13/11/15

Burundi : L'international y rejoue
                sa carte africaine...

La crise entretenue (réchauffée) de et par l'international sur fond concomitant de privation de capacité de financements publics (obstacles divers à la rétribution de bénéfices fiscaux de l'accession aux marchés et obstacles à la sérénité quant à l'emprunt) et de double menaces tant sur la stabilité des institutions que de la sécurité du champ social burundais (guerre civile), à des fins -afin- d'inciter la terreur et l'éclosion du chaos, se révèle une fois de plus d'un scénario auquel les Africains n'ont de toujours pris la mesure d'y apporter une réponse adéquate. En dépit des nombreux sombres exemples obstacles à l'embellie africaine dont le plus récent n'est autre que la destruction de la belle Libye sous la houlette du Feu Kadhafi.

 

Le scénario réchauffé se décline de toujours en des actes perfides se déclinant de succession de prise de position aux mesures aberrantes illustré de ridicule soutien localisé et trop souvent malfamé.

 

Ainsi la France membre de l'Onu comme nombres d'autres pays et notamment ceux d'Afrique dont le Burundi, s'est-elle sentie devoir divin d'alarmer de ce qui devrait être le bien être au Burundi. La France qui a bien du mal à contenir la sécurité et le bien être aux populations de ses nombreux quartiers dits sensibles, avec comme rituel une constance quasi quotidienne d'assassinats à l'aveugle, peut-elle valablement l'être crédible à inciter des résolutions de pressions et d'interventions -armées- onusiennes dans des pays encourant des maux similaires à ce dont-elle n'en arrive pas à endiguer en interne française sans en appeler au demeurant à l'intervention onusienne ?

 

Le retentissant public soutien localisé à la perfidie en marche, contre le Burundi, se trouvant être d'aussi ridicule qu'il puisse l'être dans la représentation de l'Homme qui le porte, celui du président rwandais, Etat voisin du Burundi, Paul Kagamé dont le caractère malfamé portant un discrédit sévère à son soutien tient au fait que ce dernier ne cache pas sa volonté de modifier la norme fondamentale de son pays à des fins de s'ouvrir la présidence à vie. Kagamé entend-il peut-être prospérer en portant à l'échafaud des vues étrangères un de ses semblables...

 

De rappel, la dite crise au Burundi s'est ouverte quant à la lecture du texte de la constitution relative à la participation des protagonistes à la fonction de président de la république. La constitution Burundaise ne prévoyant pas que la fonction puisse être occupée plus de deux fois cumulativement dans la limite de dix années d'exercice de la fonction présidentielle. L'actuel président en exercice Pierre Nkurunziza, qui vient d'être réélu pour un deuxième et dernier mandat de cinq année, conformément au texte constitutionnel non modifié au demeurant, soulève la colère international au fait qu'il ait déjà eu à effectué deux mandats de cinq dont le tout premier sur désignation d'un collège représentatif de la nation ne répond pas à la règle constitutionnelle qui mentionne le passage par une élection universelle directe nationale.

 

Autrement c'est d'une divergence de lecture entre l'esprit et la lettre constitutionnelle burundaise que s'orchestre l'international à envenimer les tensions. Quand bien même l'élection présidentielle de 2015 fût elle entérinée (comme au Gabon de grande amitié française d'un certain Ali Bongo Ondimba fortement soupçonné de gravité d'avoir inverser les résultats électoraux en sa faveur -haute trahison au demeurant-). Le président Nkurunziza l'est entrée constitutionnellement en service (il est vrai qu'en Côte d'Ivoire, en 'ex président Gbagbo bien qu'ayant d'époque prêté serment selon le dispositif constitutionnel sanctionnant l'entrée dans l'exercice des fonctions présidentielles, celui fut par la suite mis aux arrêts avec le concours de l'international, et le processus d'entrée en exercice repris -bien pas prévu- en faveur de l'actuel président Ouattara).


Revient-il encore, l'ère des colonisations révolue sur le principe public, et alors à l'international d'avoir à dicter l'ordre de lecture et de compréhension aux masses africaines et qui plus dans l'organisation !?

 

Étonnant au demeurant que la France soucieuse de défendre l'expression du bien être qu'elle se représente dans cette partie du monde qu'est l'Afrique francophone, alors qu'elle en fut maître dominant des siècles durant, à l'héritage sociétaire pour le moins raté par ses bons soins, curieux que la France n'entende pas se draper de l'étoffe divine et porter des résolutions onusiennes contraignantes à l'endroit des Etats africains lui étant fidèle qui modifient leur constitution, notamment le Congo Brazzaville.

