Du nécessaire toilettage à la rénovation africaine

le 07 octobre 2015

Quel(s) qualificatif(s) et crédibilité(s) accorder à cette marmaille de repenti(e)s, qui de revers de compromission existentielle d'avec des forces et puissances étrangères à l'Afrique -d'alors saluées de bienfaitrices-, enjambant de fuite et de mépris le cadre africain :

Qui se démène de déception de compromission à se revendiquer éprise de belle étincelle de la cause africaine !?

L'Afrique de ses combats à la refonte et novation de sa représentativité de par ce monde : se doivent-ils d'être portés à travers ce terreau fertile de revanchard-e-s au désespoir éprouvé dans les pas étrangers !?

Cette marmaille qui n'eut à cœur de se révéler qu'à ressembler et s'assimiler aux forces et puissances étrangères aux sociétés africaines : ne devrait-elle pas être disqualifiée à s'inscrire de premier plan -qui plus est- revendiquée par la marmaille- dans les luttes africaines (à défaut d'en être purement exclue en remerciement de préalable traîtrise) !?

Condition et nécessité du ré pré positionnement de l'Afrique

L'on pourra ergoter tant que possible sur la prééminence d'emploie de telle ou telle stratégie (moyens et capacités) à inscrire l'Afrique et l'Africain dans une novation représentative dans le concert des nations (l'humanité), toutefois, il se doit d'être pour acquis que cela ne saurait l'être (d'efficacité), comme cela l'est de tous temps, sans au préalable une autonomie africaine de la scène internationale et structurée de sine qua non par la maîtrise des capacités opérationnelles…

Ce qui en impose dès lors qu'à sortir l'Afrique et l'Africain des schémas actuels de dépendances tous azimuts tant vis à vis de la nature (richesses naturelles) que de l'assistance étrangère (financements par la consommation des richesses naturelles) ; et se conditionne (discutable ? -Non-) par la prospective de la brutalité tant idéologie que physique en l'endroit de l'Africain.

Il va s'en dire que du contexte mondial actuel -rapports de forces-, les tenants (cohorte de puissance) bénéficiaires des faiblesses africaines useront stratégiquement de la dissuasion dont-ils de fendent de domination pour contenir les acquis présents en dépit des revendications portées par les avancées sociétaires. Ce qui en somme ne laisse autre opportunité (de sincérité de perceptibilité à la reconnaissance par contre coup) à l'Afrique et l'Africain qu'à se sortir tout aussi violemment par toute cessation de participations immatérielles et matérielles à quelconque formes structurelles du schéma organisationnel mondial actuel.

La volonté politique en la matière en soi n'est que chose facile. Toutefois, cela impose une manifestation de la terreur à neutraliser les tenants d'attitude d'autruche et compères -baveux de périphériques et autres épiphénomènes- portés d'aversion à tout effort collectif au bénéfice de défier l'étranger.

Joseph TAPA                                                                           Ü  Accueil 


Afrique| Le mythe de la richesse au service de la destruction psychologique !

le 07 août 2015
          
Un virus très actif dans la neutralisation de l'engouement (l'incitation) au réalisable, a été implanté -de succès foudroyant- à l'abîme psychologique de la personne africaine.

Avec en complicité propagé (répandu) par de malfrats démagogues politicards africains -en errance-, s'adonnant à chantonner de chœur fumiste sur fond de populisme, à l'affaiblissant des masses populaires : l'Afrique est Riche !

Nombres de personnes d'Afrique se flattant d'orgueil de la représentation de l'Afrique de par l'actuel monde, n'ont de meilleur propos que d'asséner avec force à visée persuasive que l'Afrique est Riche !

Refrain allègrement repris en cœur de la désolation, par nombres de potiches aspirant ainsi à s'esquiver (se dédouaner) de responsabilité, quant aux représentations misérables des territoires et des populations d'Afrique !

