Sarkozy s’affuble du burlesque en Africain
Magnificence du grotesque ou fleur d’intelligence… le 20/01/09

Le président Nicolas Sarkozy, populaire pour son dynamisme et hardiesse à tout va, tendrait à se frotter insidieusement aux turpitudes africaines.

Ce dernier apparemment attendu dans les jours à venir du coté de la république démocratique du Congo, pays en proie à une puissante rébellion depuis 1998 dans l’Est, qui serait officieusement soutenue par l’Etat voisin du Rwanda en total froid diplomatique avec la France de Sarkozy.

Du contexte sociopolitique sur le terrain éreintant la communauté internationale par d’inlassable et incessant déplacement des populations abandonnées à eux et objets de toutes sortes de brimades des factions en oppositions, il semblerait qu’au regard du contexte économique international, il soit présagé en fine ignobilité des conjonctions de soulagement et au plus haut financier.

En effet, la situation sociale se détériorant depuis 1998, en raison de conflits politico-militaires persistant et prenant en otage près de 7,7 millions d’êtres humains de cette région (Kivu-Maniema, l’abandon serait contraire aux principes d’universalités et d’humanité : génocide) et nécessitant continuellement une forte présence internationale qui ne saurait être perpétuelle.

Le conflit dans l’Est de la R.D Congo serait officiellement mené contre les faiblesses et incompétences sécuritaires d’une frange de la population (Tutsis congolais, d’origine rwandaise dans l’Est) du pouvoir en place à Kinshasa, officieusement par le désir d’occupation et d’annexion d’une partie territoriale du Congo où réside une minorité très en vue et au pouvoir au Rwanda voisin.

Cette situation appelant à une solution des plus rapides, le sulfureux président Sarkozy avec toute l’hardiesse qui le caractérise s’en va se draper « volontiers » de la cape d’apôtre de la paix et lance subversivement un pavé dans la discorde africaine.

Il laisse présager en guise de prémices de solution à ce conflit tortueux, que soit entrevue la possibilité d’accorder plus d’espace géographique au voisin Rwanda.

La R.D Congo grand de 2.345 410 km2 pour 62 660 551 habitants (densité de la population 26,7hab./km², le Rwanda faisant 26 338 km2 pour 8 387 000 Habitants (densité de la population 300hab./km².

Bien que historiquement attribué ou rattaché au royaume de Belgique en faveur du partage de l’Afrique et du découpage de ses frontières en conférence dite de Berlin en 1883 par les occidentaux, la France à part la suite étendu son influence sur ces pays et fut pour le cas du Rwanda, l’est pour le R.D Congo, un des premiers partenaires économiques et modèle politiquement influent.

Il est à rappeler que c’est de tels péripéties qui ont été à la source des grands faits de guerres, à l’image des revendications de rattachements territoriaux peuplés de populations germaniques avant la seconde guerre mondiale.

Même s’il est vrai que les Africains n’ont conquis d’eux-mêmes leurs espaces géographiques étatiques.., il n’en est pas pour autant vrai qu’ils n’en sont ironiquement et fièrement attachés pour être de nouveau sujet à la redéfinition responsabilisante et de nouveau indépendamment de leur constatation.

Quand bien même les conflits dans cette partie du monde trouveraient difficilement solution des africains et ce en raison des soutiens insidieux orchestrés à tour de rôle par des esprits fort intéressés par leurs richesses.

Un tel fait de thaumaturge, s’il venait à faire droit aurait à coup sûr le mérite de réanimer biens des sordidités sommeillantes donc s’affublent les Africains et que biens de malencontreux adeptes de maléfice n’hésiteraient pas à brandir pour illuminer en distraction morbide les peuples.

Dans ce sens la communauté international aurait de nouveau fort affaire au nom des principes universellement attachés à tout peuple.

En finalité tant il est vrai que le fabriquant d’une chose déteint en principe la connaissance nécessaire de réparation de son fait ; Qu’il soit tout aussi vrai que la communauté internationale ne saurait être pris en otage par une frange non exclusive de problématiques ; Tout comme il ne peut être laissée sans solution une problématique de faits humains…

Il est toutefois souhaitable que l’hégémonie ne soit pas objet de désordre.

Les Africains ont le droit d’apprendre seul des erreurs dans lesquels ils se sont laissés enfermer ; Ils ont le mérite de constater les stupidités qu’ils ont hérité par duperie, en cela c’est à eux qu’il revient d’entrevoir quelqu’en soit le prix : Les solutions.

Personne ne se devrait de vouloir porter à lui seul l’apanage des victoires des stupeurs humaines.

L’enfant devient adolescent et exprime sa majorité par sa différence, alors il est souhaitable que certains fussent-ils parents n’endiguent la croissance.
Joseph TAPA