Le recul-avancée africain
Qui d'autres que l'Homme s'occupe de son devenir

Force est de constater que l’Afrique en quasi totalité, expose non sans pudeur à des interrogations sommes toutes inquiétantes et interpellantes précautionneusement en relativité.

Il s’y dégage à tout vent sur ce continent une dynamique de refonte des fondamentaux structurels, envisagée sous le rempart de la poupe du changement évolutionniste, en rectifications de carences profondes et autres indéniables errements.

Ainsi au nom de la lutte contre les spasmes gestionnaires et attitudes malencontreuses et idoine à la dérive sociétaire, un nombre non négligeable d’Etats africains se sont lancés dans la voie des privatisations tous azimuts.

De celle-ci l’on ne décompte plus les activités majors d’économie (extraction, valorisation de richesses souterraines etc&hellip et celles dites régaliennes (Service des eaux ; électricité : production, transport, distribution ; les voies et moyens de transport et de communication etc&hellip qui sont soustraites à la gestion directe africaine, au bénéfice d’étrangers.

Passation gestionnaire propice à l’exposition intrinsèque des incapacités des africains quant-à la dévotion à leur propre développement.
Démentiellement il est symboliquement recouru à la concession stupéfiante (50 ans minimum : bien évidement le temps à la nouvelle classe de comprendre), quand t-il n’est pas tout bonnement remise, délaissée, l’activité à des structures sous contrôle étranger et ironiquement administrées sur le terrain par des africains.

Le trouble s’en ressent désolémént, quand on prend en considération les longues années séparant des indépendances, bassinées comme sortie d’embrigadement et exaltées comme gage de contrôle meilleur d’avenir.

Incapable sont donc les Africains…
Cela éclaire au mieux la compréhension de la détermination de biens d’Africains à s’exiler sous d’autres cieux et la quête de servir au prix de faveur et perte de dignité des étrangers.

En satisfaction des belliqueux :
Il est indiscutable que les structures qui dominent l’expression du cadre de vie africain, n’ont pour origine le savoir faire africain.

Par voie de conséquence, quand bien même elles seraient nécessaires à l’épanouissement, elles nécessitent comme toute nouveauté une période d’adaptation et phase de prise de connaissance ou de conscience.

Sans toutefois omettre, le recours explicatif à l'inventeur, pour mieux marquer, l'abaissement dirimant aux faits d'autrui...

Enfin la vie mortelle n’est pas course, et qu’il est vrai que même dans l’urgence il faut pouvoir avoir la maîtrise de ne pas confondre vitesse et précipitation.
Hum !!!!

N’en déplaisent à ceux qui fustigent agréablement les arcanes étrangères comme étant principalement source déstabilisatrices du développement des sociétés africaines, il transparait fortement au regard de l’ampleur des privatisations secouant l’Afrique :

L’échec premier et indélébile de l’Africain face à sa propre évolution avant les turpitudes de gestionnaires.

Incommensurables sont les marques visibles de ceux-ci : émigration, défaillances et dénégations de valeurs (sociétaires et sociales) face auxquelles l’on se demande en profond lesquelles sont africaines.., etc…

Hors si l’on s’en tient à l’élan intellectuel fort prisé en Afrique en quête de salut individuel et la magnificence d’occidentalisation, cinglant est-il d’observer la transposition qui en ressort.

Tant il est consternant l’incapacité de transposition ou adaptation salutaire des acquis de formations extérieures, propice aux structures qui les gouvernent.

Tant il est choquant de constater le rétif et l'absence de munificence des enfants d’Afrique à la participation du devenir des terres de leurs ancêtres.

Distinctement de toute rhétorique, il serait donc envisageable de soustraire les Africains d’eux même, pour le salut de leurs terres…

Le salut de l’homme depuis tout temps sommeille en lui, il n’est de doute au regard des conflits et avancées sociétaires.

Cependant faut-il face à ses faiblesses et incapacités s’en détourner en raison de l’échec envisageable et ainsi prendre le risque de se priver d’une chance de réussite ?

A moins que dans le cas africain de transfert au bénéfice d'étarngers des compétences, il s’agit de stratégies de report fondées sur des nécessités et finesses insoupçonnables...

La capacité de revivification des enfants d'Afrique incombent à tous ceux qui portent ses couleurs, à défaut de recourir aux sciences pour y changer de peau.

A défaut d'étaler de belles rhétoriques, tout simplement : DE QUOI EST DONC CAPABLE L'AFRICAIN FACE A L'EVOLUTION SOCIETAIRE...

Joseph TAPA