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Adm
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11/11/2009 07 07 13 (UTC)[citer]
La sénélité démocratique fleurie d'autocratie royaliste
Réminiscence historique…..le 05/05/09

Quand la faiblesse du vent effleuré de démocratie s'enrhume en lubie de tonalité dictatoriale au relent royalement étranger.

Il importe grandement de s’insurger contre le fléau funeste qui laisserait à présager comme salut du continent africain « par priorité » le métissage intellectuel et culturel, en guise de mondialisation et autres préceptes unitaires d’humanité, sous-tendant à nuire comme depuis bel lurette à l’épanouissement objectif de l’Homme noir et précisément d’Afrique.

Cette malhonnêteté intellectuelle tend à enfermer et suffire l’Africain dans l’incapacité personnelle.
Hum !!!!

Soit, n’y voyez pas dans les lignes suivantes une forme de racisme à l’encontre d’une espèce humaine, il est plutôt mis l’accent sur les maléfices qui voudraient de toute force, par dilution de sang compris, s’imposer aux africains en totale dénégation des brides spécifiques qu’ils incarnent et reflètent, et que d’aucuns se drapent de nouveau en correction civilisatrice….

Le président sénégalais Abdoulaye Wade (82 ans) au pouvoir depuis avril 2000, au mandat expirant en 2012, souleva bien d’incompréhension par ses quêtes de soutien à différents troubles publics africains (Putschistes mauritaniens, Putschistes de la Guinée-Conakry dont-il se voulu être le premier soutien international, Absence aux obsèques du défunt président assassiné et voisin Bissau-guinéen, Joa Bernardo Vierra, dont-il revendiqua l’amitié personnel au point de lui proposer l’exfiltration lors de péripéties précédents ceux l’ayant emporté, absence à contrario révélateur de soutien), incompréhension donc le voile tactique semble se dérober, mettant à jour des pratiques sulfureuses de félon.

Enorgueilli d’un combat politique de longue haleine dans l’opposition sénégalaise, il sembla vouloir porter ses idéaux démocratiques, à l’attendrissement des souffrances du peuple sénégalais, ce qui nécessiterait au regard des derniers événements politiques l’entourant, l’entrée au gouvernement d’après sa défaite électorale locale (municipale), de son fils Karim, à la tête d’un super-ministère : ministre d'Etat chargé de la Coopération internationale, de l'aménagement du territoire, des transports aériens et des infrastructures.

Hum!!!
La démocratie évolutive africaine serait la promotion des liens, d'accointances, en dénégation de volonté populaire.

Quand le peuple ne serait suffisamment évolué, il ne saurait efficacement faire preuve de finesse et justesse décisionnelle, en cela il mérite pour son bien qu'on lui impose son bonheur.

De simpliste analyse, l’on comprend que la sénilité s’imposant, ne pouvant pas de ce fait déstabiliser à son profit les institutions, à l’image de ses compères fauteurs de troubles institutionnels sous d'autres cieux africains et ostensiblement soutenus, très certainement en quête de réciprocité avenir (solidarité salvatrice de la confrérie), et sous couvert de sa légendaire lutte pour la démocratisation au forceps du Sénégal tant aimé, il entende positionner son sang comme le mieux à même de poursuivre son œuvre royale.

Ce fils prodige qui certainement se voudrait de la ligné d’Obama, avec qui il partage d’être Africain de part le sang paternel (il est vrai que pour bon nombre d’africain l’on est africain du fait du père)
né en France, ce qui lui attribue de facto la nationalité française et élevé lui aussi dans des valeurs lointaines de celles du Sénégal dont-il ne parle pas la langue locale la plus usitée (Wolof), persiste, quand bien même désapprouvé par le peuple lors de suffrage électoral et déchanter par ses calamiteuses infortunes gestionnaires d’activités publiques, à insuffler au Sénégal, les voies de l’ancrage au modernisme royalitique personnifié.
Hum !!!!

Il ya quelque chose de pas très correct dans le souffle démocratique africain, qui s’inscrit dans la nauséanbonde pérennité des castes fortement marqués de l’étranger (naissance, éducation, instruction, idéaux), remémorant tristement les dévolutions post-esclavagiste qui faisaient la part belle à ceux issus de mélange (météques), comme étant imbibés par excellence salutaire d’une certaine pureté capacitaire...

Le président Wade en tacticien politique, entend très certainement par la création d’un poste de vice président, barguigner avec les ténors de la politique sénégalaise, à qui il ferait miroiter l’opportunité d’en découdre dans l’avenir avec un fils à l’infortune politico-administrative notoire, entrevu comme mieux à même de poursuivre l’achèvement de l'effort paternel.

De cette stratégie fumante de perfidie, en dépit d'esprit démocratique loué à tout va par le président Wade, il en a découlé en ostentation, un charivari de réconciliation politique interne, complément probable de la quête de soutien étranger.

Cette attitude reconciliatrice que l'on devrait encenser en extase, en salut du peuple sénégalais, projette en perplexité les stupeurs qui guettent son proche avenir.

L'ex-premier-ministre Idrissa Seck (4 nov 2002 -21 avr 2004), anciennement numéro deux du parti présidentiel (parti démocratique sénégalais: PDS), présenté d'alors en dauphin, poursuivi en justice par le président Wade et emprisonné pendant sept mois pour malversation financière
vient de bénéficier d'une relaxe en non-lieu, après tractation existentielle avec le camp présidentiel, semble de nouveau dans l'arène et joue de sa partition orchestrée de nuisibilité soporifique.

Ce dernier à tout bonnement déclaré qu'il avait comme patron désigné par les suffrages, le président Wade, et qu'après ce dernier c'était lui (quand bien même il n'occuperait aucune charge publique), ce qui en dit long sur son sens du service à la nation et son ancrage à la démocratisation de celle-ci, et il s'est par avance déclaré candidat à la succession du patron, ce qui en dit long sur sa partition distrayante et dilatoire autour de l'avènement du prodige fils présidentiel.

La révolution de palais qu’entendit souffler le fils Faure, successeur du père Etienne Eyadema, objet à toutes sortes de perfidies amenuisant le peuple Togolais, ne présage en soit rien de serein quand aux mystères hères entourant le prodige étranger fils Wade.

Sauf à poursuivre l’enracinement du déshonneur africain, conduisant en nécessité cinglante et vexatoire au délaissement de ses propres capacités au bénéfice d'une minorité se voulant incontournable, quand bien désavoué par les voies des urnes démocratiques ; Il importe que les Africains s'unissent d'une même force contre ses stériles morbides qui entendent profiter à volonté du burlesque des contorsions des masses africaines.

Tapa Joseph



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