Refrain galvanisant les populations à s'attendre tout bonnement à ce que la richesse africaine tant serinée illumine leur quotidien…soutenant ainsi -de perversion- un certain rejet à l'engouement d'emprise sur leur environnement…qui peut se résumer de la sorte : à quoi bon se fatiguer à se compliquer la vie vu qu'on est riche !

Qu'est-ce de fond être riche si ce n'est posséder en abondance une valeur, une chose, un bien ! De cette représentation d'abondance soutenant l'idéologie actuelle de richesse, de quoi l'Afrique peut-elle se flatter d'intarissable pour s'imaginer s'offrir le luxe d'avoir à cesser tout effort : Rien, Que dalle pour paraphraser l'addiction étrangère africaine…même la terre finie par perdre de sa fertilité !

Qu'en est-il de la soutenue richesse africaine et sa représentativité en consistance de par ce monde !

Par richesse africaine, les Africains s'entendent à évoquer les produits du sol et du sous-sol des terres d'Afrique. Les produits du sol soutenus de richesse africaine se caractérisent essentiellement par des plants (Cultures vivrières: café cacao, ananas, pomme de terre, banane, arachide, etc. ; Forêt: bois valorisés, etc.) pour majorité (quasi-totalité) importés et implantés en Afrique, sans en être exclusif à l'Afrique, par l'entreprise européenne à son utilité première de consommation. Les produits du sous-sol soutenus de richesse africaine se caractérisent essentiellement par des biens fossiles (Minerais: bauxite, cobalt, uranium, etc. ; Énergétique: gaz, pétrole, etc.) qui pour majorité (quasi-totalité) ont été découverts et exploités (extraction, traitement, consommation, etc.), sans en être exclusif à l'Afrique, par l'entreprise européenne à son utilité première de consommation.

En somme, les tenants de la soutenue richesse africaine ne sont l'œuvre des Africains… Ce qui psychologiquement force (impose) à ne pas avoir la prétention de se prévaloir riche de ce qui n'est sien (de soi ou de son fait), et qui plus est, sur lequel l'on ne détient aucune maîtrise !!!!!

En outre, la soutenue richesse africaine que certains malotrus veulent à faire croire qu'elle est incontournable voire indispensable pour l'économie mondiale actuelle. Gesticulants tels des saltimbanques, à soutenir la dépendance à l'endroit de l'Afrique des sociétés mondiales actuelles. Le contenu de cette prévalue richesse africaine, qui se retrouvent tout aussi en partie et en quantité grandiose sur d'autres territoires hors d'Afrique, non négligeable en soi sans en être dominant, favorisée par des considérations politiques et économiques (proximité géographique, antécédent coloniaux, coût d'exploitation, etc.), le contenue de cette assertion de richesse ne représente d'ensemble qu'une infime fraction des productions mondiales identiques : soit tout au plus 20%.

De bon sens, il paraît difficile de soutenir qu'en représentant 20% des productions mondiales, l'on puisse être incontournable, indispensable et voire en mesure de constituer une menace fatale. Qui plus est, à un système dont est redevable (dépendant) de rente de financement... Qui vous échappe de son élaboration à son contrôle.

Entretenir le mythe de la richesse africaine, en considération de l'absence de contrôle et d'initiative sur celle-ci des Africains, ne saurait que poursuivre voie d'affaiblissement et destruction psychologique (endormissement dont profite aisément les rusés tels les asiatiques s'engouffrant avec force dans cette fumisterie) de l'Africain. C'est autrement contenir l'Africain dans l'expectative d'observation à s'endormir d'attentisme sur des croyances fumistes. Tout en favorisant la démultiplication des tares à la paresse. Neutraliser l'incitation à l'initiative de conquête de richesse. Profondément nuire à la représentation de l'Afrique et l'Africain.

L'AFRIQUE N'EST PAS RICHE ! NON PLUS PAUVRE ! ELLE PEUT L'ÊTRE RICHE SI L'AFRICAIN LE VEUT BIEN A N'ÊTRE PAUVRE !

