abîmant en des rapports marqués de la détermination des groupuscules au respect existentiel et prise en considération d’intérêts propres spécifiques dans la dynamique de modernité (l’ONU en est un des cadres d’expression).
Là encore le continent africain s’est trouvé trahi par l’incapacité altruiste de ses parents à s’inscrire en dévotion dans cette perspective salutaire.

L’on peut y voir trace dans l’acceptation de l’esclavagisme et autres formes de domination, stérilisé par la destruction voulue ré civilisatrice (sociologique, culturelle, théologique, structurelle, idéologique), et le sursaut loin de vaillance africaine, d’humanisme originellement reconnu à une frange groupusculaire non noir (Bla bla bla des philosophies lumières d’universalité : égalités des Hommes, protections diverses : enfance, minorité etc., et dérivés dit de deuxième génération : économiques, de troisième génération : environnementaux).
L’adhésion claironnée de génie de révélation, là aussi s’articule en trahison intellectuelle des parents, qui parfumèrent par là les esprits de petitesse innée et indélibile.

Spectaculairement le vent d’universalité philosophique d’humanisme, soufflera d’un glacial qui réchauffera l’espoir africain. Le pendant moral et financier de cohésion des principes philosophiques fut l’exploit de festivités d’indépendances.
Interpellez vous pour l’exemple sur les marges de manoeuvre du budget de l’Etat français, si était conservé dans le giron de la république ses colonies d’antan françaises d’Afrique (disloquées en 20 pays représentant pas moins de 310 millions d’habitants) et se devait au titre de cohérence et autres parallélismes des formes de principes appliquer et garantir : la liberté, l’égalité, la fraternité, dans l’étendu territorial des conquêtes africaines.
Il aurait fallu au titre de l’égalité désenclaver et construire les régions (voies et moyens de communications), porter les mêmes services publics aux citoyens (santé, aide sociale, sécurité etc.)...

Là-dessus qu’en ont fait les parents des indépendances qu’ils scandèrent victorieusement pour solliciter que la jeunesse prenne le pas de danse ou s’affuble de jovialité qui fut le leur dans les festivités d’indépendances ?

Il est vrai que porter de la joie dans la vie d’un Homme, dope son espoir, stimule ses rêves et l’assagit le temps de sa croyance. Ce serait à l’évidence l’atout, le talent, des parents pour éluder, éloigner, la raison. L’on comprend l’engouement à ne pas en finir d’enfermer les esprits dans des festivités à la moindre occasion.

Bien évidement ces festivités du cinquantenaire des indépendances joueront avec splendeur leur rôle abject auprès des populations nombreuses, désireuses de marquer un stop à leur quotidien déstabilisant et circonvenu de trahison des parents.

La fête en principe est la consécration d’une avancée/évolution.
Dans le cadre africain, le maintien existentiel doublé de la croissance démographique avec les dangers qu’elle projette par le non accompagnement structuro social mérite t-il fête ?

Une fois de plus les parents au nom de leur égoïsme primaire, entendent inscrire la jeunesse sur leur trace maléfique. Ces festivités du cinquantenaire des indépendances concerneront ceux qui veulent poursuivre le brio parental.

Il importe de passer un vibrant message aux parents, en organisant la désolidarisation à leurs gesticulations de nostalgie. Tout comme il urge au nom de modification salutaire de coutume (éradiquer), de porter douloureusement la responsabilité de la nuit de vie (retraite) à la charge de ces derniers dont les actions n’ont aucunement été en profond inscrite en faveur d’autres qu’eux.

Joseph Tapa



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