Par Joseph TAPA

ABERRATIONS DU CONTINENT AFRICAIN

Il n’est question de vilipender, insulter etc… qui ce soi.

 

 

Réformes nécessitées du salut des ententes africaines !

le 28 septembre 15
           
La particularité de toute forme d'entente au regroupement, que cette entente soit constituée de personnes physiques ou morales, érigée en association ou institution ou organisation, etc.,

est de s'inscrire à poursuivre un but (d'intérêts divers pouvant l'être cumulativement économique, sociale, politique, etc.) au bénéfice de ses membres (constituant) avec l'inévitable concours de ses membres dans la matérialisation des objectifs concourant au(x) but(s) poursuivi(s).

 

De pratique, sous l'escompte d'efficacité et de rapidité d'action de la forme choisie de regroupement, s'est développé une architecture gestionnaire et administrative à multiples facettes de la représentation de la forme d'entente par des personnes de principe en aptitude à cet effet.

 

La particularité conjuguée à la pratique de représentation en ce qui concerne les ententes internationales africaines, au premier plan la plus symbolique et motrice qu'est l'Union Africaine (U-A), se révèlent d'effets n'être pas en adéquation avec l'essence des concepts (regroupement, gestion et administration), et partant là, participent à ternir de sincérité les actions et aptitudes africaines dans la manifestation par eux prédéfinis des buts poursuivis par leur forme d'entente.

 

L'indécence dans la particularité des ententes supranationales africaines, notamment l'U-A, en est -de risible- le recours constant et permanent (incessant et incommensurable) en financements étrangers à toute mise en pratique (étude, formalisation) à quelconques actions courantes ou exceptionnelles y compris du traitement (rémunération) de son personnel. Ce que révèle le financement évolutif sur la période 2015 à pas moins de 95% de l'U-A, 77% en 2014, par des fonds en provenance de l'Union Européenne (Part léonine d'au bas mot 80%) les Usa, La Chine et la Turquie. Quand bien même l'U-A regroupe en son sein la quasi-totalité des Etats membres d'Afrique soit 54/55*. En somme d'entente, les membres de l'U-A poursuivraient -d'indicibles- des buts auxquels ils ne sont pas en mesure de faire face (la forme de regroupement ne pouvant compter sur ses membres) ! Autrement, de simple perception, cette forme d'entente n'est guère au service de ses Etats membres dont-elle ne dépend pas et in fine au loin au service des populations constituantes ses Etats membres.

 

L'ignoble dans la pratique de la représentation des ententes supranationales africaines, en premier lieu l'U-A, en est -de fumisterie- dans le recours à un personnel de premier plan (hauts cadres, ordonnateurs, etc.) pour l'essentiel frappé de disgrâce dans leur pays de rattachement (anciens putschistes, Pierre Buyoya du Burundi, Sékouba Konaté de Guinée-Conakry, etc.) ou encore disqualifié pour limitation de compétences (essoufflement, dépassement, etc…) quand ce n'est pas tout bonnement la suite en conséquence d'effet de sénescence rutilant chez les retraités d'âges avancés. En somme d'entente, la constitution du personnel -de malheureux- s'inscrit plus dans la voie du recasement des personnes qui ne seraient plus (gentiment peu) nécessaire à leurs propres territoires ! Autrement, de simple perception, cette pratique du recours -en personnel- aux esprits disqualifiés et fatigués, concrétise une autre forme de mesquinerie à l'affaiblissement de la forme de regroupement et surtout poursuit subrepticement une infecte dépendance aux Etats membres dont la particularité n'est en soi honorable !

 

Les institutions africaines pour l'espérance qu'elles puissent inspirer dignité et orgueil mérités au resplendissement en fierté africaine : elles doivent se dépoussiérer de la dépendance aux Etats tant en matière de financements auxquels devrait se substituer une allocation directe en provenance des populations africaines (acquittement d'une taxe en contrepartie d'avantages diverses), que dans la constitution de son personnel et sa représentation se devant d'être délestés d'acteurs d'autres époques (esprit de colonisé) et politiques ayant trempé dans la gouvernance des Etats.

