toutes sortes avec des puissances économiques étrangères et notamment occidentales. Ceci l'étant plus sous le poids et la considération des liens socioculturels et autres formes des dominations embellies par l'incessante -imperturbable- dépendance consommatrice africaine.
Pas dès lors surprenant en soi que pour nombres d'Africains (majorité) le concept de développement, par l'exposé et voie de la coopération, s'irise d'instigation voire à la matérialisation s'identifie de mécanique de recours à l'étranger non Africain. Dans l'apothéose d'une spirale de dépendance certaine. Ceci au fort mépris de la forme de coopération dite Sud Sud (entre africain qui plus est), reléguée d'infime portion congrue à la périphérie des capacitaires africaines. Déniant de facto, toute éclosion de nature à formuler d'indépendance une quelconque voie prospère de développement propre à l'Afrique.
D'exemple parlant visant à étayer ce postulat ci-dessus mis en exergue, ne serait-ce d'édifiant la perception d'attitude de deux économies pétrolières de renommées africaines que sont celles de L'Angola et du Nigeria. Secouées toutes les deux de difficultés grandissantes en raison de leur grande dépendance en capacités financements (budgets) et recettes fiscales du baril du pétrole au prix en chute libre sans avoir bonne visibilité d'avenir.
Pour ce qui est de l'Angola: Le gouvernement local qui tire 70% de ses recettes fiscales et 95% de ces recettes d'exportation du pétrole, en quête de résorption du drame en vue des comptes publics en étiage, s'en est remis à de recourir à une forme d'emprunt étranger (excluant directement les Africains) sous la forme d'émission d'obligation dénommée ou dite eurobond. D'un montant avoisinant les 1.5 milliards de dollars, au taux de 9.5% (rendement) pour une maturité de 10 ans (terme de l'emprunt ou date de remboursement avec douillet intérêt). Pour la réalisation à succès de ce sournois emprunt (eurobond) sclérosé de dépendance farfelue au vue des capacités financières et bonne santé des institutions africaines compétentes, le gouvernement angolais, de concordance indubitable, en a confié la collecte (mandaté) à des établissements banquiers occidentaux et asiatique (Goldman Sachs, Deutsche Bank et Industrial and Commercial Bank of China).
Pour ce qui est du Nigeria: Premier producteur de pétrole du continent africain avec de faible capacité de raffinage (transformation), ce qui a pour mérite de l'incroyable en outre à contraindre la première économie africaine à l'être entièrement dépendante des importations (outre Afrique) d'essence pour sa consommation (quasi-totalité) estimée à 40 millions de litres jours. Le gouvernement local tout aussi impacté par l'étiage drastique des comptes publics, asséchés de la vertigineuse baisse des revenues tirées des recettes pétrolières, se voit confronté à réguler ses interventions sous la forme de subvention d'Etat injectée dans son économie. Ainsi il a été annoncé le déblocage de pas moins de 1.88 milliards d'euros au titre d'assistance subventionnelle au prix de vente local de l'essence, acquis de l'étranger. Participation à la subvention du prix de l'essence au demeurant revue considérablement à la baisse de l'ordre de 90%.
De stupéfiant, voila deux économies majeures africaines (subsahariennes) confrontées à une identique difficulté structurée de revers de la chute libre du prix de leur principale ressource fiscale, qu'est la revente du pétrole brut, sans en être marquées et impactées des mêmes difficultés pressantes, qui s'évitent soigneusement à mutuellement se soutenir -au profit dépendance étrangère-. Ce faisant, n'entendent point porter une résonance salutaire et un bénéfique écho au concept de coopération Sud Sud nécessaire (conditionnelle d'indépendance) à l'emprise locale sur le développement.
Le chemin de la clairvoyance en Afrique n'aurait pour encore combien de temps de sens éloigné de la contre-productive dépendance étrangère !!!! Joseph TAPA Ü Retour Accueil
La logique en vue -répandue- au sein du monde politicien, est que SEUL LA CONVERGENCE D'INTÉRÊTS SUSCITE ET ENTRETIENNE DES AMITIÉS AUTANT QUE PERSISTE L'INTÉRÊT. Se recrute du corps des politiciens majoritairement l'essentiel des cadres et dirigeants des institutions des sociétés actuelles, à l'instar de la plus emblématique qu'est l'État. Ce qui aurait pour conséquence première la transposition, de parallélisme de forme, de la teneur d'esprit des politiciens dans la conduite des affaires publiques, et dont induire de prédominant de la convergence d'intérêts dans la réalisation d'actions communes et collectives de plusieurs États.
Une autre formulation en est découlée de cette approche de logique politicienne, et qui s'analyse par : RIEN N'EST À FAIRE POUR RIEN OU SANS L'ESCOMPTE PRÉALABLE D'UN RETOUR MEILLEUR.
