La place de l’Afrique dans le choc théologique
Circonvenue inquiétante le 09/01/09

Il est de nouveau d’actualité de s’insurger internationalement contre l’usage hautainement excessive et disproportionnée de la force militaire dans les conflits israélites du proche Orient (Liban, Palestine).

La réponse du char militaire à l’écrasement d’un lanceur de pierre (Euphémisme) est un acte qui porte au mieux la désapprobation.

A moins de volonté d’éradication d’un camp.., tout conflit guerrier où les intervenants ont en commun des raisons et des tords mutuels n’a de solution que la voie de la négociation et de la conciliation (cessation des hostilités).

Politiquement, ici s’exprime une complexité machiavélique à multiples facettes, savamment instrumentalisée et entretenue par les belligérants.

De celles-ci l’on peut citer :
→ La volonté de prendre à défaut le nouvel arrivant du changement à la maison blanche des Usa. (Pays politiquement engagé dans des soutiens divers tous azimuts en se voulant garant de la défense des causes nobles).

→ La volonté de recherche de leader cheap régional et international de certains Etats soutenant les belligérants (Egypte, France, Iran, Syrie, Turquie, Usa etc).

→ La volonté des belligérants de marquer moralement les esprits (revanche, victoire face aux propres spasmes intérieurs etc&hellip.

→ La volonté infâme de déstabilisation par apologie guerrière au-delà du cadre du conflit en quête de revigoration maléfice d’accointances (déstabilisation d’Etats voisins, expression de toute puissance guerrière etc&hellip.
→ Etc…

Ironiquement, ce conflit qui livre la cohésion unificatrice de ceux se voulant en lutte contre l’oppression, à le mérite de refléter en exposition l’ignominie se cachant dans bien de véhéments actuels.

Il n’est de doute que l’acte disproportionné quelconque ravive la réaction et excite la colère, cependant il est navrant que ceux-ci véhiculent dans l’expression l’image des inégalités humaines et sociétaires.

N’en déplaisent à ceux qui y verront une intention superfétatoire, il est à rappeler l’ignominie de bien d’entre eux au regard de l’aveuglement de leurs actions de conscientisation internationale des odieux crimes loin de toute corrélation religieuse dans les contrées africaines.

Ce qui à le mérite de révéler la sordidité qui emporte bien de véhéments qui travestissent sur le plan du choc des civilisations le conflit pour vibrer tout feu toute flamme.

Bien d’enfants et jeunes drogués et incorporés de force dans des guerres ; Bien de femmes brutalisées, violées, embrigadées de forces dans des conflits ; Bien d’hommes, de vieillards, sont tous victimes de crimes odieux et génocidaire sans que les véhéments battant le pavé mondial et plus particulièrement dans les contrées africaines ne se lèvent et rivalisent avec autant d’ardeur contestataire.

De cela il ressort en tristesse l’affaiblissement de l’identité africaine enfermée dans des croyances théologiques à la genèse extérieure qui la discrimine.

La religion étant apparemment l’opium du peuple et sa vitalité existentielle, il serait donc de sauve reconnaissance que l’Afrique dévoile la sienne…
Joseph TAPA