vous assénerons de stratégiques ou meilleures intégrations étrangères, celle d’attribution de continent autre que l’Afrique (européenne en majorité). Ces derniers, naturellement parents d’enfants nés sur leurs nouvelles terres d’établissement ou devrait-on dire d’enracinement, aiment à insuffler de joie de cœur à leurs descendances aux nationalités étrangères par naissance (droit du sol à l’exemple de l’illustre Obama) qu’elles sont tout aussi africaine de par les origines de leurs aïeux. Petit décryptage de cette supposée jeunesse africaine Quand bien même la grande majorité de cette jeunesse que l’on voudrait d’attribution identitaire africaine, par lointaine filiation, se cantonne élogieusement dans le champ de ce que l’on nomme socialement les peu éduqués. En conséquence de facteurs multiples, et desquels l’on ne saurait méconnaître une prééminence au déshonorant déficit de force de mentalité des parents qui s’abîment à des addictions de rêverie de lendemain meilleur, par assimilation et déportation aux valeurs culturelles étrangères qu’eux parents n’ont acquis de naissances et combats ; et de ce fait ne ressentant pas en bienfaits les profondeurs et vertus de ces cultures d’attributions. Sachant que l’on en saurait apporter aux siens que ce l’on a en connaissance, ou acquis, observez donc en la matière les difficultés à porter des valeurs qui ne sont siennes et saisies qu’au travers un prisme de rêverie profitable. Ce déficit de moral ou de force d’état d’esprit nécessaire à la fortification de tout mental dans sa construction, se retrouve être cause plombant la vivacité dans l’instruction de leurs rejetons. Qui pour l’essentiel arborent un niveau limité et une qualité médiocre d’instruction les reléguant majoritairement à des tâches de basses besognes. Ce dont ont du mal à se départir de représentation (communauté) de personne de petit esprit, le minuscule d’entre eux qui trop souvent par disposition naturelle passeraient au travers du filet ainsi dresser par l’impéritie de leurs parents. Fréquent est de rencontrer ces jeunes identifiés allogènes (symbole méprisant en Belgique) ou d’immigrés produit de génération précédente (sorte de refus direct d’assimilation locale en France), qui dévoilent de grande lacunes à en connaître de la culture locale de leur pays de rattachement comme leurs élogieux parents et pour bons nombres n’ayant qu’une maîtrise étriquée à la hauteur du type et niveau de leur instruction. Qu’ils sont nombreux à ne pas pouvoir être en mesure de vous informer sur l’archétype et dévolutions des structures organisationnelles de leurs pays de rattachement, au-delà d’en réclamer des subsides. Nombreux parmi ces jeunes pour ne pas dire l’essentiel ne sont pas en mesure de vous lister les principaux personnages publics (exception faite de ceux bénéficiant du tapage médiatique) de leur pays de rattachement, et de comble, les leaders de leurs collectivités territoriales d’établissement ; Mieux encore, beaucoup ne savant même pas comment se nomme le chef d’établissement qu’ils ont ou fréquentent. Fort d’un tel constat, on ne peut qu’être induit à supposer qu’il serait de fait ou en réel des Africains dans l’âme ! Si ce n’était à leur simple observation, sur cet angle africaine, de stupéfiant et terrassant à constater qu’à cet égard ces derniers sont encore plus démunis de rattachement. Au-delà dans l’écoulement du temps, de vague et étiré séjours touristiques en Afrique pour les plus chanceux. Quand ils ne sont pas issus de grande famille à plus de 10 enfants (financièrement profitable localement et recherché en quête de subside momentanée pour la majorité dans de telle situation). Ou que les parents soient étreints à se pavaner de semblant de réussite à l’étranger. Ces jeunes dévoilent une absence totale de culture africaine. Très peu, mais alors très peu, sont en mesure de vous informer d’histoire au présent des événements sociaux, culturels, politiques, sociétaires en Afrique. Le peu au fait de quelques brides de savoirs réels sur l’Afrique, ne l’étant que par copinerie de voisinage d’avec de vrai Africains. Cependant, de cœur enchanté, ces jeunes vous exposeront en boucle la faiblesse mentale dont fulmine de renégat transfuge de leurs parents en vous rétorquant comme connaissance africaine : que ce continent n’est pas un terreau de joie et de sécurité. Voilà donc des personnes qui au cours de leurs rares séjours touristiques ou de présentation à des familles africaines, ont à cœur de ne pas s’y identifier en mettant un point d’honneur à se présenter en esprit effleuré pour ne pas dire muté en occidental ou étranger ; Et qui ne s’intéressent sérieusement à rien en Afrique, n’y réalisant rien. Et dont-on ne peu ne pas penser qu’ils méprisent en profond ce continent d’héritage de faiblesse mentale de leurs parents. Cet cette espèce là, qui en Europe quand difficulté ou détresse se fait jour dans leur vie se revendiquent par déportation d’Afrique : Que l’on voudrait croire Africaine ? Mais que serait donc qu’être Africain ? L’africanité dans la défense des valeurs africaines n’étant pas une simple revendication au-delà de combativité quotidienne à vivre en Africain, c’est ainsi qu’être un Africain ne saurait être une simple revendication ou rattachement sanguin (parfois fortement dilué d’hybridation) à de lointain parents au demeurant trahi dans l’identité par ces derniers. Par légendaire générosité africaine, il va s’en dire qu’acquérir une nationalité africaine ou sincèrement se délaisser de nationalité d’attribution serait convenablement un attribut nécessaire sans en être déterminant de suffisant pour espérer se prévaloir d’une retrouvaille du rang d’Africain. Joseph TAPA Ü Accueil |
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