 

La France serait-elle en pestilence de savoir l'Africain sorti de ses sentiers battus ?

 

Joseph TAPA                                                                     Ü  Retour Accueil

 11/08/15

R.Centrafrique : Le néfaste constitutif du suffrage électoral en préparation...

Est-il convenable d'envisager construire l'avenir, bâtir un nouvel essor, d'une société empêtrée dans des difficultés intestinales de tous genres matériels et toutes sortes humaines, avec des personnes qui ont constitué l'errance et caractérisé les échecs minant de la dite société ? 


Le futur de l'Afrique ne devrait dès lors être entrevue avec la participation d'une frange de sa population fortement infime dans l'actuelle démographie africaine, si selon compréhension, le rejet (abjection) de telles personnes constituant l'errance et caractérisant l'échec s'impose à votre perception.

 

Ces personnes sont tout bonnement celles-là, des malotrus vieillards plus en verve à faire appel à l'assistance et secours étranger au mépris des populations locales, qui depuis plus d'une cinquantaine d'années s'approprient (avec la complicité étrangère frappée de docilité de serf) les hautes sphères de l'administration publique africaine : ces anciens présidents, ministres et autres haut commis de l'Etat qui n'ont qu'à coeur de se représenter (imaginer en dépit d'incarner l'échec) incontournable dans l'essor des nations africaines.

 

D'un récent exemple bien à propos, l'ancien aide de camp, François Bozizé Yangouvonda, du mégalomane despote s'étant couronné empereur de la Centrafrique territoire d'Afrique centrale, Jean Bédel Bokassa, arrivé lui aussi au pouvoir (plus haute marche administrative) comme son mentor Bokassa par les armes (coup d'Etat), avec la complicité étrangère, avant d'y être chassé à l'exil pour patent échec de la même sorte (voie des armes et complicité étrangère) ; Contrairement à son mentor, Bokassa, qui se résolu à taire sa malédiction dans l'exil et de s'abandonner aux tourments des voies et suppliantes religieuses ; Bozizé, exilé par la communauté internationale (héritière des problèmes par lui causé) en Ouganda (Afrique de l'Est), lui entend se porter à la course (concourir) à la future élection majeure (présidentielle) prévue pour ce tenir si possible dès le 18 Octobre 2015.

 

Cet autre patent acteur de la longue déchéance des années durant de la Centrafrique, qu'est Bozizé, non résolu pour le bien de la nation à se mettre en marge de la future rénovation et reconstruction au loin des malheurs induits par lui et toute une cohorte de paumés, n'en est pas le seul à pourrir l'espace public de ce territoire.

 

La plupart des candidats déclarés en sont de son acabit (malheur) : 

Anicet Goerges Dologuélé, né en 1957, ancien premier ministre (1999-2001).

 

Marie-Reine Hassen, née en 1954, ancienne épouse de Bokassa, ancienne ministre et comptable de l'ère Bozizé.

 

Fidèle Gouandjika, né en 1955, ancien ministre (2005-2011).

 

Général Xavier Sylvestre Yangongo, né en 1946, ancien ministre.

 

Jean Willibrio Sako, né en 1946, ancien ministre.

 

Martin Ziguélé, né en 1957, ancien premier ministre.

 

Jean-Barkès Gombe-Ketté, né en 1953, ancien maire de Bangui (2003-2011 sous Bozizé).

 

Charles Armel Doubane, né en 1966, ancien ministre.

 

Joseph Bendounga, né en 1954, ancien ministre.

 

Faustin Archange Touadéra, né en 1957, ancien premier ministre.

 

Francois Bozizé Yangouvounda, né en 1946, ancien président de la république (2003-2013).

 

Notez qu'à une exception près de cette liste, l'ensemble de ces colistiers sont nés avant la dite indépendance de ce pays, et sont donc par déduction des personnes sacrifiées de jeunesse de colonisé ! Ce qui expliquerait en partie l'amertume endurée depuis lors par ce territoire que ces laptots colonisés voudraient perdurer.

