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Adm
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19/03/2009 15 03 39 (UTC)[citer]
Sommes-nous Valereux ?

Au-delà de la survie quotidienne et du maintien de la chaîne de vie dont nous avons l’héritage, ce qui en outre n’est en soi un mérite : C'est le propre des races humaines...

Nos aïeux ont été admirablement et confortablement dupé en des croyances miraculeuses soutenues de l’ignorance (ignorance que les acteurs à leurs stupidités, nous contraignent à admettre car vainqueur et enchanteur de l’histoire) et ce sont enfermés dans l’attentisme d’hypothétiques reconnaissances de l’homme blanc face à leurs efforts fort coûteux "fatal pour bon nombre d’entre eux", et ce, en recherche "quête" d’amitié, d’affection humanité, de paix, et bien d'autres Brou ha ha auxquels ils se sont laissés enfermer "endormir".

Nos parents victimes des incompréhensions des leurs, s’exprimant en conséquence dans les chaînes de fer héritées, n’ont eu de cesse de rivaliser en préalable soumission, salvatrice d’existence (prix de la vie), comme matérialisation du frein à leur perdition.

Confortant au demeurant fort ostensiblement l’acharnement divisionnaire qui marquèrent "que développèrent" leurs esprits de luttent en survie, relatant les multiples distractions qu'ils sublimèrent non sans regret dans l’oisiveté "saisi à nos jours comme le propre du noir".

De leur éblouissement face à l'avancée étrangère et l’admiration émerveillant de faits et réalisations devant lesquels ils savourèrent dépassés, ils s’installèrent en contemplation et secondairement en nécessiteux.

Nous, Eumh!!!! Victimes "par héritage" des errements en cascade des parents, et face auxquels l’on se défilent admirablement sous couvert de rémission et assertion dialectique de liens familiaux...eumh!!!
Nous nous allumons tout feu toute flamme d’un simple clic, fouguement et vigoureusement contre toutes formes d’abaissements et autres hypothétiques atteintes, sous renforts d’évolutions et autres formes de changements : d’ère etc…

Exaltant et exultant d’ouvertures et d'égalitarismes, d’esprits entre autres capacités et talents.
Et cela en soutien de diverses, multiples instructions, renforcées de découvertes remédiant de l'abrutissement et autres enrichissements ahurissant de nos savoirs etc...

Attitude au demeurant louable pour la santé intellectuelle, mais donc l’expression quotidienne laisse transparaître magnifiquement en réel : la petitesse d'esprits confinés à des luttent de jouissance "prioritaire" de bien faits et réalisations d’étrangers.

Et delà en réalité, nous ne sommes franchement pas distinct de nos prédécesseurs.
Mais il est vrai que l’on aiment à trouver justification salvatrice de conscience à tout, dans ce sens l'évolution à laquelle nous ne participons ouvertement qu'en glorifiante admiration est très certainement vecteur de nos incapacités : L'on est à coup sur toujours en retard...

Attitude de bassesse autrement remarquable dans la quête de l'absolu épanouissement loin de nos terroirs, et qui dans la représentation de fuite à grande échelle s'analyse par l'excellence de nos incapacités à la cohésion "d’aucuns soulèveraient bruitament les divergences d’intérêts, ayant conduit à la même finalité...", exhumant "non sans honte devant les échecs généralisés" en profond l'amour prééminent du soi, matérialisable par la quête de reconnaissance de talent et mérite acquis et devant de facto s'imposer, reléguant d'autres semblables aux noirceurs de leurs états "pénombres"...
Ce qui en réalité transpose le relent nauséabond qui gouvernaient nos parents. (Ah il est vrai que l’enfant suit les traces de ses parents : l'héritage étant une valeur ajoutée..)

Cependant l’on s’évertuent, non sans relâche, à s’insérer dans les structures d’étrangers comme nécessités par la survie "n’ayant qu’une vie et souhaitant en jouir au mieux", en raison de nos carences internes, simple cohérence familiale contemplative et d’aveux de dépassement.

Pour mieux marquer du clou nos évolutions d'esprits, nous nous étalons en prophète des maux minant nos désirs d’évolutions, exhumant nos frustrations quotidiennes, tout en louant et ravivant "non sans honte", les sanglent qui nous lient aux échecs des parents :
Heureux sommes nous de prendre et suivre les traces des étrangers, fiers sommes nous d’exalter nos succès dans leur sillage.

Joyeusement usions nous des structures misent en place par d'étrangers, brillons part l’adoption aveuglante de celles instituées pour nos conduites sociétaires sans notre concertation et face auxquelles nous sommes en stérilisante appréciation...
Sous justification d'utilités incontournables pour l'épanouissement...
Enfin il est vrai que c’est l’héritage familial.

De notre attitude glorieuse, à la source tirée particulièrement de l’instruction "égalitaire" au sein des arcanes des maîtres officiels de nos parents et ancêtres, sans que l'on veulent "souhaitent majoritairement" s’en soustraire, conformément au magnifique don à la copie dans laquelle ont baigne admirablement dans la suffisance et fierté...
Nous nous distinguons insidieusement "trompeusement" de nos référents parentaux.
Nous exhumons gaillardement le désir d’assistances "besoin d’aides" à notre propre évolution. Eumh....!!!!!!

Bravo que nous sommes, en continuation de nos illustres héritages, nous nous préparons dignement à un bel legs : Le misérabilisme en spectre d'avenir pour nos descendances.

Comme on la fièrement appris et clamés tout au long de nos déviances : L’Avenir se transporte et se transpose par la jeunesse.

Celle là que nous avons été et pour laquelle notre remarquable contribution étincelle à s'y aveugler.

Ah oui, veuillez excuser ma dénégation et simplisme d'esprit, nous lui avons hautement gagné la santé morale avec sa lointaine histoire, l'équilibre de progression en outrepassement des lourdeurs de son passé. Ouf !!!

à chacun son fardeau, à elle d’inscrire le futur dans l’avenir des siens et de construire son bonheur et celui de sa descendance.

Exultons maintenant des festivités de la vie, jouissions y et dormons en paix, nous avons fait notre devoir.

La vie si courte, ne saurait et ne devrait être souffrance pour autrui, fut-il de notre chair et sang.

Joseph TAPA



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