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Déshonorante désinvolture mauritanienne le 23/06/09 Nul ne trouvant orgueil face à une situation d’intérêt majeur le transcendant par dépassement, au point de l’éreinter... Il lui est louable en recours, sans honte, de solliciter une bienveillante aide, assistance à vocation salvatrice. Toutefois, quand bien même le passé structurerait l’avenir, tout en exposant de valeureux actes à la survenance de à notre ère, et, forts instructifs pour les nôtres à l’égard de l’avenir, nous devrions être animés dans la quête solutionnaire au-delà du soi, d’un souci d’efficacité étendu et de loin acté en désenchantement populaire. Empêtré dans des troublions institutionnels et politiciens déstabilisateurs nées apparemment selon les acteurs environnants (intéressés étrangers et adeptes locaux de pouvoir en absolu), de volonté s’affublant de quête démocratique. La république islamiste de Mauritanie se trouve depuis son dernier fait politique majeur de renom (coup d’Etat contre son seul Président élu en date de 06/08/0  dans les travers du désabusement.Quand bien même, le vieux, président Abdoulaye Wade, du Sénégal voisin, qui s’époumona du vivant de son feu petit frère Bongo, du Gabon, dans la quête du leader cheap de la sagesse africaine dans la résolution des crises africaines, se soit invité infortunément à la table de la médiation politique mauritanienne, avec comme résultante : "l’habituel constat d’échec à l’image de celui élogieux à l’égard de l’Etat voisin de Guinée-Bissau, à la crise temporairement solutionnée par l’assassinat du président Joa Bernardo Vieira et de nombreux hommes politiques" ; Les acteurs mauritaniens s’en remettent honteusement à des vielles recettes infâmantes. Le pays fort d’une population avoisinante les trois millions d’habitants, et ne pouvant financièrement faire écho à la célèbre ânerie du feu Bongo « la paix n’a pas de prix », sans pour autant briller politiquement de convaincant efforts pour la paix institutionnelle, s’abaisse désobligeamment à la décapante voie de l’incitation à l’intervention de toute nature, extérieure. À l’image des tueries de Kolwezi (ex Zaïre) en mai 1978, à l’encontre de ressortissants européens, orchestrées par le feu Mobutu, finissant par convaincre les occidentaux, au vu du ressenti dans leurs populations, à accéder à l’idée d’une intervention militaire, brillement menée par la France en sauvetage du pouvoir mobutiste. L’assassinat du ressortissant américain en date du 23/06/09 semble emprunter ce chemin de l’incapacité que l’on voudrait attaché à l’Homme d’Afrique. L’assassinat de l’américain n’est pas sans rappeler celui de quatre ressortissants français en décembre 2007, conduisant à l’annulation excessive du rallye Paris-Dakar sur conseil de l’Etat français, et, point de départ des déboires interne du président Abdallahi, fraîchement élu en mars 2007 et déposé en août 2008. Ce dernier assassinat d’un ressortissant étranger ouvre la voie à bien de supputations, allant : D’une part de volonté de revanche et menace, par invitation des USA à s’interposer dans le devenir de ce pays, face au soutien français à la candidature du colonel Ely Ould Mohamed Vall, ancien dirigeant putschiste (2005-2007) auréolé de la stature d’homme d’Etat à l’accent démocrate, du fait de sa retransmission historique du pouvoir à un civil, et, à la candidature à l’élection présidentielle annoncée diviseuse de la horde militaire au sein de laquelle il jouirait de fort soutien. D’autre part de celle de forcée la main française (mentor politique) dans l’adoubement et prise de position ferme et claire, au risque de se voir répudier au profit des USA invité, alors que l’on annonce la découverte de grande richesses souterraines, tel le pétrole… Invitation de la communauté internationale étrangère à l'Afrique, à sanctionner à l'image des âpres du feu Mobutu, une certaine sordidité d'incapacité africaine. Etc… De toute évidence c’est assassinat que l’on voudrait fort inopiné, de malheureux pure coïncidence d’avec le blocage institutionnel actuel, né du rétif des acteurs putschistes et loyalistes à s’entendre au-delà de leur égo, à former un gouvernement de transition devant conduire de nouveau à l’élection présidentielle, exprime l’incapacité d’un groupuscule non représentatif des africains dans leur ensemble. Le peuple mauritanien et africain en particulier, devrait faire entendre à tout étranger non africain, son refus absolu d’intervention de quelque nature que ce soit. La situation n’étant du ressort de l’impossible pour solliciter une aide dite internationale. Si certains foulant la terre de repos de grands africains, habités en calculs et stratégies pernicieux, ne sont pas en mesure d’eux-mêmes et par leurs faits et actes d’honorer la mémoire de ces derniers et ainsi dynamiser l'engouement de la jeunesse, il est préférable qu’ils aillent s’installer dans ces territoires étrangers qu’ils louent, à défaut qu’ils aillent bercer le repos des aïeux. Les Africains sont Hommes capables et si ce n’est le cas, ils devront l’apprendre d’eux-mêmes, à faire face à leurs idioties. La vie n'étant course face à l'horizon mortuaire, mais bel et bien apprentissage de lendemain meilleur. Il est une fois de plus mis enherbe la nécessité d'exhorter ce continent à se doter d’une force armée capable de faire tressaillir ces filles et fils qui jouent de la dispute et des distensions avilissantes. Joseph Tapa |
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PLANCHONS SUR LES CAUSES AVANT LES CONSÉQUENCES DES MAUX AFRICAINS. |
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