 

Cette marmaille du malheur listé ci-dessus, constitue la perdition ad vitam aeternam et caractérise l'échec indécrottable. Pour le bien de la Centrafrique, dont le jeu démocratique autorise cette marmaille du malheur à concourir, l'avenir pour peu qu'il puisse être envisagé radieux, ce territoire pour son salut recherché et possible à matérialiser, ne doit -plus- en aucun cas voir sa destinée être confiée à aucune personne de cette marmaille du malheur.

 

Peuples de Centrafrique libérez-vous des chaînes des suppôts des colons qui n'ont d'égal ardeur qu'à vouloir vous contenir en colonisation !

 

Joseph TAPA                                                                  Ü  Retour Accueil


 08/06/15

Cameroun : S'il ne fallait pas en douter de la qualité des gouvernants...ce serait qu'en complicité médiocre !!!
 
À officiellement seulement 82 ans dont plus de trente années de pouvoir arbitraire au Cameroun et de vassalisé à l'international, le président camerounais, de raccourci le dénommé Paul Biya, marqué de sénescence entravant la qualité humaine et la santé en tous points notamment psychologique, d'un sursaut de malice à la saveur fumeuse, entrepris d'un éveil douteux à s'imaginer marquer de sa pleutre personne le futur de ce pays par des réalisations coûteuses à l'obsolescence programmée à moyen terme (8 à 15 ans) ; Et caractérisant de véritable gouffre pour les finances publiques en étiage, conduisant le gouvernement à son image ectoplasmique à consciencieusement agir sous le sceau de la bêtise pour en arriver à faire face aux nombreuses nuisances attachées telles que innées et portées par le dénommé Biya.

 

En dépit du frontal conflit international entre les producteurs d'hydrocarbures (pétrole d'extraction traditionnelle et pétrole découlant du procédé d'extraction du gaz de schiste), dont les plus importants producteurs traditionalistes -aux finances publiques biens charnues- regroupés au sein de l'organisation OPEP, ont entendu maintenir haut leur capacité de production et fourniture journalière du marché international en brut de pétrole, afin de surproduction induire à la baisse des prix des dérivés du pétrole et en premier lieu celui de l'essence (fortement commercialisé). Et cela, marqués du souci de minimiser à contenir l'impact concurrentiel de l'exploitation onéreuse (80 dollars le baril contre 40 en moyenne pour l'exploitation traditionnelle) de l'extraction via le procédé du schiste en la rendant non rentable (ce qui se traduit par nombreuses faillites d'exploitations aux Usa, au Brésil, etc.). Le Cameroun à la production en baisse, bien que celle-ci à son meilleur niveau de quelques centaines de milliers (186 000) de barils par jour durant l'année 1985, fait figure de très petit poids voire insignifiant dans ce conflit entrepris par les grands producteurs de l'OPEP avec des millions de barils/jour et dont le Cameroun n'est pas membre ; le gouvernement camerounais dans une ambiance internationale défavorable, soutenue de la réduction drastique du cours de vente du baril de pétrole, a quant à lui décidé de l'augmentation sa production afin d'atteindre le cap de la centaine de milliers (100 000) de barils par jour. Et pour ce faire, décida la mise en exploitation de nouveaux puits (Dissoni, Iroko) et la réactivation d'exploitation de puits arrivée en maturité (Lokélé) par de nouveaux procédés.

 

Manifestement les comptes publics camerounais souffrent affreusement des lubies fatales du dénommé Biya, au point qu'il ne serait favorable pour le Cameroun de retenir à contenir sa production pour en escompter tirer partie de celle-ci dans de meilleure condition. Une fois le cours du baril de pétrole revenu à de meilleurs rendements d'exploitation, car volontairement bas par l'action de l'OPEP.

 

Face à une telle observation peut-il raisonnablement se soutenir qu'avec de tels acteurs (Biya et sa clique) que l'avenir du Cameroun s'inscrit-il dans le marbre de la félicité !?

 

Joseph TAPA                                                                   Ü  Retour Accueil 


25/05/15

Burundi : La dictature en salut probable !!!
 
Si la dictature accolée à l'actuel président Pierre Nkurunziza du territoire dénommé le Burundi pouvait valoir la cessation des actions prédatrices et intentions avilissantes des populations intentées de l'étranger, tel l'État de Belgique qui annonce la cessation envisagée "d'aides directes" à celui de ce territoire africain, si l'actuel président Nkurunziza -dont la candidature à la future élection présidentielle dans ce territoire fut accueillie dans la régularité des lois locales- advenait à poursuivre ses fonctions pour un troisième et dernier mandat de cinq années : Alors, de fond de futur meilleur au loin de paternalisme postcolonial, le soutien devrait être porté vigoureusement à cette voie de dictature !

