La république sud africain un des fleurons industriels du continent africain et fierté de réussite du décolonialisme où l’expression démocratique a conduit à la suite d’élection présidentielle universelle le pays à se doter d'un gouvernement à dominance négro-africaine.

Après des décennies de gouvernance européenne (frange de la population) ayant jeter les bases de l’industrialisation de ce pays.

Le suffrage universel s’exprima en la faveur du parti politique ANC, sous la direction d’alors du célèbre homme politique Nelson Mandela.

Dans le cadre de la procédure de passation du témoin des affaires nationales, le pourvoir blanc d’époque transmis au nouveaux dirigeants en plus des clefs de la gestion publique, les chantiers d’investissements à venir « au regard de la croissance démographique et ses résultantes sur la consommation avenir … » qu'il ne pouvait plus officiellement exécuter vu l'expression démocratique.

De ceux -ci figuraient des investissements colossaux dans le secteur de l’électricité (construction de centrales électriques et autres) évoqués comme chantier prioritaire…

Le président Mandela a qui il fut remis les rênes de l’état, dans un souci de marquer son passage aux affaires d'une situation comptable et financière positive, ne souhaita pas se lancer dans lesdits investissements en ce qu'ils auraient alourdi l'endettement public.

Laissant ainsi à ces successeurs (issu de sa formation politique et ayant majoritairement gouvernés avec lui) le soin de faire face à ses problèmes d’avenir (dossiers en suspend)….

Ces derniers n'ont cependant pas poursuivis les mesures d’investissements en la matière de sorte que, plus de 10ans après la prise de pouvoir par la majorité populaire (ANC), ce fleuron de l’économie africaine se trouve en perte de croissance.

Le pays est entré dans une ère du rationnement de l'énergie électrique dont l’une des conséquences directe contraint des grandes entreprises (GLODS FIELS… à forte main d’œuvre ouvrière, à réduire leur niveau d’activité menant à la fermeture de sites d'exploitations et à accroître le taux de chômage loin d'être l'un des plus bas d'Afrique.

Rattrapé par ses égarements, le gouvernement n’a de cesse depuis lors de se confondre en excuse tout en expliquant que la situation sur le terrain ne saurait retrouver la normale au mieux qu’aux environs de la période 2010-2012.

Les pessimistes et optimistes de tout horizon en la matière se font fort peu bavards sur l’échiquier mondial, certainement en raison du statut de cet Etat... ou de stratégies de visées occultes…

Il n’en reste pas moins que l’on est en droit de s’interroger sur la capacité des africains à se saisir des défis qui gouvernent leur existence au quotidien.

L’auteur de ce résumé vous interpelle sur la capacité de l’africain à se saisir des règles de gouvernances… qui se sont imposées à lui et sont de loin le fruit de son génie ??? ??? ???
Génie que l’on ne saurait dénuer à tout homme…