Adm (451 articles pour l'instant) | | L’Afrique en constitution de crimes contre l’humanité
le 19 avril 2010
Le pragmatisme naturel de l’humain soucieux de l’amélioration de son environnement vital, de sa sauvegarde, et autres intérêts, conduit à ce qu’il s’impose périodiquement l’analyse sous forme de bilan. Ce que l’on rattache à son dévouement fut-il intéressé en profit individuel ou/et collectif (gloire, économique/financier, domination etc.) dans la remise en question (innovation) de tous ceux qui faits et constituent les agréments de son environnement : développements technologiques divers (avions, voitures, ustensiles du quotidien professionnel/ménager, etc.), approfondissement du savoir au travers de multitudes de recherches et expériences scientifiques, sociales, etc.
Il peut être ainsi affirmé que la marque prédominante de l’Homme moderne, depuis l’aube des temps, s’analyse en son altruisme à son évolution dépeinte comme celle de l’histoire de l’humanité !!!
Approche qui dans le cadre africain des festivités dites du cinquantenaire des indépendances, interpelle d’observation (bilan) sur le réel de débouchés/d’aboutissements de ce qui fut scandé au pas de danse de Cha Cha, en ère nouvelle et/ou renouveau d’attitude de l’Africain dans l’évolution du monde ; Et dont le subliminal d’espoir "perpétuel" semblerait s’enraciner ou se matérialiser par l’édification du monument de la renaissance africaine : qui plus est par les Nord coréens.
Nul ne conteste que l’africain(e) ou le Noir (toute mouture originaire d’Afrique) fût à l’origine de biens de savoirs et/ou réalisations (inventions modernes : téléphonie, mécanismes divers très souvent en ruse de soulagement de quotidien de servile, etc.), tout comme il est indiscutable que la vulgarisation ou/et développement de ceux-ci semble n’être de son ressort.
Innombrables sont les attributs ou facéties et joyaux du quotidien dont sont au demeurant majoritairement friands les Africains (es) qui ne sont le fruit de leur fécondité, abnégation, pugnacité, même sur le plan théologique ou croyance à des forces surnaturelles.
Il semblerait s’en déduire que l’Africain(e) dont-il reste à déterminer ce qu’être Africain(e) idéologiquement et culturellement dans l’universalisme actuel, ne s’intéresse que peu pour ne pas dire absolument pas à l’évolution de l’Homme, et cela en ce qu’il ne se révèle en rien communautairement en contributions distinctes ou concurrentielles : ce qui apparemment fit dire à un certain Sarkozy, qu’il n’était pas assez entrée dans l’histoire de l’humanité (sous angle d’histoire moderne).
L’Afrique serait-elle pauvre des attributs bases de développements : Hommes, matières etc.
Que réalise ou qu’a réalisé l’Africain(e) moderne, en bilan des indépendances, au regard de l’évolution et loin de distraction, qui flatterait ou resplendit sa personne et communauté de part ce monde ? Que sont donc les obstacles à l’imprégnation/révélation à la créativité en renonciation de compassion de consommateur misérabiliste ?
Et dire que majorité des bienfaits dont sont allégrement friand ces populations, trouvent essence dans les richesses que cachent ou portent leurs terres, et qu’ils ne surent valoriser, projetant le désintérêt à l’extraire et à le magnifier ou travailler. Les infrastructures et autres attributs de développements convoitises d’embellissement de quotidien (routes, hôpitaux, écoles, etc.) éloignés du génie humain africain, se trouvent être pour l’essentiel réalisés pour ces populations, et qui plus est, le sont majoritairement grâce aux dons et financements qui ne sont issus de la solidarité des peuples Africains.
Et ceci en lutte d’adversité contre innommable de carences et indicibles incapacités à faire jaillir un savoir faire, même en copie. Parfaite différenciation d’avec l’asiatique (indou, chinois) et autres nombres d’espèces vivantes.
La question ou interpellation de telles dérives humaines toujours d’actualité, en ce qui concerne ces populations africaines, ne pouvant se parfaire par renvoi en justesse d’esquive aux malheurs ancestraux, sous l’angle de nécessité de bilan des indépendances pour la jeunesse avenir, il s’impose qu’une responsabilisation directe se devrait d’être effective et non simplement sollicitée ou évoquée.
Force est de constater :
1- Qu’avoir une idée ne fait pas l’écrivain : ainsi l’idéologie de la représentation de la renaissance africaine ne saurait être figée dans un espoir de monument que n’exprime pas en particularité un spécifique dynamisme d’humanité.