 

Tel que cela l'est actuellement constitué, du particularisme à la pratique représentative en vogue au sein des ententes africaines et notamment d'admirable application à l'U-A et reproduit au travers de ses démembrements calques (CEDEAO, CEMAC, SADC, etc.), il se dégage menace certaine à l'essor de l'Afrique qui en impose des reformes de fond.

 

Joseph TAPA                                                                   Ü     Retour accueil

* Le Sahara occidental n'est pas reconnu internationalement ce qui aurait eu pour conséquence de porter à 55 le nombre d'Etats en Afrique, et le Maroc n'est plus membre de l'U-A depuis la reconnaissance africaine du Sahara occidental qu'il annexe.

L'éducation chez l'Africain ancrée de tare à l'évolution sociétaire africaine !!!!!!
le 24 juillet 2015

Les personnes issues des milieux modestes voire pauvres, de part l'éducation trop souvent limitée à étriquée tirée pour l'essentiel au fait que

l'on peut recevoir à cet égard que ce dont sont dotés les ascendants, du déficit d'éducation volontairement entretenu par le modèle organisationnel sociétal qui fait la part belle à la dépendance étrangère, sont constituées en masse à n'être que d'éternel ravies serf à participer plus ou moins à la consommation et qui plus est de ce qui n'est fruit de leur environnement !!!!!

Incrustée est-il dans leur perception de la vie l'impossibilité à elles de s'impliquer d'innovation. Ce qui au demeurant ne sera soutenue par les structures dépendantes des vues étrangères des institutions locales, à la construction de leur société. Bien au contraire, d'un pervers service à la dépendance étrangère, le rêve de meilleur à l'étranger constituant des masses de migrants détournent ces populations jeunes et actives du profond de désespoir à l'effet de fomenter une ravageuse incontrôlable colère à détruire les mécaniques institutionnelles locales installées et au service des vues étrangères. D'un trait d'observation : Il ne sera réellement, dans le contexte mondial d'approvisionnement en Afrique de biens dont les Africains ne peuvent exploiter (la nature ayant horreur du vide), mis en place des mesures visant à lutter efficacement contre l'émigration africaine. Car celle-ci, émigration africaine, sert fortement par l'espérance d'ailleurs les causes de l'étranger dominant par le maintient en place des mécaniques par lui installé en Afrique.

Les personnes issues des milieux dit de classes moyennes à riches, pour certaines (minorité) à l'éducation étoffée quand celle-ci l'est sincère, qu'elles soient établies en Afrique ou pas, de l'élan négatif ambiant africain, elles ne participent qu'à la consommation à outrance et sauvageonne des réalisations étrangères à l'Afrique.


Tout sursaut d'activisme chez ces personnes se déploie essentiellement qu'en accompagnement d'activité étrangère, et plus hargneusement qu'à tirer profit des structures prédisposées et autres allocations de l'étranger à Afrique.

Ainsi l'éducation en Afrique, actuelle, ne s'évertue point à doper la jeunesse à s'intéresser à développer leur environnement. Soit elle ne rêve que de s'y extirper ! Soit elle n'y entend que contrepartie de positionnement social !

En somme, la jeunesse africaine, pour peu qu'on puisse lui reconnaître d'africain autres chose que la couleur de peau, est éduquée à caractériser la défaite de la représentation africaine de par ce monde, à la suite des faiblesses psychologiques des ascendants qui livrèrent l'Afrique aux étrangers.

Quand tout un peuple n'exprime de fierté qu'à s'aligner à ce que d'autres réalisent, l'extinction d'une composante de l'humanité se trouve ainsi programmée !

Si le mal peut en guérir du mal...ce n'est de qui porte à autrui le mal que la mal doit être en retour porté, mais à qui subit le mal !

La philosophie est une vue d'esprit et de loin une guérison en soi...

