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07/10/2008 09 09 04 (UTC)[citer]
L’AFRICAIN ETERNEL ATTARDE !!!!
L’excès de retard nui le 22/08/08

L’Afrique et ses enfants de leurs revendications d’assistances à l’insertion au modernisme "sociétaire", sous couvert du remord devant le misérabilisme fringant sur ses terres, de l’humanisme face à leur pauvreté et de la conscience en remémoration d’un passé de colonisé....
Soulève en fait la risée de l’occident qui s’efforce tant bien que mal à y injecter les bases de sa convoitise africaine…

À l’instar d’une mère attristée, souffrante de l’invalidité, du handicap de sa progéniture sans pour autant être facilement prête à lui donner sa prope vie ; Qu'il est effectivement amusant d’observer les vœux des africains à l’égard des occidentaux, sollicités à tout vent et à tous niveaux sociaux "quand ce n’est des institutions Etatiques, c’est du fait des politiques de tout bord, des militaires, des populations ".
Sollicitation frisant même l'imploration de respect d'engagements
symboliques telles les aides gratuites et autres formes d'assistances salvatrices à destination de l’Afrique lire là dessus.
Et ce sous la revendication de droits fondamentaux attachés aux Hommes, non découvert mais reconnu d'eux par une applicabilité en impartialité des plus choquantes dans ces contrées.

A l'image des occidentaux qui se sacrifièrent pour leurs semblables au non de paix, d'ordre juste, de souci d'évolution tout au long de leur histoire " Révolutions, Guerre:1914-1918, 1940-1945 les africains y ont joué un rôle en servitude, indépendamment des objectifs poursuivis ".
Combien d’africains seraient prêts à "pourraient" se sacrifier même pour un parent frappé d'handicap.
Combien donneraient leur vie pour un invalide; nonobstant la recherche de gloire, de mérite, de reconnaissance, se sacrifieraient-ils pour un voisin? Pays frère en difficulté ?
Quand bien même ses attributs de gloire, reconnaissance etc... leur seraient acquis

En conscience de ses interrogations, il paraîtrait donc logique, d'évidence que ces derniers soient mis aux bancs des nations.
De là découle l'interpellation de Pays du tiers monde.
Appelation justificative de la saisie en dernier ressort par les acteurs influents de ce monde.
L’appréciation du fond des litiges leurs étant attribués via d'organisations régionales à l’image de celle en Afrique Australe sur le Zimbabwe « SADC », de l’U-A...
À tout un chacun de juger du niveau d'efficacité, de sacrifice etc...

Cette différenciation d’approche intimement liée au dépit est fort observable dans le traitement des conflits en Occident "Géorgie-Russie" et ceux d’Afrique "tel la Mauritanie".
Dans le conflit Russo-géorgien, les acteurs internationaux toujours marqués d’intérêts multiples et divers, d'une voix unanime n'ont pas entendu laisser menacer par les forces Russes "sous bannière onusienne" les institutions démocratiquement établies en Géorgie.
Et ce par le renversement du président Géorgien en outre accusé de tous les maux "agresseur, mégalo etc..." par les Russes qui en vertu du droit de veto qu’ils détiennent au sein de l’organisation garante de la paix, de l’ordre etc… de part le monde "ONU", bloquent toutes décisions contraire à leur desiderata et en l'espèce sur la Géorgie.

L’Etat Géorgien bien que n’étant pas partie d’organisations internationales et régionales (U-E, OTAN) des acteurs influents, à pu néanmoins compter sur un soutien fraternel et sans faille, marqué de déplacements sur son territoire d’acteurs politiques influents de ce monde "Sarkozy : France, Merkel : Allemagne, Condelezza Rice : Usa etc…" qui en ont profité pour lancer d’une voix solennelle et uniforme "sincère" des menaces directes bien au-delà de simples résolutions, verbiages à effets coercitifs, ayant eu le mérite de freiner l’ardeur Russe.
Tant celles-ci ne semblaient pas empreintes de duperies...

A l’inverse, prenant le chemin de l’ironie ambiante en ce qui concerne l'Afrique, le cas Mauritanien marqué par une agression déstabilisante des institutions démocratiquement établies lire là dessus 07/08/08 avec le concours des armes; Les acteurs internationaux influents s'y confondent en menaces à portée limitée, à l'effectivité passive, verbiages solennels.

Aussi stigmatisant que cela puisse être, une certaine interprétation peut conduire à s'interroger sur le sens du respect des institutions démocratiques chez l'africain, sur la nécessité d'implication...
Au regard des considérations et distinctions dans l'engouement dont est objet l'Afrique, ce qui soutiendrait l'évidence que l'on ne s'encombre pas des faits d'attardés...

Les acteurs influents seraient-ils partie à cette transgression des règles qu'ils édictent
Il n’est en effet requis "imposé" des forces déstabilisatrices "Putschistes" un retour à la légalité.
Tout au plus il est sollicité d'eux la cessation de la captivité du président déchu; Sans que menace concrète leurs pendent sous le nez à l'image des forces russes en Géorgie.

Bien que ce pays à l’instar de la Géorgie ne fasse pas partie des instances internationales et régionales des influents de ce monde, la perceptibilité de l’approche des crises laisse perplexe quand bien même les sources seraient différentes.
Il n’en reste pas moins que le fond reste sensiblement le même : menace à l’encontre des institutions démocratiques établies, à la stabilité d’un pays tiers membre de l’ONU avec de plausibles conséquences régionales...

De ce point de vue, l’Afrique serait victime d’un défaut de fraternalisme de paix humaine reflétant assurément une inéquité, certainement justifiable de la nuisibilité et autres inefficacités de ses peuples à s’insérer dans les règles du modernisme.
A en croire comme le soutenait le président Sarkozy dans un discours retentissant à Dakar (Sénégal) que les africains ne sont pas assez ancrés dans l'histoire...
Ce qui justifierait peut être l'impartialité dont-ils sont objets au quotidien...

L’enfant ne peut éternellement être sous la couverture parentale, encore que dans le cas de l'Afrique, l’occident n’a été qu’un temps protecteur de sa domination et de loin le géniteur de ce continent et de toutes les incapacités qui y règnent, qui y fulminent.

Autrement dit, et en guise de conclusion, l'on a la place que l'on mérite, celle que l'on choisit, celle dans laquelle l'on s'enferme etc...
Et cela est le fait de volonté individuelle, communautaire etc...

La nuisibilité se pointe toujours en revers des souffrances, alors souffrez que les occidentaux s'en écartent...



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LES CONSÉQUENCES DES MAUX AFRICAINS.


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