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Adm
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09/06/2011 12 12 17 (UTC)[citer]
le 14 juil 2010
La puissance du Coup de maître
Obscène encouragement...

Il est notoire qu’une stratégie sans une tactique peaufinée s’en remet au succès du hasard, ce à quoi s’interdit le stratège ou fin politique.

Sans qu’il soit pour ce dernier abominable de tirer bénéfice de bassesse, dès l’instant où finalité est atteinte.
La bassesse se caractérisant tout aussi en un atout en situation de menace ou crise. Il est en une, qui insidieusement s’exprime de splendeur d’étreinte des peuples Africains.

Le nouvel appel à la solidarité
La France qui célèbre en ce jour du 14 juillet, sa fête nationale dans un environnement économique mondial des plus inquiétant pour elle, une situation sociale craintive (à l’image des récentes émeutes des jeunes défavorisés qu’elle connue en 2005), un positionnement d’influence internationale fortement amenuisé ; à l’image de la genèse de sa grandeur internationale tirée de ses possessions terriennes et économiques étrangères et spécifiquement africaines, s’en réfère de nouveau tel un recours aux bonnes veilles recettes, en orchestrant sa flatteuse bienveillance et reconnaissance civilisatrice à l’égard de ce qui fut d’époque son pré carré Africain.

Dans le souci permanent d’obvier à la perdition certaine qui lui pend au nez si elle ne renforce ses attributs économiques, comme naguère à l’ère de l’esclavagisme et du colonialisme civilisateur, la France via son premier représentant actuel, Nicolas Sarkozy, a tenue à revigorer sa présence dans le conscient africain par l’invitation entendue comme honorifique de soldats Africains (de son pré carré d’époque) à parader sous son prestige.

La tactique de la contestation
Une certaine idée politique voudrait que quand on n’a pas de solution l’on ne soulève pas le problème. D’une certaine observation il faut pouvoir être en mesure de tirer profit du déchaînement des passions.

Là dessus la présence des soldats africains défilant sur le sol français s’en trouva être d’un bien fait enflammant les diatribes de tous bords avec comme savant profit le repositionnement d’une part dans le conscient Africain, et d’autre part de l’idéal nécessité de loin pacifique de survie dans l’esprit français (ventre affamé n’a point d’oreille ou la prévalence des intérêts de l’Etat sur les dogmes philosophiques, fut-il scandé par soi et empreint d’universalisme).

En effet la France vacillante en interne et qui se trouve être en cinglante perdition en Afrique (tout au moins auprès de l’avenir qu’est la jeunesse), esquissa avec justesse ce mélodrame théâtral avec la partition des avides contestataires.

Il n’est de doute que les potentats leaders africains flattés de reconnaissance, à l’image du président camerounais Paul Biya, peu fréquentable au lendemain de l’arrivée de Sarkozy à l’Élysée en raison de défaut de perceptibilité de soutien, avant la découverte d’importantes réserves minières sur le sol camerounais lui valant nombres d’honneurs de façade (prise de parole après Sarkozy, présence à l’unique photo de clôture au sommet France Afrique 2010, placement officiel, etc.) ; ou celui du Tchadien Idris Itno Déby, à la tête sauvée en février 2008 via le concours militaire français dopant l’attribution de nouveaux champs d'explorations pétrolifère aux entreprises françaises, etc., il n’est de doute que ces derniers s’en remettront à la divine gratitude.

En profond la contestation en matière africaine s’entrevoit ni plus ni moins en sauvetage tant des leaders acculés et soucieux de paisible pérennité, que de la France malmenée dans ses égarements stratégiques (se passer de l’Afrique via la substitution à une économie nouvelle) et errements économiques (difficultés à se sortir des crises financières et excessifs déficits budgétaires).

L’ironie civilisatrice
Le conscient humain ne s’encombrant de soporifique principes quand t-il s’agit de survie. Il n’est plus belle preuve en l’espèce que l’abandon des peuples d’Afrique -dynamisés d’équité en des croyances importées- ne saurait être une gêne.

En somme, tant que l’Africain (e) se complaira dans l’invective comme force de vie et courage protestataire, de revers il ou elle sanctifiera l’obstacle à son propre bien être.

Sans qu’il soit besoin d’effleurer le rêve, il se doit d’être envisagé des voies et moyens de se soustraire de l’autorité et porter un frein direct à l’exploitation africaine.

Si la menace de survie est une arme tétanisant l’Africain (e), humain de son état, alors elle l’est à l’égard de tous.
Hors l’Afrique s’affiche de nouveau de part ses faveurs de toutes sortes y compris humaine, en fondement indispensable à l’avancée du modernisme. D’où une force qu’elle se doit de s’en servir à défaut de faire respecter.

Aux tenants Africains (es) du déshonneur et autres abjections liés à la parade de soldats africains sur le sol français, il est proféré qu’ils s’éloignent du prosélytisme de la France, de part leurs invectives participatives.

Joseph TAPA



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