Difficile serait de changer l'Africain avec des moyens différents que ceux l'ayant conditionné...

À l'impossible l'homme est tenu d'essayer à s'offrir une chance de victoire...

Joseph TAPA                                                                       Ü     Retour accueil


 

Les Africains et leur destin…

le 14 juin 15

Voilà une affaire dite des migrants venus d'Afrique aux frontières européennes qui pose de véritable cas de conscience.

Il ne saurait être raisonnable que des actes des uns (États africains par excellence) se doivent de trouver solution auprès/par d'autres (non africains par excellence).

 

Il ne saurait être convenable que des personnes (africains) s'imaginent qu'il revient à d'autres (non africain) d'avoir à s'ouvrir à eux et voire les entretenir.

 

UN FAIT INDÉNIABLE EST QUE L'EUROPE SUBIT AINSI LE REVERS DE SON INTRUSION SAUVAGEONNE À DÉSTABILISATRICE EN AFRIQUE, POURSUIVIE DE DANS LE QUOTIDIEN DES AFFAIRES AFRICAINES. Mais la réponse/réaction par la migration même si de loin étouffante grandit-elle pour autant la représentation africaine !?

 

N'est-il pas existant et à la portée africaine d'autres moyens plus sévère de punition à la brutalité politicienne européenne en Afrique !? La superbe sociétaire européenne (halo de meilleur) se bâtit en grande partie avec le concours effréné des leaders des États d'Afrique et de la tacite acceptation pour ce faire de la majorité d'Africains.

 

L'espoir Africain…

 

Quel sens porter ou donner à la notion d'indépendance chez l'Africain, si à quelconque situation voire contexte politique : Il recourt de toujours à l'appréciation et adhésion d'étranger et anciennement colon occidental de préférence sans en méconnaître la nouvelle addiction asiatique ?

 

La colonisation (certes destruction psychologique) est-elle synonyme d'inféodation éternelle ?

 

Où tout bonnement l'Africain d'incapacité (inoculée/révérée?) ne saurait voire ne voudrait s'en défaire ?

 

Joseph TAPA                                                                       Ü     Retour accueil


 

L'Algérie trahie-t-elle la cause africaine pour laquelle elle s'est de passé illustrée dignement !

le 19 mai 15

 

Il un fait que l'État français ne s'oserait pas à déstabiliser, directement, comme elle le fait ailleurs en Afrique en assurance de pérennité de son influence (grenier en tout genre) ancrée des colonisations, l'Algérie dont-il -de revers machiavélique- soutien l'emprise de la destinée de ce territoire d'Afrique par des félons. Et ce, non pas en raison de la douleur de la guerre d'indépendance que lui infligea chèrement le vaillant peuple d'Algérie vent debout contre la duperie et l'injustice barbare d'alors directement subie, mais en crainte de retour de bâton en son propre intérieur par une frange de sa population malmenée ou proprement stigmatisée d'assimilation trompeuse au point de se revendiquer bien plus de l'Algérie et se disposer à porter le courroux réactionnaire pour le compte de ce territoire d'Afrique. Ce qui se vérifie par l'addiction de cette jeunesse française dite française d'origine ou immigrée de génération, à la moindre occasion de se draper du drapeau d'Algérie et semer la panique à quelconque joute concernant ce territoire d'Afrique.

 

Là réside une différence de taille d'avec les autres populations véritablement africaines (de nationalité) établies en France qui n'ont de souffrance que l'assimilation et la reconnaissance d'intégration parfaite française au point de piétiner allègrement leur origine dont-elles n'ont autre lutte d'espoir que de se débarrasser des identités africaines sous le brillant fallacieux de lendemain meilleur dans les pas étrangers.

 

Présentation qui de fait positionne de nouveau l'Algérie en aptitude de nuisance sincère à la domination sempiternelle de l'Afrique. Mais dont l'effet n'est aucunement visible dans l'essor de poursuite véritable des indépendances africaines. L'Algérie par méfait de capitaliser au bénéfice général de l'Afrique ne trahie-t-elle pas ainsi la cause africaine ! Le poids en serait-il trop lourd pour l'Algérie ?

