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16/02/2011 20 08 10 (UTC)[citer]
Traître Cameroun !
Le 06 sept 2010

Des voix confortant des esprits malicieux aiment à dire de cette partie territoriale de l’Afrique, qu’est l’espace dit Cameroun, qu’il représente ou incarne une Afrique en miniature :
Où la perversité de caresse stimulant de revers d’adoucissement ou affaiblissement d’esprit ; D’une autre image, la carotte en mise au pas de l’âne etc.

Afrique en miniature tirée de la concentration d’éparses richesses, culturelles, naturelles, humaines, s’exhibant ici et là en Afrique ; Et assurément plus vraisemblablement de la brillante reproduction avec saillant succès, des bienfaits subreptice de la division "sous socle ethnique", qui étreinte l’Afrique en misérabilisme et parfaire les spoliations en tous genres.

Afrique en miniature certainement en ce qu’il s’y étincelle innombrables malfaisants (es), prompt à invoquer et revendiquer ou se mettre en servilité (étrangère). En quête de rétribution de gloire ou encore du bonbon à l’adresse de l’enfant sage ou satisfecit du peu récalcitrant (bon adepte).

Indénombrable dans ce sens, sont les hideux (ses) statuettes de pacotille dit politiciens (es) et affidés (es) dans la jeunesse et société civile, qui rivalisent ostensiblement à noyer et embrigader dans de soyeuses faiblesses ces populations. Les détournant de bravoures nécessaire à la saisie d’amélioration et évolution du quotidien, exultant le spectre de la mort qui emporta bien d’illustres à l’instar des Ruben Um Nyobé, Ernest Ouandié, y compris même à l’étranger à l’exemple de Félix Moumié.

La forteresse aux habitants (es) ankylosés (es
)
Son positionnement géostratégique en fit une forteresse de base arrière de soutien des postes avancés que furent le dit Tchad, dans la lutte contre l’immixtion communiste en Afrique française ; ou encore la dénommée république Centre Africaine, en mirador de l’exploitation des richesses forestières et minières sous régionale et fort de la gigantesque forêt qui la constitue en rempart aux poussées d’islamisations.
Ce qui fit de cet espace dit du Cameroun, la perle sous régionale d’antan en tous genres.

De la subtile présence étrangère qui favorisa en qualité l’instruction intellectuelle et de laquelle pu s’extraire une prise de conscience de duperie orientée en revendications matées dans le sang (épisode guerrière dit du maquis). Qu’en retirera en bénéfice l’Afrique ? Voire la sous région ? En quoi l’Afrique en miniature fut modèle ou serait en voie de le devenir ?

Est-ce à comprendre que rien de profitable ne peut s’extraire de celle ou celui qui profite ou profita ?

Où en est l’Afrique en miniature
Le constat s’illustre admirablement de la forte représentation et voeux d’exils alimentaires -hors d’Afrique- de nombre de ses enfants et au premier rang desquels l’on peut dénombrer la descendance des leaders d’opinion ou responsables de toutes sortes. Sur le plan intérieur, facile serait d’invectives de lister les grandiloquents échecs et de s’abaisser à l’esquive de la responsabilisation des malfaisants (es) qui y gangrènent. Cependant, au-delà de la politique de remise à niveau d’antan (statu quo) qui y est plébiscitée, il est à reconnaître que l’immobilisme trouve sa source chez l’ensemble de ses occupants (es). Pour qui majoritairement, l’essentiel se trouve dans la cape de prophète : le c’est moi seul qui peut ou qui sait.

La générosité publique, sous entendue l’action publique, s’exprimant quasi-exclusivement au service de la cohorte de malfaisants (es).

L’espoir de nouveau a portée de main
Les lueurs du festival du cinquantenaire de traîtrises -dit d’indépendance africaine- à peine tamisées, qu’une autre d’espoir se réactive part la mise en scène d’un hypothétique changement de leader à la tête de cet espace. Lueur pouvant raisonnablement prendre racine dans le discours du leader Paul Biya, lors des dites célébrations festives, qui d’un trivial évoqua à demi mots à peine, le caractère, l'ampleur, la nature, des trahisons qui incombent à la cohorte et affidés se revendiquant de sa vaticination (oracle, prophétie).

L’exemple servant de leçon, pour qui souhaite grandir d’expérience, il en découle qu’il serait profitable de ne pas perdre la leçon acquise.
Ainsi, l’Afrique en miniature pourrait retrouver son rôle de moteur sous régional et s’habiter de celui de référent salvateur à l’ensemble de l’Afrique, si elle en venait à tirer leçon de son expérience et celle environnante qui lui pend au nez. En effet, froideur sonne de leçon les ratées d’expérimentations dites démocratiques (système en lui-même) et dont-on pouvait croire qu’obstacle s’en trouvait aussi dans l’immensité territoriale, jusqu’à la célèbre élection présidentielle d’août 2009, au Gabon.
Une fois de plus, en coutume, s’y est illustré la composante d’intérêt supérieur étranger prédominant le devenir des populations d’Afrique. Notion qui resplendit de fumisterie dans ce qui est présenté comme vaillant succès démocratique dans les contrées tels que le Ghana, le Bénin, le Mali, l’Afrique du Sud, où les transitions ou changements ne sont que le fruit comme depuis naguère de la pérennité de l’étreinte pesant sur le continent africain.

Un virulent mal si ce n’est le plus tétanisant qui sangle l’Afrique, se trouve pour ainsi dire dans l’adoubement des préceptes démocratiques à la sauce occidentale. Ce que bien d’ignobles percepteurs pour les comptes d’étrangers et/ou malfaisants (es) en quête de gratification glorieuse, n’ont de scrupule à clamer les ferveurs. L’élection majeure entendue ouverte à l’aube de 2011, en Afrique en miniature, projette l’effroyable mise en scène des renégats.

La non participation pure et simple, sans qu’il soit besoin de se référencer ou s’inscrire pour faire valoir une abstention (implicite adoubement par la présence aux fichiers électoraux) à cette mesquinerie, serait de toute évidence un message fort. En poursuite de l’éveil que certains ont cru assassiné avec les Um Nyobé, Lumumba, Boganda, Sankara et que porta jusqu’au dernier souffle nombres d’autres enfermés (es) en sollicitude et anonymat à l’exemple d’Anta Diop.

Autrement, le changement, le renouveau, le tout récent yes we can, ou autres formes de stimulation émotionnelle devraient être enterrés.

L’Afrique en miniature se voit de nouveau reconnaître un positionnement stratégique, souhaitable est que ses occupants (es) flattés (es) d’expression par la participation à leur mise en joug, soient assistés (es) en clairvoyance. Et que celles et ceux ressortissants (es) exilés (es), interdits (es) de participation ou n’y étant plus rattachés (es) administrativement, ainsi que tous celles et ceux épris du devoir de fraternité humain y contribuent dans cette glorieuse tâche pour la paix de la terre.

Joseph TAPA



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LES CONSÉQUENCES DES MAUX AFRICAINS.


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