L'Afrique au centre de l'initiative le 15/04/08

A la découverte de l'Afrique et de ses multitudes avantages naturels (Climat, Richesses de toutes sortes), les explorateurs et autres missionnaires représentants les puissances occidentales n’ont eu de cesse d’user de stratagèmes de toutes sortes : Duperies, Violences, Divisions, Manipulations etc…

Dans de visées d’organisations et d’appropriations de biens divers qui y fourmillent, et ceux dont les terres africaines s'y accommoderont, et à destination de la satisfaction du bien être de leurs semblables (non africain).

Tout en insufflant l’évolution qu’ils considéraient incarné, aux sociétés africaines jugées incapables d'elles mêmes et incompatibles à l’expression du bien être : Assurément le leur…

Soucieux de leur bien être et de son approvisionnement, garanti par la servilité des peuples sous-estimés et incrédules face à leurs possessions...; Il a été introduit en Afrique des cultures "dont les africains s'en délectent allégrement, comme si ce ne fut le cas auparavant" découvertes dans d’autres contrées discutées : Pommes de terre des Amériques, Coton, riz d’Asie, Banane, Cacao, Café, arachide, manioc…

À l’organisation de ces peuples aux institutions jugées inférieures, l’accent a été mis sur la ré instruction culturelle "avec le fardeau d'idolâtrie et croyance en stupidité", ainsi qu'à l'orientation des productions "alimentaires et autres" nécessitées pour la satisfaction étrangère "Occidentale en priorité".

C'est ainsi qu’à la restitution "l'octroi, le don" d'indépendance "de principe, loin d'être de fait en pratique" à ces peuples marqués d'une servilité endurcie (durée phénoménale: depuis le 14 siècle), il n’était guère d’autres concepts d'organisations praticables, que celles instituées et léguées avec en prime bien de revers, et au premier desquels l'on peut citer la perte de valeurs propres…

Les dogmes imposés, tel l’économie et autres avatars à ces peuples "regroupés selon convenance étrangère dans des structures étatiques, distinct de leur volonté", nécessités au nom de l'amélioration du quotidien.., se trouvaient par voie de conséquence : Erigés/Dirigés vers la satisfaction de besoins extérieurs aux peuples locaux.

Ce qui fut appréhendé en guise justificative, sous le couvert de la nécessité de sortir du sous-développement "orchestré"...

Sous développement face auquel, ceux qui jugeaient ces sociétés africaines impropres à bien de choses, n'y ont porté d'attentions remédiantes, ni même jeter des bases autres que ceux confortant la servilité…

En résultante de tout ceci, la totalité des activités économiques "considérables, mêmes ceux dits primaires" des Etats africains sont tournées vers des productions nécessitées essentiellement par l'Occident : Pétrole, Cultures maraîchères, bois, fleurs, minerais…

Et que la consommation de ces derniers est dirigée par les produits manufacturés issus de transformation à l’étranger "pour l'essentiel" de leurs richesses, les confinant pour ainsi dire à l'expectative et autres attentismes...

Pour bien marquer son relent dominateur de l'organisation mondiale qui est sienne, l'Occident dans une gentillesse fort fraternelle..., contribue via des subventions diverses à ses producteurs (agriculture, élevage, recherche, Consommation etc...), faussant assurément l'équilibre économique, mais nécessitées par le souci d'assistance humanitaire et prioritaire des siens...
Voilà que les actions salvatrices inter-occidentales, sanglent fortement, étouffent admirablement le semblant d'industries primaires d'auto alimentation africaine.

Reléguant par la même les populations africaines aux aides et autres faits humanitaires propre à leur Grande Bienveillance...

Ce faisant certain d'entre eux, tel les USA nous gratifie même de notation à la servilité, contrepartie d'un soutien endémique aux plus fervents adeptes.

En raison de la recherche de profits (autres legs nécessaire au développement), les productions africaines indexées à la consommation et institutions étrangères, se trouvent en vertu de l'indexation être sous-jacentes à divers organismes "marchés boursiers, financiers etc.." déterminant, non sans humanisme propre.., les conséquences sur les économies en servilités.

De la situation internationale actuelle "menacée d'implosion" et qui sur le plan économique laisse entrevoir une crise haut combien difficile, du fait des égarements "errements" des évolués !!!
(Crise dite des subprimes, Guerres, Iniquités subventionnelles&hellip ; Il en découle une répercussion perverse "Cherté du coût la vie, Famine à outrance à venir etc..." déportée tout naturellement sur les serviles :
C'est au plus faible de supporter, d'endosser les erreurs du fort..

Pour exemple, l'ensemble des manifestations et autres protestations des populations sur le continent africain : Afrique du Sud, Maroc, Egypte, Cameroun, Sénégal, Cote d’Ivoire etc… et bien au-delà Haïti etc...

Aux conséquences à cette situation économique, s'impute un pragmatisme de prévisibilité tendant à la crainte d'effet "boomerang" d'émigration de masse en Occident...

Inévitablement déductible et soutenue de principes sous le couvert d'universalité:
Tel le droit des peuples à exister etc...
La contrariété humaine là dessus risque d'être fort fournie de situations exceptionnelles "justificatives" de la transgression provisoire des concepts rattachables à l'être humain.

En réaction précautionneuse, au vu de l'ampleur des vicissitudes internationales en suspend, la communauté institutionnelle internationale sous l'égide des évolués, s'organise en sauve conduite, en des actions missionnaires tous azimuts, sous fondement de la bonne parole gestionnaire à l'encontre des Etats africains. Eumh!!!
Les premiers évangélisateurs y ont laissés de l'espoir dans la prière...

De ces actions civilisatrices, l'on peut ranger celle de Robert .B Zoellick (président de la banque mondiale) qui de forte voix clame l'urgence à l'assistance en revendiquant de plus en plus de fonds.

Eh oui, une fois de plus la communauté institutionnelle internationale "exit l’union africaine" saisie d'un amour insoupçonnable, vole de nouveau au secours "au chevet" de ceux qui ne sont capables d'eux même...

Merci pour l'apport du poisson ; Qu'en est t-il de pouvoir le pêcher librement pour soi d'abord ; De le reproduire en premier pour ses semblables sans délaisser secondairement la fraternité...
De l'espoir!!!!

Le malheur de l'Afrique entre autres : C'est bel et bien le contrôle, l'organisation perfide de ses enfants, a et en des besoins étrangers à leurs propres bien être.
Aux croyances à des valeurs qui ne sont siennes, étrangères à l'expression de son évolution, le confinant a un attentisme salutaire rêveur...