Adm (451 articles pour l'instant) | | LA CRISE FINANCIERE AU SECOURS DE L'AFRIQUE !!!
Félonie internationale. le 27/09/09
Qu’il est ennuyeux diront les uns de flancher sur le sort d’un continent et des peuples incapables par eux-mêmes à maîtriser leur devenir, distinctement d'attentes étrangères…
A l’image du peuple américain qui majoritairement ne souhaite contribuer fiscalement à la sauvegarde d’aventureux financiers, remémorant par là le refus qu'il exprima fiscalement face au frère-colon britannique et se trouvant être l’une des bases fondamentales de la naissance des USA.
Chiche pour l’Afrique !!! Euhm…
Il est notoire que les moins armés face à un fait quelconque, ceux au bas de l'échelle socio-humaine, sont les premiers à subir les égarements des puissants.
Tout comme le servile supporte en priorité l’action du patron etc…
Toutefois, la confirmation d’une règle engendre des droits et obligations que l'exception de par son caractère conforte en sa sanction.
Ainsi qu’il est subtilement machiavélique l’acception faite par l'établissement international, via des mesures précautionneuses d'effets dévastateurs de la crise systémique "actuelle" à laquelle l’Afrique ne saurait par ricochet échapper.
A l’instar de l’annonce américaine de relance de l’économie par une injection d'argent en couverture "reprise publique" des égarements "errements" des aventureux financiers à hauteur de 700 milliards de dollars, nécessité par un souci de lutte préventive à l’accroissement de la pauvreté dans cette contrée; l’Afrique dont-il n’est un secret de polichinelle sur le niveau de pauvreté qui est le sien, devrait certainement compter bénéficier insidieusement de mesure analogue d'acteurs internationaux "Exit les organisations, etc... africaines". PIS alors !!!
Quelle belle preuve testimoniale qu’est la resplendissante intervention du président Sarkozy (France) à la grande messe de l’assemblée générale de l’ONU, sollicitant ostensiblement que l’Occident flanche de plus près sur les relations et situations financières des Etats africains, en recherche d'absence de répétition d'erreurs du passé !!!
A l'évidence, contrairement aux africains, il ne souhaite point écarquiller leurs yeux sur le sort africain...
Fort de ses accointances dont-il aime à porter hautement la qualité de représentant et en expression de l’hardiesse qui est sienne, il semble prendre le parti de recouvrer l’Afrique "recolonisation..." en faveur de l’assistanat en amont : Garantissant assurément l’anéantissement de l’indéniable et indéfectible émigration d’indigents (es).
Vœux confortés non sans étonnement par une majorité des représentants africains, auxquels l’on peut y adjoindre les inquiétudes minant le président Béninois Yayi Boni à cette messe, et qui réclama des aides pour permettre aux développements des structures économiques nécessaires dans les Etats africains pour faire face aux besoins populaires.
Poursuivant sa recherche d'un écho salutaire, le président Boni, cru bon de clarifier le sens de sa participation à la grande messe onusienne, par des précisions sur ses inquiétudes sur les effets de la crise "en Afrique" dans un entretien radiophonique sur les ondes d'un média fort populaire auprès des africains: RFI, ou il insistait sur la nécessité de ne pas restreindre l'assistance au continent africain.
Quelle consternation dans la reconnaissance de l’effort participatif des africains à l’évolution de la société...
Une des superbes de nos esprits et langues s'exhume des contradictions qui y résident, ce qui conduit à ce que l’on ne s'en orgueil en position de petitesse, signe certainement de fierté grandissante...
La Chine n’a t-elle pas glané de l'intélligencia extérieure pour magnifier son entrée dans l'évolution: Cf expéditions spatiales, technologies etc...
Pour bon nombre d’africains aux premiers rangs desquels semblent se trouver leurs représentants, la dynamique d’amélioration de leurs conditions de vie ne trouvera son salut que par l’entremise étrangère.
De simpliste perception, il est indéniable que les organisateurs du bordel économique mondial ne sauraient se détourner et ce distinctement de tout humanisme d’un bel vivrier en tout genre.
De ce fait, l'Afrique ne saurait être abandonnée, indépendamment de la bonne manœuvrabilité de ses enfants, elle porte certes partiellement en son sein bien de convoitise incontournable pour les maîtres de l'évolution.
De plus comme l’histoire le dénote, ainsi que divers proverbes, après une chute l'on repart généralement de plus bel.
Alors insidieusement à son tour, l’Afrique pourra se gargariser d’injonction financière et qu'il est triste, du fait d’efforts d’étrangers.
La coutume africaine d'attente via l'assistance du bienfait des autres aurait apparemment encore du mal à intégrer l'évolution...
Sauf polémique quant à l’utilité et finalité "L'exemple du Tchad : désaccord de redistribution des fonds du pétrole au profit du peuple qui fini par décourager la banque mondiale", il n’est à coup sûr matière à réjouissance.
Ceux qui aiment à gloser sur l’action néo-colonialiste ont matière à peaufiner leurs véhémences.
Il n'en reste pas moins que le continent africain va être de nouveau inondé de cash qui jusqu'ici lui était lancé du bout des doigts au regard des finalités/destinations qui en étaient faites.
Mais alors se pose la question des acteurs devant poursuivre efficacement cette charge contre la pauvreté.
Les précédents:
Tchad-Banque Mondiale, les procédures judiciaires en Europe et en Afrique contre les détournements personnels etc... N’augurent en soi rien de bon pour l'avenir.
Faudra t-il là aussi que les bienfaiteurs s'y attèlent...
Commentaire JTS: 04.11.2008
Le gouvernement allemand vient de mettre à la disposition du Burkina Faso une enveloppe de 75 millions d’euros, soit à 49,1 milliards de FCFA. Cette somme représente une augmentation de 25% par rapport à l’aide débloquée pour la période 2005-2007, et est destinée l’agriculture, la gestion des ressources naturelles et à un appui budgétaire.
Commentaire JTS: 12.10.2008
Le président de la Banque mondiale, Robert Zoellick, demande aux pays en développement de se préparer à des temps difficiles en raison de la crise financière qui frappe les pays riches. M. Zoellick estime que « les paniques bancaires et les défauts de paiement sont tout à fait envisageables dans les pays en développement à mesure que se propagera la crise. » EN Attente de l'effet dévastateur des économies africaine auquel Robert Zoellick ne veut exprimer, le politiquement l'y obligeant, le Nigeria lui qui bénéficie gracieusement de la nature africaine entend soutenir le système financier occidental à hauteur de 3.7 Milliards d'euros. ET QUE VIVE LA CELEBRE SOLIDARITE AFRICAINE !!! |