Joseph TAPA                                                                            Ü  Accueil


 

Réformes africaines envisageables à salutaires !!!

le 23 juin 15

 Soucieux de contribuer et définir un cadre à implémenter d'une efficacité recherchée, à l'amélioration de l'espace sociétaire et la représentation africaine, à des fins de gommer au mieux du possible les dérives qui s'érigent en obstruction a tant valeurs et mœurs que de qualité à l'édification de l'environnement social en Afrique.

Fort de cette quête, il vous est proposé en lecture non exhaustive ce qui suit.

 

Relative à la rénovation des mœurs


Dans le souci d'une revitalisation des mœurs et valeurs ; Reléguer la polygamie, la polyandrie, qu'aux personnes ayant atteint l'âge minimum de quarante ans révolu. Polygamie, polyandrie n'étant alors qu'ouverte qu'au bénéfice (qu'entre) de partenaires ayant au minimum l'âge de maturité retenue à la polygamie, polyandrie, soit 40 ans.

 

Le remariage en dessous de l'âge de maturité pour la polygamie, polyandrie, se devant d'être reconnu sous condition rédhibitoire de choc générationnel...

 

Limité (remariage) de principe à trois possibilités si pas frappé du décès d'un des conjoints...

 

Non ouvert (interdit) d'une troisième possibilité de remariage si des précédentes unions (naturelles comprises) il en est résulté au moins trois enfants.

 

Sur la possession terrienne

 

L'Afrique serait le continent de l'avenir…selon des vues étrangères qui miroitent s'offrir embellies économiques et sociétaires des faiblesses et lacunes resplendissantes et en vogues au sein de l'environnement africain ! La nature ayant horreur du vide…les Africains pris dans la nasse coûteuse du rattrapage à l'évolution sociétaire sous quête d'émergence : Loin de tout protectionnisme mais de participation africaine recherchée par la valorisation de leurs biens à contribuer à l'avancée sociétaire humaine, dominée actuellement par les vues étrangères ; Qu'en dites vous de ce qui suit et relatif à l'attrait des terres africaines…l'Afrique ne saurait être avenir si les intentions se s'y déploient pas et partant là l'appropriation des terres africaines…

 

1- Toute cession (vente) de terre africaine à personne non africaine (étranger), quelque soit le prix d'acquisition, impliquerait pour l'acquéreur (étranger acheteur/cessionnaire) la prise en charge, égale au minimum à la valeur cadastrale du bien acquis, de la formation universitaire décennale (dix années de bourses d'études et frais afférents) d'étudiants instruits dans le secteur d'activité escompté être mis en pratique sur la dite terre.

 

Si la cession est agricole, les étudiants bénéficiaires de bourse d'études devront à la sortie de leur formation poursuivre sur une période deux années au minimum des stages "locaux" conformément à leur niveau de formation acquise au sein de la dite activité d'exploitation terrienne du cessionnaire.

 

Le cédant (vendeur) africain devra acquitter, proportionnellement à la fortune de la famille, une taxe limitée à 15% du prix prélevée directement sur la vente de la terre au profit de la construction de logements et réalisations de programmes sociaux locaux.

 

La cession du bien terrien (terre) acquis par l'étranger non africain ne saurait l'être au bénéfice d'un autre étranger non africain.

 

Le non respect des dispositions précitées (ci-dessus) équivaudrait au terme d'un délai de grâce, d'une année afin de mise en conformité, à une dépossession pure et simple de toute propriété sur le dit du bien (terre) et ses fruits (productions diverses et aménagements) au profit de la collectivité locale de rattachement.

 

Toute location de terre africaine par un étranger non africain devra équivaloir à une affectation de taxation égale du prix global de la location dans sa durée, assorti de réévaluation indexée au coût de la vie, à la réalisation d'infrastructures d'aménagements environnementaux locaux…l'emploi au titre ou qualité de stagiaire pour une durée minimale de deux années d'étudiants en relation avec l'activité exploitée sur la terre louée restant redevable.


