Avenir de la division Africaine (Noire)
Le 08/02/10
Il est une expression que les Africains (es) de tous bords claironnent à tout vent, en soutien de finesse de brio d’analyse de l’épicentre des dangers qui meurtrissent leurs espoirs et phagocytent leurs évolutions : le diviser pour mieux régner.
Evocation tirée de la brillance de soumission de leurs plus proches ancêtres à l’éblouissement (orchestré avec patent succès) du faste matériel et non de dépassement, de civilisations riveraines, emportant le scandaleux au forceps d’immixtion à celle-ci par acceptation de changement de modèles et formes d’administration, et admission de changement de lien social communautaire en nationalisme et regroupement territorial sans préalable consultation, en conséquence de blanc seing tiré de leur implicite éblouissement ou dévotion de vaincu.
L’évolution sociétaire conduit naturellement à celle du diviser pour mieux régner, qui tancé par un mouvement véloce et sanglant de sortie du vexatoire d’infamie, qu’emprunta au prix du sang bien d’illustres Noirs (es) en tout point de duperie, fut mis à mal par l’amorce des indépendances.
Avec l’assurance de superbe d’adaptation du divisé pour régner, par la lâcheté généralisée de l’ensemble des pères dit des indépendances, qui tous au nom de rayonnement individuel et limitativement national en dénégation de vaillance identitaire et dignité, fortifièrent de plus bel les voies d’éblouissements. S’adonnant avec hautain zèle à mettre en déroute et éradiquer dans leur circonscription d’attribution toutes idéologies pouvant irriter bien au-delà d’eux.
Assurément limité en perception du passé et vision d’avenir, à leur décharge (pères des indépendances) l’occupation constante de sécurité personnelle et rayonnante en satisfaction sans failles des desideratas étrangers. Ils contribuèrent ainsi savamment à la nouvelle voie du divisé pour mieux régner.
Du savant modernisme du divisé pour mieux régner
L’acharnement des pères des indépendances et celui des saltimbanques qui les succédèrent dans le même esprit nombriliste, eu pour mérite d’encourager, de favoriser, sous justesse d’esquive (orchestré
de défaut de structures à même d’accompagner (croissance démographique) l’expression et rôle sociétaire, la nouvelle forme de lâcheté d’une partie africaine : l’émigration continentale.
Tel leurs ancêtres sous expectative et adoubant l’immixtion et leurs leaders en quête d’adoubement à/de l’étranger ; La question d’intronisation d’une coutume étant à se poser ; Les africains (es) moderne se lancent d’un étincellent brio et bien idoine au demeurant pour la besogne étrangère à leur continent, en fortifiant la nouvelle splendeur du divisé pour régner, par la quête de reconnaissance et autres intégrations étrangères, exposant le devenir sanglant qu’ils portent à leur terre.
De leur fait de transfuge recherchant herbe fraîche en se constituant en horde d’opposants en exil (dirigeants d’alternances) sous la houlette étrangère, quand t-ils ne guettent un subtil adoubement en force pour dévotion obscène, à l’exemple du français de couleur ou d’origine (comme aiment à le dire les autochtones) Koffi Yamgnane.
Sur le représentation sanglante d’avenir
Les attributs divisionnaires s’exposent des tensions subtilement entretenues entre les Noirs (es) des différents continents. Tensions vitalisées par le profond d’égarement et d’errements de ceux dit de la diaspora et qui constituent l’épicentre du modernisme du divisé pour mieux régner.
Ces Noirs (es) dit Diaspora, pour ceux qui ne sont plus Africains (es) car naturalisés (es) étrangers (ères) et donc par voie de conséquence dans leur pays. D’où l’incompréhension d’assimilation aux immigrés Africains : autrement dit, que veut profondément dire Allemand, Belge, Français, Russe, Suisse, etc. d’origine africaine ? Tout comme la notion d’intégration ?
Bizarrement pour les autochtones, il est préféré une indexation d’origine pour leurs ascendants dont-il est fièrement rappelé qu’ils ont conservé leur nationalité originelle : le fameux, il est français, se sont ces parents qui étaient polonais, hongrois etc. Mais le Noir (e) même né (e) sur le sol étranger est d’origine. Hum !!! Savant rabaissement psychologique dont s’en revendiquent fièrement ses apparentés africains (es). Il est tout aussi vrai qu’une pièce mécanique d’origine ne saurait prétendre à autre label.
Vraisemblablement il est ici rappelé à ces derniers se pourfendant à l’assimilation étrangère, qu’ils ne le sont et ne le seront que de façade, avec comme nécessité d’exploit de reconnaissance factice de se débarrasser des brides de dignité et valeurs identitaires en guise d’intégration.
Ce qui à ne pas en douter n’est l’ombre d’une gêne, le moins du monde : ils sont noirs (es) et n’aiment pas le manioc (il est vrai que le manioc a été importé en Afrique...).
Au-delà du vexant de l’assimilation d’avec l’immigré (e) à la quête éloignée d’intégration, mais bel et bien d’expression sociale en toute possibilité de concurrence d’avec les autochtones, cette quête responsable d’intégration expose le violent sanglant qui se prépare de perdition et en premier pour leur descendance.
A l’image de celui qui se voulu représentant des espoirs vains et/ou trahis d’insertions et/ou intégrations et confusion assimilation d’avec l’étranger, Koffi Yamgnane, qui envisagea en sursaut de revers étranger un retour éloigné de tourisme en terre africaine (Togo), après loyaux services de l’étranger (45 ans) à la reconnaissance fâcheuse (plus de mandat représentatif et de fonction flatteuse). Ceux que vivent en grand désespoir bon nombre d’autres apparentés africains (es) limités (es) et/ou stoppés (es) dans leur doux rêve d’assimilation et de carrière glorieuse.
Il est indéniable que l’attrait étranger des apparentés africains (es) soit tiré des carences des structures sur les terres de leurs ancêtres et que leur honorable fuite et chaleureuse quête d’assimilation étrangère fut d’un grand concours à la superbe étrangère, dopant de plus bel en espoir de bien être avant extinction humaine la fuite d’Afrique, avec une complaisance indirecte des leaders d’Afrique. Toutefois, l’Afrique se trouve être d’une forte population jeune (60% de la population ayant moins de 15 ans), celle-ci ne pouvant au titre des protections étrangères être entièrement accueillie ou encouragée à l’assimilation étrangère.
Cette jeunesse qui se forme quoi que fasse et qui au quotidien s’emploi à maintenir un sain cadre vital et injecter une forme d’évolution à ce continent, sera à coup sûr celle qui portera le rejet et les armes contre ces apparentés transfuges qui nuitamment rêvent à l’image de celui qui politiquement se voulu leur représentant par tentative en terre togolaise, d’un retour autre que touristique.
Ces apparentés emportant en toute responsabilité le devenir africain de leur descendance. Sur quels fondements pourront-ils être qualifié à autre chose que le tourisme ?
L’Afrique se verra certainement mis en tribulation par ces éperdus en terres étrangères qui en revers de dignité frivole de leurs élogieux parents, s’activeront à coup sûr sous renfort de division de se soustraire des déchéances d’insertions.
Comme il se trouve toujours des personnes qui s’avèreront avoir eu raison après coup, il est donc préférable q’en prévisibilité ceux qui veulent emprunter la voie des transfuges s’habitent des conséquences de lâcheté.
Joseph TAPA