 

Joseph TAPA                                                                       Ü     Retour accueil


Prémices d'un parcours viable à l'émergence africaine...

le 14 avril 15

Les sociétés humaines de toujours se sont construites, du connu de l'aube des temps, sous l'impulsion directive d'Hommes en qualité de leader, quelque en été le sens, à travers la participation à complicité collective et conjointe des populations.

Avec comme indéniable crucial d'évolution à avancée sociétaire et l'évolution du rayonnement de la représentation sociétaire, fusse t-elle de travers inconvenable -de modernité- d'étape successorale, par le nécessaire d'alternance des Hommes leaders dans la poursuite à implémenter des dynamiques complémentaires voire nouvelles et distinctes pour le compte des sociétés et la gloire de l'humanité.

 

Cet aspect de nécessiter dans la marche avancée des sociétés, marqué du crucial d'alternance sincère dans la conduite des destinées des nations, se positionne fortement comme le scrupulus (petit caillou nuisible) dans la marche africaine. Non seulement il est courant en Afrique de voir des territoires être dirigés à vie et sur des dizaines d'années par certains ou des formations politiques (feu Bongo I du Gabon, feu Mobutu de l'ex Zaïre, Biya du Cameroun, Nguema de Guinée Equatoriale, Santos d'Angola, Sassou du Congo, etc.), qui au demeurant ne se révèlent guère d'élogieux dirigeants soucieux du bien être des nations par des politiques mesurées et responsables ; Mais, d'une malsaine dépravation, la constante en est que si alternance subie, car très malheureusement imposée de l'étranger avec la complicité africaine, elle ne se réalise guère dans l'esquisse de novation ou changement réel et profond de politique et donc de dynamiques nouvelles voire complémentaires à l'embellissement des territoires d'Afrique.

 

L'exemple notoire et criard de désolation en est tout simplement qu'en plus d'une cinquantaine d'années dites d'indépendances et de souverainetés africaines, ces territoires d'Afrique en sont toujours régis par des préceptes et boniments hérités d'un passé soutenu communément douloureux ! À l'exemple unique, de courte durée d'à peine quatre années, du Burkina Faso de feu Thomas Sankara et d'une autre perceptibilité de de Feu Mouammar Kadhafi : Est-il ou s'est-il développé sur d'autres territoires d'Afrique des mécanismes de novation de la pratique politique -au bénéfice des populations- distincts des héritages coloniaux (soutenus douloureux!) ? Est-il dans cette lecture soutenable de dire que l'Afrique puisse à jamais évoluer quand elle révère à déifier les strates de son passé soutenu douloureux ?

 

Une des caractéristiques certaines de la marche en avancée évolutive de l'Afrique se trouve être de l'absolu à opérer concrètement et périodiquement des changements de leaders dans l'impulsion des dynamiques pour le salut des territoires et des nations. Pour ce faire, il devrait être inscrit dans la charte de l'emblématique représentation transnationale africaine (Union Africaine: U-A) à défaut être érigée une nouvelle représentation transnationale africaine sous conception (corpus) de : l'interdiction formelle de se maintenir au pouvoir au delà de quinze années (cumulative ou non cumulative) et cela à vie. Avec comme risque encouru par tout contrevenant d'être reclus sur son territoire, le territoire privé de commerce infra régional africain, le territoire privé d'investissements africains, les responsables politiques du territoire interdits de tout déplacement en Afrique sous peine d'arrestation et d'emprisonnement de facto.

 

Au terme de la quinzaine d'années pour un dirigeant ou toute formation politique ayant conservé et dévolu les candidats au pouvoir sur cette période : si l'élection est la norme de désignation des leaders et/ou des représentants nationaux, l'élection ne devrait concerner que les responsables de toutes autres formations politique que celle précédemment en poste.

 

Joseph TAPA                                                                        Ü     Retour accueil 

 


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