2- Que toute bonne volonté ne saurait égalée l’aptitude : incompréhensible est l’absence de dévouement à l’aptitude bénéfique collectivement à l’essor de la communauté africaine, en dépit de l’instruction aux forceps dans les rouages du succès émerveillant ces populations.
3- Que le vœux, souhait, ne matérialise aucunement la réalisation : en contrariété de gloire pharaonique d’antan et vivacité intellectuelle dans les fers du ségrégationnisme, il est effroyable l’enracinement en imploration sans vergogne à la compassion de mendiant nécessiteux.
Y’aurait-il crimes contre l’humanité
L’Afrique a vu sa population évaluée au soir des indépendances à 150 millions d’âmes, passer à une estimation d’environ 900 millions à la veille des festivités dites d’indépendances.
Du pragmatisme humain imposant un bilan, sous un angle autre que le peuplement planétaire :
Qu’en serait-il du devenir de l’évolution ou amélioration de l’humanité, s’il advenait que la démographie mondiale soit traumatisée par une surpopulation du brio Africain (entrevu comme juste actuel...) ?
Pour saillant emblématique exemple de stupeur qu’expose l’Afrique, le Niger sous la même période passa d’une population de moins de 2 millions à plus de 13 millions d’habitants, avec comme bilan une déclaration généralisée de famine et endémique pauvreté.
Indéniable est qu’un ventre affamé ne saurait s’intéresser à l’évolution, qu’un esprit pauvre ne saurait étinceler de merveille...
D’un certain regard, il pourrait être entrevu un écho positif aux théories soutenant l’inoculation volontaire des virus pathologiques en terres africaines, et tout aussi retenu en compréhension la posologie qui viendrait à soutenir l’émergence d’une classe de leaders incultes et/ou assoiffés de gloire sanguinaire.
Et crime contre l’africanité
L’acceptation d’endoctrinement ou enfermement de l’évolution de l’Africain(e), dévoyé en vélocité de fuyards (es), convaincu de quête d’hybridation ou d’abandon culturel en garantie de victoire de sortilège, et dans lequel brille avec éclat de lampiste nombre d’Africains (es) dit originaire ou se revendiquant d’Afrique : Constitue indéniablement un crime contre l’africanité, contre une frange humaine et donc par voie de conséquence en crime de l’humanité.
Ce qui au demeurant impose au titre de bilan de l’évolution de l’Homme noir, que soit révélé la signification à l’indexation ou appellation ou représentation d’Africain(e), et expose que soit succinctement évoqués les charges et devoirs qui s’attachent à la revendication d’africanité.
Il se devrait en sursaut ou retrouvaille de vaillance que l’Afrique se débarrasse plus ou moins symboliquement d’usurpatrices/usurpateurs, à défaut qu’ils ne se voient reconnaître ou attribuer à l’instar de la création d’Israël, un espace de rattachement ailleurs qu’en Afrique.
Autrement le préalable du renouveau moderne de l’Afrique s’entreverrait par une lutte viscérale interne en éradication d’attitudes maléfiques, qui viserait à délier toutes responsabilités ou en esquive à méconnaître d’obligations participative à la charge de personnes se revendiquant ou rattachées à la communauté africaine. De même, il se devrait d’être promptement sanctionné celles et ceux qui se détourneraient de cette charge collective quelque serait la source de l’obstruction, même si lâcheté de semblables.
L’Afrique serait considérée à la marge du monde (tiers monde), non pas par l’étincelant entrevu comme ignoble de ses leaders ou dirigeants (es), mais bel et bien du préalable de l’abjecte attitude de représentation que majeure de celles et ceux qui y sont rattachés en dépit de bon gré s’enferment à sublimer.
Ce serait du sang contaminé du malade que par fragmentation l’on réalise le sérum après isolement ou neutralisation du nuisible.
Au regard de la saisie peu glorieuse du bilan des générations des indépendances en continuité d’héritage clochardisé et moribond, à destination des générations futures engluées en déliquescence dans un modernisme dévastateur de l’identité africaine, il se devrait de s’imposer au titre de la poursuite pharaonique dans l’évolution de l’humanité : La nécessité d’isolement ou ostracisme de bon nombre apparentés (es) ou peu africains (es).
Le salut moderne de l’Afrique se trouverait pour ainsi dire dans une fragmentation ou néo révélation du postulat d’africanité.
Cela bien évidemment ne saurait être rattachée à la représentation physique ou rattachement territorial.
Joseph TAPA |