L'effet conjugué de cette vue et formulation politicienne précitée, s'envisagerait en ce que l'entente entre politiciens n'a d'intérêt qu'au préalable d'existence d'un retour profitable ! Cette mise en exergue entrevue : la laborieuse et houleuse entente au sein de l'institution supranationale majeure européenne (Union Européenne: U-E) à se répartir d'implantation territoriale quantité des migrants/réfugiés d'Afrique et Moyen Orient, ne serait la simple conséquence d'une exceptionnelle compassion humanitaire.
Il est tout simplement observable, de bons sens, que si les États d'Europe étaient soucieux d'accueillir à durée indéterminée sur leurs territoires des ressortissants venus d'ailleurs, pour quelconques causes ou raisons, ils auraient eu recours en largesse à la diplomatie du visas. Ce qui n'est et ne fut pas entrepris. À ce constat se met à jour des interpellations quant aux planifications envisagées suscitant l'intérêt européen au point de se diviser en interne quant à la répartition d'accueil des migrants/réfugiés.
Quel(s) serai(en)t donc d'existence la convergence d'intérêt entre les États d'Afrique et d'Europe à ce que l'Europe accueille celles et ceux qui n'étaient désirés ? En suite logique tout aussi à savoir ce qu'il en serait de retour au bénéfice de l'Europe au travers de son intérêt à l'accueil ?
Un fait est certain l'Afrique, même exsangue, paiera !!!! De quoi il en reviendra pour l'Afrique n'est là l'inconnu au vu de ses atouts (contreparties) momentanés tirés de don de la nature (richesses naturelles), mais dans quel état d'abîme l'Africain en ressortira de nouveau après l'acceptation de l'esclavage et du colonialisme !!!!
Joseph TAPA Ü Retour Accueil
De la diversité et sévérité des environnements africains, véritables défis d'acclimatations et de survie pour l'Homme, le mérite de l'Homme Africain est d'y avoir su s'adapter à vivre des affres de la nature.
Est-il possible que de ce mérite d'acclimatation se trouve de revers l'excellence de la faiblesse africaine qui profita à une poignée d'Hommes non africains l'ayant perçu et pris avantage à l'esclavagisme et colonisation pour le compte profitable économiquement des sociétés humaines étrangères !!!
Comment comprendre qu'une poignée d'Hommes venus de l'étranger aient pu aisément et facilement faire plier l'échine à la soumission à des millions d'Africains sans que les explorateurs (poliment) malintentionnés n'aient été farouchement conduits à raviser de négociation une trêve dans leur égarement, et partant là, à accorder le respect forcé de la vaillance subit et de la crainte réactionnaire aux Africains ?? Nul doute que si le nombre à lui seul suffisait pour s'opposer à quelconque barbarie : les Africains eurent alors été facile et brillant vainqueurs de la horde des barbares qui prétendirent les civiliser !!!!
Ah bien y voir des résurgences (brides) des cultures africaines s'étant maintenues des brimades à la déculturation d'alors imposées aux africains sous le fumant de concours à les civiliser, il ressort d'observation que les Africains consacraient une énergie débordante à lutter de survie d'avec les rudesses de la nature et en exultaient gaillardement sans en avoir autre aspiration stratégique…Ce qui au demeurant en est encore à nos jours étincelant… Concrétisant le fait que les Africains dans leurs efforts consacrés exclusivement à survivre au sein de leur environnement, ne développaient que peu pour ne pas dire presque pas de stratégie à/pour dominer à leurs avantages leur environnements…s'en remettant alors à quelques valeureux gaillards, brillants plus par la force des muscles que celle de l'intelligence (ce qui est toujours courant pour l'usage des muscles seulement avec la particularité du recours aux régiments militaires claniques et de séides), pour les diriger dans l'acclimatation d'avec la nature.
Ainsi donc les Africains s'étaient vertueusement disposés, quelques furent leur nombres, à être mis en déroutent pas toute horde pouvant user stratégiquement à leur avantage le terrain sur lequel les Africains n'exprimaient d'efforts car y vivre en harmonie…ce qui est de toujours d'actualité et ouvertement constatable au fait que les armées étrangères en action en Afrique sont trop souvent celles qui portent à leurs homologues africaines la cartographie et topologie exacte de leur environnement !!!
Le coruscant de désolation se trouvant être que cet état de fait, du rétif à s'ouvrir à la domination et conquête de leur environnement, soit de toujours en vogue en Afrique…comme quoi l'apprentissage serait fardeau à honnir…où la jeunesse n'ait nullement instruite en stratégie à tirer avantage de leur espace et encore moins formatée en survie à s'approprier leur environnement (le brillant des réfugiés migrants prompts à tout concrétiser afin de s'extraire et fuir leurs terres africaines en est un exemple patent).
La suite à venir avec l'accent porté sur des exemples…
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