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29/09/2009 13 01 14 (UTC)[citer]
23/07/09
Cameroun : Au bon souvenir des vielles
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Le très affuté président Paul Biya, du Cameroun, populaire par son élogieux anonymat, poursuivrait-il par sa visite officielle française du 21 au 24 juillet 09, à se prémunir de bien de malédiction à l’approche des élections présidentielles de 2011.

Le pays rongé récemment par de violentes manifestations meurtrières sur la cherté de la vie; Internationalement désavoué pour ses incuries gestionnaires et autres gabegies économiques; Alors que premier producteur d’intellectuels africains exilés par excellence, dans les rouages des structures administratives et gestionnaires françaises (préfet, médecins, ingénieurs, journalistes, juristes, comptables etc&hellip.
Il serait fait de félon, la mise en place et soutien d’une opposition concrète depuis l’étranger, comme cela est paradoxalement légion en Afrique, alors que le gouvernement de président Biya, ne cesse de s'évertuer à plaire à son illustre bienveillant "visité".

Premier pays de sous région d’Afrique centrale à avoir signé les accords de partenariats économiques (APE), faisant la part belle aux entreprises et autres biens d’importations étrangers affranchis de taxes douanières et autres impositions, et plus précisément français.
Le Cameroun est aussi l’un des rares pays Africain à avoir à grand pompe signé, sous la houlette du premier ministre français, François Fillon, le 20/05/09, les nouveaux accords de défenses dits de nouvelle génération, après ceux moins élogieux et sans émoi, de l’immigration choisie cher au président Sarkozy.

De plus la volonté "réelle" du président « VRP » Sarkozy, de s’affranchir des relations africaines peu rentables économiquement, soutenue par l’idée de la refondation des relations africaines et les vitupérations sur l’exercice indéfini du pouvoir (discours du Niger), ont eu pour mérite de faire tressaillir bien d’apparatchiks, à l’instar du président Biya, qui après 27 ans de règne "clanique" entend poursuivre son œuvre indéfiniment par modification de la constitution.

Conduisant en paradoxe de l’intérêt majeur des camerounais, à des efforts aiguisés, d’éluder les coups bas français, dont est issu le pouvoir du président Biya, consécutivement à la duperie française sur la santé et capacité de l’ancien président Amadou Ahidjo, et dont regorge en richesse de diversité l’Afrique.

En outre, l’annonce du doublement de la capacité pétrolière du pays, même si pas de nature à en faire un grand d’Afrique, flatté de la crise d'énergie fossile, serait un présent choyé et bienvenu qui mettrait certainement en balance, la non affection du président Sarkozy, qui au lendemain de son élection n’entendit pas s’attarder en réception avec le président Biya, venu lui présenter ses félicitations et accusé de ne l’avoir pas hautement soutenu.
Et comme pour mieux marquer l'étendu du peu d'intérêt porté à ce dernier, il sera reçu le 24/07/09, par le président Sarkozy, durant sa pose déjeuner.

Les Africains et particulièrement les camerounais en l'espèce, devraient s'insurger promptement de cette situation qui tendrait à faire des présents pour susciter l'indulgence, d'autant que l'histoire de l'humanité dont-ils ne seraient pas suffisamment ancré... (Propos Sarkozy), dénote que l'on se défait difficilement de la promptitude de servitude offerte, sans que cela soit un gage de reconnaissance, tout au moins une source de considération existentielle.
Il ne doit pas être aussi simplement sacrifié le devenir d'une nation sur l'autel des craintes d'avenir...

En fin tacticien, le président Biya, débuta son séjour auprès de l’ex-numéro deux, du premier gouvernement Sarkozy, maire de Bordeaux, annoncé comme futur premier-ministre, voire présidentiable en 2012, Alain Juppé, et prétendu avoir une certaine influence sur le président Sarkozy.

Finalement, le président Biya, au nom de l’amour et la paix de son peuple qui n’a pas de prix, en vertu de la célèbre ânerie du feu Bongo, entend barguigner son salut.

La françafrique spoliatrice et dirimant d’évolution, serait de toute évidence réhabilitée, maintenue, par les africains soucieux de paix et autres vindictes étrangères.

Joseph Tapa



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