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10/06/2010 20 08 41 (UTC)[citer]
Qu’est-ce que la richesse du sol Africain
le 04/02/10

Les sociétés humaines enferment plusieurs modes de richesses (culturelles, matières dites premières, financières et avatars etc.) sous la prédominance de celle dite économique.

Prédominance qui se trouve par son expression être la pierre angulaire, clé de voûte de la capacité de la satisfaction des besoins populaires et tout simplement réduit à la notion de croissance (capacité de création du flux monétaire), liée au développement sociétale (recherche technologiques emportant innovations, conduisant à l’amélioration du quotidien et du financement : cycle de la production à la consommation avec distribution de pouvoir d’achat aux employés (es) et donc de capacité de consommation de biens d’autres d’unités de production etc.).

Le schéma du fonctionnement profondément économique (technicité n’étant pas principalement l’objet de notre propos, c’est en simplisme de néophyte qu’il va être esquissé le relent puant de l’outrecuidante fierté Africaine sur leurs richesses et limites dans leurs conceptions d’efficacité salutaire.

Sur l’histoire des attributs de richesse des Etats d’Afrique

Il est indéniable que la valeur des biens multiples que sont le pétrole, l’uranium, le bauxite, le coton, le bois, bref l’ensemble des matières dites premières et essentielles pour les créations technologiques et fabrications de biens de consommation moderne et nécessité par l’évolution du modernisme, ont été lumineusement mis à jour de l’étincelle de génie de l’Homme Blanc.

La valeur intrinsèque ayant été découverte, l’Homme blanc s’est empressé de la valoriser (dérivé des matières dites premières : essence, armement, mobilier, bref ce que l’on enferme coutumièrement dans les catégories de biens meubles ou immeubles) et ce faisant en réfléchissant et mettant au point des artifices de valorisations (méthodes et technologies d’extractions, de transformations, de distributions etc.). Dans l’exemple du pétrole très connu des Africains, cela s’analyse par la technologie de forage au titre de l’extraction, celle du raffinage au titre de la transformation et des moyens de transport et de commercialisation au titre de la distribution.

La générosité non éternelle en richesses diverses de la nature envers le continent africain, aurait pu/dû permettre à ces différents Etats, de se constituer en menace (dictats) de l’avancée moderne (à la base sont-ils des merveilles du monde de tout temps par leurs richesses) et par voie de conséquence insuffler en bénéfice à ces derniers de véritables moyens de profits par ricochet direct et non par souci d’humanisme, du génie valorisant.

Sur les limites d’efficacité des Etats d’Afrique

Il n’est indéniable que c’est par le travail que se poursuit l’effort d’évolution et ainsi de la pratique que se développe l’amélioration.

Les Etats d’Afrique étant dépassés dans le schéma de valorisation (extraction, transformation, distribution) des matières faisant de façade de leurs richesses ; Quand bien même ils se lanceraient dans cette voie de valorisation de richesses dites premières, au vu de l’avancée en la matière de l’Homme blanc qui ne saurait s’estomper pour les attardés (capitalisme oblige), ils seraient bien toujours à la traîne.

Cet effort de reconnaissance de faiblesse et volonté de rattrapage conduit la Chine dans ses échanges économiques de s’appuyer hautainement sur les débouchés de consommation que constituerait son marché intérieur (forte population), pour imposer les transferts technologiques et avec comme conséquence de rattraper ainsi l’avancée des valorisants, lui permettant d’aller dans l’espace (technologie la plus avancée du modernisme) et aussi concourir en rivalité à l’armement et autres innovations technologiques à l’instar des ordinateurs, téléphones cellulaires, véhicules et autres vestimentaires.

Hors la finesse d’orchestration de la parcellisation de leurs Etats et des esprits de leurs ressortissants en différenciation dans des nationalismes obscènes et l’incapacité de ces derniers à s’insérer dans le schéma de valorisation de leur don de la nature (richesses diverses), se sont révélés salutaire pour leur abaissement en tout point (culturelle, psychique, sociétale, etc.) et renvoi à la contemplation d’évolution (traumatisme d’attardé.

Sur un autre plan dit de la production à grande échelle (agraire, manufacturée), il est totalement indéniable que celle-ci résultant de legs de colonisation, est exclusivement et/ou essentiellement tournée vers la satisfaction étrangère à l’Afrique. Duperie contractuelle qui fit miroiter un embellie économique avenir tirée de l’exclusivité d’approvisionnement aux heures de la décolonisation, et vite cinglée par l’ouverture d’unité de production identique sous d’autres cieux (Fruits et légumes) au titre de bienfaits concurrentiels (neutralisation des prix et de l’appétit ventriloque africain) et en lutte profonde de dépendance originairement entrevue.

La drôlerie vexatoire de cette situation se caractérisant par l’incapacité de ces Etats africains à se sortir de ce schéma et d’en être otage. Autre conséquence de l’absence ici de volonté et de capacité de valorisation, à titre d’exemple même l’art y compris culinaire se voulant africain ne s’expose pas dans les réceptions et institutions publiques africaines : Sur quels types de bureau travaillent ces derniers chez eux ; Sur quels types de sofas et mets culinaires proposent-ils et réceptionnent-ils leurs convives etc.

L’impuissance de cohésion de ces africains et Noirs, au-delà du festif et divertissements (sexuel, sportif etc.) projette affreusement l’interrogation sur la véritable richesse de ce continent. Bien entendu le simplisme ici exposé ramerait la richesse à sa force de révélation et valorisation.

Il est notoire qu’à l’instar du folklore des danses de réceptions africaines et instrumentalisations tous azimuts de ces derniers (faire valoir de tous genres), ils ne brillent d’aucun fait majeur de modernisme dans l’avancée et pour certains dans l’ancrage à l’histoire de l’humanité… Et en sont bien loin d’en être des acteurs déterminant, tant ils n’influent en rien sur quoi que ce soit. Que réalisent-ils concrètement au-delà du festif intracommunautaire ? On en est même à solliciter d’eux en perspective de participation à la mondialisation, qu’ils fassent au moins l’effort de conservation de leur territoire en l’état pour le salut du monde (l’environnement).

Véritablement qu’elle est donc la richesse de l’Africain ? Sur l’angle de fierté de matières premières, peut-on vraiment se flatter d’une richesse dont-on n’est pas à l’origine de sa découverte ? Qu’on ne sait pas valoriser ? Et qui au final ne constitue même pas pour le détenteur moyen de pression et autres respects d’affirmations ?

Joseph TAPA



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