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17/06/2014 11 11 50 (UTC)[citer]
L’endettement en Afrique souffle de danger pour les Prêteurs
Le 17 juil 2012

Selon une perception bien ancrée de vérité dans le conscient et l’imaginaire général des Hommes, il est affirmé
que la jeunesse serait l’espoir de continuité -voire meilleur- de l’avenir sociétaire, soutenant de ce constat qu’elle lui pèse (a à charge) de poursuivre au mieux l’évolution environnementale de l’Homme et en devoir (responsabilité d’honorer les engagements ou acquis de ses prédécesseurs (frères ou aînés ou parents).

Ce schéma fort honorable et souhaitable par principe, laisse transparaître quelques difficultés de cohésion de contrainte obligatoire, en respect de la pesanteur, des devoirs dont devrait être responsable l’héritier Africain. La responsabilité future lui pesant et découlant des actes et faits de ses prédécesseurs dans leurs actions relatives à l’organisation des collectivités (sociétés) africaines dont-il est de droit naturel héritier, se dévoile ou concrétise amèrement et désolément par l’incommensurable acquittement des dettes en tout genre contractées au nom de bénéfique amélioration de son environnement en guise de développement sociétaire.

Indéniable est que l’orchestration ou organisation des sociétés africaines en territoires pauvres, suscitant d’être affublés de mépris de tiers monde « en marge du monde », trouve manifestation dans l’élan d’appauvrissement Tant physique (intellectuel) des aînés actuels ne détenant guère (sur qui ne pèsent de devoirs financiers) de contraignante responsabilités héritées de leurs prédécesseurs Que matériel par l’engouement frénétique des aînés actuels à endetter sauvagement les générations futures africaines.

De la dette et sa finalité….

L’Afrique qui fut de toujours organisée, n’en témoigne de véridique la chaîne de vie maintenue et soutenue via ses innombrables populations, avant d’épouser en renfort de duperie et indécent imaginaire de force irréversible et/ou invincible d’autres modèles d’organisations sociétaires venues d’ailleurs à l’instar de l’encrage aux valeurs dit de la république ; se voit depuis lors contrainte en guise de ressemblance et autres similitudes de concordance a s’endetter lourdement, et d’une ampleur exponentielle, auprès des penseurs des modèles sociétaires dont-elle s’impose -d’abjection ?- le respect d’implantation et plus ouvertement au bénéfice de l’activisme économique (entreprises) des bien heureux penseurs des modèles organisationnels dont s’imposent les Africains, qui de jouvence en tirent de véritable profit en plus d’assujettissement et dépendance des Africains à leur égard : le concepteur restant de toujours et indéfiniment maître de son ouvrage ou œuvre, et, par la le mieux à même d’en connaître les rouages divers !

Le schéma de l’endettement était d’accompagnement inscrit dans (couplé à l’implantation d’un modèle organisationnel non propre. Ce que va dynamiser d’effet néfaste de surendettement, la découverte des richesses naturelles (minières et autres) sur lesquelles vont s’appuyer de certitude d’acquittement les innombrables crédits et autres prêts généreusement consentis aux Etats (enfin leaders choisis) Africains épousant l’organisation sociétaire salutaire…

Pour quiconque, ne serait-ce que sur une dizaine d’années, a parcouru ou vu et parcoure ou voit à nos jours ou observa et observe de nos jours l’évolution ou le développement interne de l’Afrique, depuis la vague chantonnée d’indépendance offerte par l’ex-colon, au-delà de déroutantes surprises d’immobilismes sociétaires -quand bien même existerait une véritable croissance démographique et donc force vive- ou simple retouche ou léger réaménagement d’infrastructures légués au soir des indépendances ; S’interpellerait d’en savoir du cheminement ou d'en connaître de l’aboutissement des innombrables fortes sommes d’argent ou de financement (nombres prenant la forme d’aide ou assistance par la renonciation d’exigence de dette ou intérêt de la dette) versées à l’intention et au titre du développement (similitudes) auprès des Etats africains.
Le somptueux d’enrichissement de ses leaders cautionnés de complicité assassine, à l’instar de l’indigeste couronnement en empereur d’un simplet par nature (dont citer le nom serait un honneur regrettable) en Centre Afrique sous l’escarcelle française et en proie à une pauvreté indescriptible, des prêteurs qui le plus souvent détourneront par l’artifice de rétro commission la sincérité des aides : révélera la machination d’appauvrissement de l’Afrique et son devenir via le concours de malheureux Africains choisis à cet effet pour leur grande beauté en faiblesse de qualité.

