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01/03/2011 16 04 17 (UTC)[citer]
L’Africain dans l’information sur l’Afrique
Exposition du ridicule loué le 16/12/09

De principe il est constatable que l’information et voies de communication concernant, relative à une entité existante, soient sous la maîtrise des acteurs de cette entité.

Ce que les sociétés modernes et leurs variantes de personnes morales (Entreprises, associations, organisations etc.) sur ce point fourmillent de diverses représentations : service presse et radio télévisé, service de communication, service de relation publique etc.

L’Africain au génie de copie des faits d’autres, n’en est pas exclut de ces schémas de maîtrise de communication. Tout ce qui est réalisé par d’autres flattant son orgueil, c’est machinalement que l’ensemble des représentations de maîtrise de communication sont connus de lui, et qu’ils s’évertuent en force de talent à les reproduire avec plus moins de succès.

Au préalable dépassés par les talents inventifs « créatifs » des médias, les africains n’ont eu de cessent d’apprentissage, se battant vigoureusement à l’intégration dans les artères de leur éblouissement et déployant une frénésie au duplicata.
Ces derniers ne pouvant visiblement être aptes par eux même à la mise en place de technologies propres à parfaire leur indépendance, en dépit de pléthore d’autres africains instruit en ingénieur et déployant une grandiloquente frénésie à l’intégration dans les artères de leurs instructeurs. A l’image d’un enfant qui refuse le sevrage ou de grandir et prendre ses propres marques.

Véritablement, il serait honnête d’observer l’insensé qui s’expose dans cette représentation africaine.

Les africains de tout bord ont connaissance de la force d’instrumentalisation, d’endoctrinement, de formatage, des esprits dont peu resplendir le sacro saint devoir d’information, rattaché aux voies de médias et d’informations modernes. La majorité des altruistes d’entre eux s’époumonent à la criée des méfaits et revers tiré de l’absence de maîtrise de leur propre information relative à leur existence et celui de leur continent.

En effet, il est particulièrement incroyable d’observer le cadre d’information qui entoure le quotidien africain : Les médias dit africains ou tournés vers l’Afrique sont pour l’essentiel sous financement et/ou contrôle éditorial et management étranger aux africains ; à tel point que les africains qui ne s’y retrouvent que pour les grilles de divertissements (sketches, musiques), s’en remettent en coutume de dépassement aux médias étrangers, pour l’information en temps réelle et approfondie sur leurs contours sociétaires.

Ce paradoxe atteint son paroxysme par l’attrait préférentiel des leaders et cadre africains qui rivalisent de sollicitation d’expression sur les voies d’informations étrangères à l’Afrique ou ridiculement orientées vers ce continent.

Peut-on alors reprocher à ces médias étrangers leur action d’endoctrinement des Africains, à l’image d’une radio française dont l’une des subdivisions dénommée Rfi Afrique, propose aux africains sur ses ondes l’intégralité des rencontres de football du championnat français quand il se déroule, et des émissions historiques sur l’antiquité quand se déroule les compétions internationales sportives africaines.

Peut-on reprocher à ses ondes face auxquelles les africains se bousculent pour être connu de ce monde, d’ouvrir des grilles thématiques à l’objectivité douteuse, à l’exemple d’appel sur l’actualité africaine de la fameuse radio française, qui s’articula en date du 16/12/09, à une interrogation sur la nature d’efficacité de l’élection présidentielle à un tour en république de Togo. Etat en bute avec l’Etat de résidence de la radio, et s’exprimant par la demande d’expulsion d’un diplomate français accusé de connivence avec un lointain fils de ce pays, Koffi Yamgnane, candidat à la dite élection après avoir servit durablement l’Etat français à des fonctions publiques de renom.
La stupéfaction ressortissant du fait que la même radio qui couva en Août 09, l’élection présidentielle gabonaise se déroulant dans les mêmes conditions, ne fut objet d’interrogations ou débats instructifs...

L’africain a-t-il la force d’esprit et capacitaire d’être autre chose qu’un perpétuel consommateur en quête d’endoctrinement ?

Et on dit que c'est l’étranger qui divise les africains, quand ces derniers luttent pour être à leur écoute en prenant soin de ne rien réaliser par eux même et pour eux-mêmes.

Joseph Tapa



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