18/10/10
Racisme : Trivial dogme de solidarité de Noirs

La solidarité, notion d’entraide à multiples facettes, de perception générale se manifeste du rapport ou existence de lien entre individus qui se reconnaissent appartenir à une entité communautaire. Elle s’exprime tout aussi généralement de l’assistance et défense des intérêts de groupuscule interne à la communauté et s’entend au plus haut de la défense des intérêts et attributs majeurs rattachés à la représentation de l’entité communautaire : dignité, honneur, existence etc.

Cette notion de solidarité généreusement accolée aux populations dites africaines, soutenue élogieusement en une force, que l’ironie ou le burlesque rattache et dévoile de la décadence des liens sociaux et autres singuliers de primaires assistances individuelles de misérables ou pauvres…Cette notion de solidarité voit son prisme enflammé de plus bel par les derniers propos entendus d’attaques infâmes à l’encontre de la communauté Noire, dont s’est fendu d’humour le descendant du groupe de parfumerie Guerlain, en la personne de monsieur Jean Paul Guerlain, qui déclara en complément d’excuse n’être plus actionnaire depuis 1996 et salarié depuis 2002, et qui interrogé (journal de mi-journée, 13h, de France 2, du 15/10/10) sur la création du parfum Samsara, déclara « Pour une fois, je me suis mis à travailler comme un nègre. Je ne sais pas si les nègres ont toujours tellement travaillée, mais enfin… ».

Ces propos licencieux soulevèrent l’ire de défenseurs des droits de l’Homme et diverses causes à dominance occidentale, et repris en cœur par les Noirs, qui depuis lors non de cessent de s’enflammer au boycott communautaire des produits de la marque Guerlain. Là s’en trouve la force de la solidarité….À croire que les communautés Noires pèsent d’un poids conséquent dans les recettes commerciales de la marque Guerlain. Outre cet aspect économique, il y ressort une des plus belles force de la solidarité Noire : l’incapacité à défendre d’eux même et de cohésion leur propre identité.

Avant une approche comparative, un bijou de la mondialisation sociétaire se trouve être la présence ou représentation de toutes les couches identitaires (noirs, blancs, etc.) à tous les niveaux d’influences structuro sociétaires.
De comparaison, quiconque s’hasarderait d’une sortie homophobe ou antisioniste voire d’attaque asiatique ou islamique court le risque d’ouvrir son bannissement du champ social. À l’instar de la furie contre l’humoriste Dieudonné ou le chanteur Admiral T, qui virent leurs représentations de spectacles purement supprimées dans de nombreuses villes françaises en raison de sortie hasardeuse de Dieudonné à l’encontre des juifs et propos homophobes du second.

Conséquence de la notion de solidarité communautaire dans son versant défensif, à l’inverse des noirs qui une fois intronisés en influence n’aspirent qu’à se distinguer voire s’exclurent de la communauté de rattachement, les autres groupuscules détenant aussi des membres influents (voire bien moins en nombre que la communauté noire) se solidarisent et usent de leurs atouts à la défense communautaire.

Interpellation se pose sur cette notion de solidarité Noire…La force pour ne pas dire la faiblesse se vautrerait donc dans l’appel à l’individualisme de boycott…
Quel poids peut donc resplendir ou revendiquer les groupuscules Noirs ?

Joseph Tapa