2- Toute cession de terre africaine à personne de nationalité africaine étrangère au pays de rattachement de la terre, quelque soit le prix d'acquisition, impliquerait pour l'acquéreur Africain un reversement de taxation d'au maximum 25% de la valeur cadastrale du bien acquis à la construction de logements et réalisations de programmes sociaux locaux.

 

Le cédant africain devra acquitter, proportionnellement à la fortune de la famille, une taxation limitée à 5% du prix prélevée directement sur la vente de la terre au profit de la construction de logements et réalisations de programmes sociaux locaux.

 

Le cessionnaire (acheteur) Africain en collaboration avec d'étranger non africain dans la mise en valeur des terres devra être saisi conformément aux dispositions régissant l'acquisition de terre par tout étranger non africain.

 

Toute location de terre par un Africain étranger au territoire de rattachement de la dite terre équivaudrait du locataire à une distribution d'au moins 50% de sa production localement.

 

L'exemple viendrait d'en haut dit-on communément

 

Toute personne, physique comme morale, qui bénéficie des finances publiques (traitement ou salaire, revenu ou financement de marchés publics, etc.) devrait à la collectivité une dette de reconnaissance par la participation en heure de travail, physique ou par personne répondante pour les personnes morales, à des tâches effectives d'aménagements des territoires pour une durée minimale de deux semaines annuellement.

 

La dette étant dû à chaque bénéfice des finances publiques. S'il advenait que la dette dû puisse, du cumul ou du bénéfice multiple d'activité publique, se porter à deux mois annuellement ; celle-ci se repartirait au sein de la famille du bénéficiaire dans la proportion initiale de deux semaines par membre.

 

Intérêt : De l'exemple des bénéficiaires des finances publiques, enraciner le participatif à l'aménagement sociétaire et bien plus de créativité...

 

Définition des espaces appropriées

 

Bannir l'héritage colonial d'accueil par le folklore de représentation culturelle de la danse aux aéroports à l'accueil des étrangers (furent-ils illustres).

 

L'évolution ne se poursuivant pas sans changement...

 

 L'efficacité sanctionnée de créativité

 

Tout responsable (ordonnateur, chef de service et adjoints) en plus de la compétence (instruction, savoir faire pratique), pour tout maintien supérieur à cinq années à son poste devra, devant une commission formée des administrés directement concernés, faire valoir une novation effective instiguée par lui, et non conforme aux aménagements prévus où s'imposant des choix publics, se rapportant (impactant positivement) à un minimum de 25% des personnes directement concernées par les fonctions à lui dévolu.

 

Intérêt : Susciter l'implication à l'amélioration sociétaire et étoffer de choix multiples l'initiative à l'expérimentation et le savoir faire.

 

Instigation des dynamiques à la créativité

 

Impliquer tout jeune de moins de trente ans à l'aménagement de son lieu de résidence (voirie, infrastructure, etc.) par une participation active ouvrant à une prise en charge partielle de frais de santé/déplacements/allègement de taxation sur activité économique familiale sous peine de service de voirie (récurage) dans les casernes pour une durée d'un mois.

 

Planification éducative

 

Dans le souci d'une implication parentale meilleure de qualité par des moyens appropriés à l'éducation et concours à l'instruction des descendances : Diminuer proportionnellement le salaire des travailleurs jusqu'à la radiation pour fonctionnaires et licenciement pour salariés, au delà de trois enfants légitimes ou naturels !

 

Planification instructive

 

Dans le giron des universités : Favoriser l'internat obligatoire dès le collège (sixième) avec l'instigation des ateliers pratiques de week-end ouverts aux questions scientifiques, sociales, sociétales, sociétaires et environnementales avec la collaboration des étudiants qui y verront de ce fait alléger proportionnellement leurs divers frais universitaires (inscription, hébergement, fournitures, etc.) en fonction des productivités.

 

L'absence de collaboration positive devant conduite de corollaire à de drastique augmentation des frais universitaires des étudiants.

 

Intérêt : Passerelle générationnelle, développement des dynamiques...

 

Joseph TAPA                                                                            Ü  Accueil


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