Ainsi, il est notoire que les marchés d’aménagements publics et autres, de montant considérable, sont très souvent pour ne pas dire de toujours dévolus au bénéfice d’entreprises non africaines. Et sont trop fréquemment objet à des versements illicites (pot de vin ou corruption), en marge des financements de réalisations allégés au strict minimum, qui sont le plus souvent directement effectués par dépôts ou virement auprès d’établissements bancaires non africains. De sorte que les penseurs du système imposé pour le bien être de l’Afrique, sont au travers de leurs entreprises bénéficiaires (adjudicataires) d’habitudes coutumières des appels d’offres d’aménagements publics africains soutenus par l’endettement auprès d’eux (les penseurs et maître d’œuvre), en mesure d’en savoir mieux que quiconque sur la destination et logement des sommes versées par leurs entreprises au titre de la corruption.

….en devoir d’obligation sur la jeunesse

Bien que bons nombres de leaders actuels Africains, dont-il importe de rappeler qu’ils n’ont hérité d’aucune forme de dette leur pesant en devoir (responsabilité de leurs prédécesseurs, s’enrichissent sur le dos de la jeunesse africaine qui devra de principe rembourser ce dont leurs présents leaders ne pourront se désendetter par l’appauvrissement des richesses naturelles du sol africain qui elles ne sont pas intarissables, s’adonnent à persévérer à l’endettement pervers et non profitable tant à la jeunesse dans son éducation et mise en pratique d’acquis d'instruction qu’à la justesse d’aménagements de l’environnement sociétaire éloigner de quête de prestige d’historique en totale inadéquation des besoins des populations (fameux cette route c’est grâce à tel) : l’endettement cours le risque pur et simple de n’être pas supporté en devoir et encore moins d’honneur par la future jeunesse.

Il pèse ainsi aux généreux bienfaiteurs des aménagements en guise de développement en Afrique via le concours de l’endettement, à eux fortement profitable, une responsabilité dont-ils ne seront se dédire par la suite et seront encore moins admissibles à requérir l’acquittement, ni même quelconque reconnaissance par l’invocation d’annulation de dette.
Tout endettement qui ne saurait être reconnu d’utilité publique et dont-il reviendra à la jeunesse future d’en apprécier l’impact et/ou le nécessaire, ne saurait plus être qualifié de la sorte et être du. Sur les faits d’endettements ayant concouru à l’enrichissement illicites (corruption) d’acteurs Africains et dont les fonds alloués à la corruption sont logés dans les établissements bancaires des Etats non africains, ces dits fonds devront être purement considérés en remboursement des dettes ainsi contractées.

L’Afrique à nos jours grandi par diverses expériences plus ou moins calamiteuses et dont portent en richesse sa voluptueuse jeunesse en mal de s’impacter à sa construction, se doit de recourir, en dépit d’envisageables ratés qui façonnent d’apprentissage et d’expérience, à l’effort de ses enfants que de les laisser s’éberluer en affaiblissement certain auprès des compétences de non africains. L’aménagement qui en résultera de la sorte de progressif, par la remise en question en confrontation des réalités locales, et soutenant ipso facto la nécessité d’évolution, ne devrait plus totalement suivre la forme et voie de l’endettement par réalisation d’autres au delà d’exigence du savoir faire Africain.

Joseph TAPA



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