AMOUR INDEFECTIBLE DE L’AFRIQUE
Excellence préventive !!!!!! le 10/04/08
Comme le souligne une tactique de renom bien connue des militaires, en cas d’enlisement la meilleure défense c’est l’attaque ; cette approche trouve un fort écho en des situations similaires en politique avec cependant une subtilité des plus redoutable dans l’initiative.
La société mondiale majoritairement organisée sous la forme d’institutions démocratiques à variable multiples développées par les uns et imposées à d’autres en soutien de l’état d’avancement de leurs sociétés jugées impropres à la satisfaction du bien être général, aux garanties égalitaires et autres principes énoncés sous le couvert de l’universalité…
Tel le médecin soucieux de la non prolifération d’une épidémie, il est établi, mis en œuvre des mesures de mise en quarantaine à l’encontre de l’Afrique fortement frappée par le virus de la cherté du coût de la vie (manifestation au Maghreb, Afrique subsaharien&hellip
et prodigué/imposé des traitements que l’on pourrait comparaître à des remèdes de cheval (suppression des taxes à l’importation, intervention Etatique dans l’économie dit de marché&hellip
n’ayant d’autre objet qu’une initiative d’attaque préventive face au désastre en filigrane attaché à l’échec des institutions importées…
En effet tel le patient attaché à son médecin pour sa guérison, l’élève au maître pour son instruction, le faible au fort pour sa protection, il apparaît que les africains s’en remettrons aux concepteurs de leurs institutions malades, chercherons son instruction, sa protection et pour une grande majorité l’émigration chez le mentor…
Situation des plus difficiles au vu des aspirations nouvelles du mentor ; l’ère de la grandeur n’étant plus au goût du jour (lire point de vue), mais plutôt celle de la concentration autour des racines/valeurs culturelles (U-E) il est de pragmatisme local de se prémunir des conséquences de ses échecs.
Voilà que, l’un des plus grand colonisateur d’antan d’Afrique (certains pays) qui du haut de son trône joue allégrement de la confusion dans l’expression sur ses relations avec ces anciennes possessions africaines, arguant gaillardement de relation avec l’Afrique !!!!!!
Ce grand (France) faisant face lui aussi à des difficultés aux conséquences de loin similaire à ceux d’Afrique, contesté dans sa domination sur ce qui fut un temps sa chasse gardé en toute sorte par des pays émergents Chine, Inde, Russie, USA et d’autres en quête d’émergence Ukraine..., se met en finesse à flatter ces liens fraternels qui lui sont tant chers et qui ne pourront que se retourner contre lui au vu de la crise qui se profile…
C’est ainsi qu’il aurait été fait un geste en soutien aux dits liens par la mise à l’écart de ses pourfendeurs (J.M Bockel qui voulu y mettre fin via le secrétariat d’Etat à la coopération) et donc la contrepartie nous sembles des plus évidente :
L’assistanat face au virus actuel, au risque d’implosion et d’émigration massive.
À cet égard le nouveau monsieur Afrique du grand ami, Alain Joyandet entame une visite du continent sous le signe de l’explication de méthodes pour faire face et dans une certaine mesure remédier aux facteurs de crises.
Visite en parallèle d’initiatives internationales (Mission du FMI, Banque mondiale...).
Eh oui les africains ne sont pas dépositaires de leur gouvernance et très certainement incapables de s’accommoder aux règles et autres principes d’universalité…
Le confinement est en route, en échanges d’accords sous-tendus d'occultisme une partie des Etats africains (Gabon, Libye, Bénin, Congo-Brazaville, Sénégal, Algérie&hellip
s’engagent à accueillir via la construction de structures adéquates les immigrés expulsés et refoulés…
Alain Jouyandet s'est rendu dans ce cadre parachever un accord en date du 5 juillet 2007, ratifié en ce jour avec le Gabon qui s'engage à accueillir les expulsés/refoulés des pays tiers sur son territoire.
Trois accords similaires, toujours pas ratifiés, ont été négociés avec le Bénin, le Congo-Brazzaville et le Sénégal.
La réciprocité n'étant de principe qu'un pur formalisme de genre.
À chacun son malheur…