 

Cependant de pratique coutumière faisant de toujours ces preuves en ce qui concerne l'Afrique et l'Africain (même moderne), il est de toujours profitable -pour l'étranger- de feindre porter assistance, secours, couver, et cetera de savamment dupeur, pour susciter l'émulation chez l'Africain à tout offrir en retour...

 

À CROIRE QUE DE L'ÉTAT D'ESPRIT EUROPÉEN (OCCIDENTAL) UNE AIDE PUISSE ÊTRE DÉSINTÉRESSÉE À ÊTRE SANS RETOUR ! Si l'État belge se veut précurseur européen dans ce qui est de la coopération d'avec l'Afrique et de la rénovation africaine : Qu'il se délaisse de l'intentionnel de flatterie politique et met un terme à la prédation organisée aux seuls profits des entreprises belges, et la soumission culturelle avilissante et déstabilisatrice du champ social local et nuisant à la vitalité des valeurs locales.

 

L'État belge le peut-il de se positionner comme précédemment énoncé ? N'en doutons pas que la flatterie politique de se porter au secours de ses populations africaines aura des retombées économiques sévères pour les populations locales !

 

Joseph TAPA                                                                     Ü  Retour Accueil 



16/04/15

Afrique du Sud : Qu'arrivera t-il de responsabilité à l'État ?
 
Est-il un doute que si les ressortissants noirs, de la république dite d'Afrique du Sud, s'en étaient pris, avec la complicité d'autorité autochtone tel le chef Zulu d'une importante tribu locale, aussi violemment et sauvagement que cela se dévoilent à nouveau depuis peu, à l'encontre des ressortissants blancs de cette même république et voire d'autres y vivant de travail et autres (pourchassés, assassinés et biens détruits) ; est-il un doute que la communauté internationale (africaine comprise à l'instar de la solidarité étatique d'avec les événements malheureux en France saisis sous l'évocation d'attentat de Charlie Hebdo) se serait à l'unisson insurgée et proférée des menaces de sanctions graduelles (économiques, politiques, militaires) à l'endroit de l'État d'Afrique du Sud en qualité de responsable fautif d'incompétence malsaine !?

 

Toutefois, la barbarie qui prend de l'ampleur dans cette contrée africaine l'est à l'endroit exclusive des ressortissants d'autres territoires d'Afrique et particulièrement leurs ressortissants Noirs. La communauté internationale se réjouira certainement de révéler que le contexte est propre à l'Afrique...qui au demeurant dispose à cet effet d'institutions souveraines à l'instar de l'Union Africaine (U-A) déjà financée généreusement et substantiellement par elle.

 

Est-il d'un autre doute envisageable que l'U-A, sous la responsabilité administrative d'une des conquêtes amoureuse du président Sud africain dont elle porte le nom, Nkosazana Dlamini-Zuma, puisse entreprendre la nécessité de sanctions graduelles à l'endroit de l'État d'Afrique du Sud !? Et partant là faire démissionner à défaut de propre initiative, Dlamini-Zuma de la représentation majeure africaine (U-A) dont les populations majoritaires de son territoire de rattachement n'honorent pas l'esprit du vivre ensemble africain mis en avant par le symbole d'unité de l'institution dont-il lui fut à elle dévolue la responsabilité de veille à la cohérence des nations dans l'élan d'unité !?

 

La qualité de géant économique africain, allez savoir ce dont les autres territoires africains en tirent grandement de profit, de la dite république d'Afrique du Sud, suffit-elle à piétiner la dignité humaine au point où s'en accommoder d'absence de sanction internationale serait d'un relatif mineur !?

 

Est-il un doute que la communauté internationale qui déclenche à souhait et stratégique visée la cours pénale internationale (CPI), trouvera en la matière que la justice d'Afrique du Sud est d'une compétence suffisante !? Il reviendrait ainsi à l'État bourreau d'avoir à expier de lui même ses fautes !

 

De belle constatation, car nul doute qu'au delà de l'émoi diplomatique (sanction morale) il n'en sera autres faits, resplendit le sentiment qu'en ce qui concerne les Noirs on finit toujours pas oublier...alors à quoi bon s'alarmer au point de sanctionner. Belle observation de la partition africaine dans l'ordre international.

 

Joseph TAPA                                        Ü  Retour Accueil   

 

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