13/01/09
L’ONU EST-ELLE SOURCE DE CREDIBILITE ?

Instituée pour la garantie au mieux (à l’impossible nul n’étant tenu) de la paix de part le monde, après les soubresauts de la seconde guerre mondiale (1939-1945), elle a été dotée d’un organe décisionnel : le conseil de sécurité (Cs).

Conseil (Cs) qui prône en absolu nécessité la concertation en raison des divergences humaines et sociétaires, et semble être sous l’influence omnipotente et sécuritaire de ceux qui s’affublent le rôle de moteur et garant d’une cohésion mondiale au regard de leur avancée (sociétaire, technologiques etc… : les Puissants).

Le Cs dans l’organigramme des mesures qui lui sont possible, il se dégage en excellence la résolution comme forme décisionnelle se taguant du consentement majoritaire et la décision propre au Cs qui exprime la vision prépondérante du cercle restreint de veille international.

D’une perception simpliste, l’efficacité d’une décision s’analyserait dans son impact sur ses destinataires et en corolaire légitime, redore l’action de son auteur.

La justesse de son efficacité s’analysant par la proportion de son impact, ainsi une mesure approchant les 70% de concrétisation devrait être valablement soutenue dans la lutte de réduction des nuisances à son plein impact.
Cependant il y’est des décisions qui en fonction des contextes qui les exhument, expriment des conséquences particulières quant-à leur saisies.

Quand bien même le temps amenuiserait les tensions, l’intention dilatoire aurait du mal à nuire la rancœur.

De ces décisions hautement sensibles, l’Onu bidouille sur le camouflet que vient de lui infliger les protagonistes du conflit ensanglantant le Proche-Orient (Israël – Palestine) par le rejet d’une décision de cessez le feu comme préalable à la résolution de crise.

Hum !!!!, cela à le mérite de s’interpeller sur la nécessité de se conformer aux décisions d’un ordre institutionnel qui semble déployer une certaine ferveur à la contrainte qu’en considération des accointances et dans une certaine perception que l’on voudrait infâme du ressentiment sur les uns et autres.

Loin de toute véhémence outrageuse, dans le concert africain (scrupulus mondial qui sait), il est mis en éveil une ferveur cinglante par l'indexation de ses ressortissants au conformisme de préceptes divers d’humanité, d’universalité (à l’instar des poursuites judiciaires contre les dirigeants africains : Le président Béchir du Soudan, Le Sénateur Bemba de la RD. Congo, les intentions contre le président Mugabe du Zimbabwe etc&hellip, pendant que sur d’autres champs de violation des dits préceptes, les velléités psychédéliques et hallucinatoires sont légions.

Le monde certes par nature est propice aux inégalités, nul ne bénéficiant exclusivement de toutes les merveilles ou calamités terrestres.

Cependant, il est indélicat l’accentuation des discordes sous le pendant d’inégalité, le prisme de l’imbécillité des autres contribue depuis toujours aux dissensions fatales à bien de formes sociétés précédentes.

Joseph Tapa